Intersolar 2021 marquera le lancement officiel des nouvelles plateformes résidentielles de FIMER, qui combinent les dernières innovations technologiques avec des caractéristiques de conception haut de gamme, tout en offrant un premier aperçu de sa dernière solution pour le secteur des utilités – le PVS-350 – lancée en juin 2021.
FIMER s’apprête à dévoiler sa nouvelle ère technologique à Intersolar 2021, et en exclusivité mondiale, ses plateformes « best-in-class » pour les applications résidentielles. Filippo Carzaniga, président de FIMER, indique : « Nous sommes ravis de pouvoir présenter la nouvelle ère de FIMER à Intersolar 2021 avec un premier aperçu exclusif de nos nouvelles plateformes révolutionnaires pour les secteurs résidentiel et utilités.
Au cours des 18 derniers mois, FIMER a consolidé sa position en tant que fournisseur mondial d’équipements d’énergie renouvelable de premier plan, avec de nouvelles solutions innovantes dans nos quatre principaux secteurs d’activité – utilités, tertiaire, EVI et maintenant résidentiel. Nous avons concentré nos efforts sur la R&D pour maintenir notre leadership technologique et avons déployé une nouvelle stratégie qui a conduit à la mise en place d’une équipe expérimentée pour stimuler l’innovation, en développant les meilleures solutions pour nos clients. ”
La nouvelle ère de FIMER en action
Seront également exposés les PVS-10/33 et PVS-100/120, les dernières solutions de FIMER pour le marché C&I, ainsi que plusieurs de ses technologies de mobilité électrique, notamment les innovantes FIMER FLEXA AC Wallbox et Station. Filippo Carzaniga poursuit : « Intersolar 2021 est l’occasion pour les visiteurs de voir la nouvelle ère de FIMER en action, et nous sommes impatients d’accueillir les invités sur notre stand. » Les experts de FIMER seront disponibles pour discuter de sa vaste gamme de plateformes solaires et de mobilité électrique innovantes sur le stand B5.330 à Intersolar 2021 (du 6 au 8 octobre).
Les représentants des mécènes autour des lauréats de la première année
A l’issue de son 1er appel à projets, l’association Sol Solidaire va pouvoir équiper environ 500 logements sociaux en panneaux photovoltaïques et réduire ainsi la facture d’électricité de leurs habitants. Un investissement humaniste qui coche les deux cases du social et de l’environnemental. De quoi inspirer les candidats à la Présidentielle !
Lors d’un point presse organisé à l’occasion du Congrès HLM à Bordeaux, André Joffre, PDG de Tecsol a présenté a présenté le bilan du 1er appel à projets de l’association Sol Solidaire, en présence des bénéficiaires et des mécènes, et avec la participation via un message vidéo des parrains, la comédienne Amelle Chahbi et le réalisateur Jean-Pascal Zadi.
Ce moment a été l’occasion de la signature de la lettre d’intention de financement pour le projet de Sonain de Sia Habitat dans les Hauts de France, l’un des 5 lauréats de l’AAP 2020. Pour sa première édition en 2020, l’association a levé plus de 150 000 euros auprès de plusieurs entreprises (AMARENCO, ARAYMOND, BRED, ENEDIS, ENERLIS et d’autres en cours de confirmation), des collaborateurs de TECSOL qui ont fait un geste sur leurs salaires, ainsi que des donateurs de la plateforme de crowdfunding HelloAsso.
20 % d’économie sur les factures
Ce budget permet de financer l’installation de panneaux solaires sur 5 immeubles ou lotissements abritant 500 logements sociaux. Ces derniers sont situés dans les régions Grand-Est, Auvergne-Rhône-Alpes, Hauts-de-France, Bourgogne-Franche-Comté et à La Réunion. Les bailleurs sociaux concernés s’engagent à fournir gratuitement les électrons solaires produits localement, ce qui devrait permettre à leurs locataires de réaliser jusqu’à 20% d’économie sur leurs factures d’électricité.
« Nous sommes fiers de présenter le bilan de ce 1er appel à projets », expliquent les représentants des membres fondateurs de l’association, Arnaud Leroy, président de l’ADEME, Sylvie Perrin, associée chez De Gaulle Fleurance & Associés, Laetitia Brottier, vice-présidente d’Enerplan, Jean-Sylvain Ruggiu, directeur RSE du Groupe BPCE, André Joffre, président de Tecsol, et Emmanuelle Cosse, présidente de l’Union Sociale pour l’Habitat.
Lancement l’appel à projets 2021
« Nous remercions vivement les mécènes qui sont précurseurs dans le soutien de ce type d’initiatives. Sol Solidaire démontre que la transition énergétique peut être un puissant levier de progrès social. » A l’occasion du point presse, les membres fondateurs ont également lancé l’appel à projets 2021 de l’association. Les acteurs du logement social qui souhaitent faire bénéficier leurs locataires du dispositif de Sol Solidaire ont la possibilité de candidater jusqu’au 7 janvier 2022.
BayWa r.e. a inauguré le 24 septembre dernier le parc photovoltaïque Blueberry, d’une puissance totale de 30 MWc, sur les communes de Diors, Déols et Etrechet près de Châteauroux. Un berger et un apiculteur sont désormais installés sur le site, qui a retrouvé un usage agricole. Un second parc est en attente d’autorisations administratives sur le même site, et pourrait voir le jour en 2023.
87 552 panneaux photovoltaïques occupent désormais 35 ha de l’ancienne base militaire de la Martinerie, dont l’activité a cessé en 2012. Les travaux ont duré près de 9 mois, faisant appel à des entreprises locales telles que Eurovia Centre Loire, ou Gavanier et Millet & Fils. Jusqu’à 50 personnes ont été mobilisées au plus fort de la construction. L’électricité verte produite par la centrale Blueberry permettra d’alimenter localement l’équivalent d’environ 16 000 personnes.
Sous les panneaux, apiculture et pâturage
Grâce à cette centrale solaire, 35 des 90 ha affectés pendant près d’un siècle à un usage militaire (pollution pyrotechnique), ont été dépollués et valorisés dans le cadre de la transition énergétique. Deux apiculteurs, Olivier Wick et Manuel Roger, ont installé les premières ruches sur le site. Jusqu’à 48 colonies pourront être présentes sur la centrale solaire en fonction des périodes de l’année et de la nourriture disponible pour les abeilles. Un partenariat a été noué avec le berger Guillaume des Fontaines, éleveur à Velles, qui a installé ses brebis sur les prairies du parc photovoltaïque, lui permettant ainsi d’accroître son cheptel.
Les panneaux sont fixés sur des tables en acier d’une hauteur atteignant environ 2,60 m par rapport au sol et les rangées sont espacées en moyenne de 2,5 m, permettant aux animaux de circuler librement dans l’enceinte clôturée du parc photovoltaïque. Un partenariat avec l’association culturelle des amis de la Martinerie BayWa r.e. a également scellé un partenariat avec l’association les Amis de la Martinerie. BayWa r.e. et l’association réaliseront des supports d’informations qui rappelleront l’histoire de la base militaire et présenteront les installations photovoltaïques.
Pendant les travaux préparatoires, des objets du quotidien de l’ancienne base militaire ont été découverts et remis à l’association des Amis de la Martinerie. Par ailleurs les bénévoles de l’association ont eu l’opportunité de récupérer les éléments d’un bâtiment préfabriqué américain (cabanes Quonset) pour en remonter une partie à proximité de la Maison de la mémoire. BayWa r.e. apporte par ce partenariat une contribution à la reconstruction de ce baraquement.
Un second projet en attente d’autorisations administratives
La société a lancé des études pour un nouveau parc solaire dans l’enceinte de l’ancien camp de la Martinerie, d’une envergure comparable à celle du parc venant d’être mis en service. Intégralement développé par BayWa r.e., ce second projet est nommé Greenberry. Les demandes d’autorisations administratives ont été déposées cet automne, à l’issue des études environnementales et techniques. Ce parc solaire pourrait ainsi voir le jour courant 2023, pour une mise en service attendue en 2024.
Le projet de la nouvelle centrale Greenberry occupera35 ha supplémentaires sur les 90que compte la zone de l’ancienne base militaire, dont l’activité a cessé en 2012. Sous réserve d’obtention des autorisations administratives nécessaires. L’électricité verte produite par la centrale Greenberry permettra d’alimenter localement l’équivalent d’environ 20 000 personnes supplémentaires.
La campagne de financement participatif de Corsica Sole pour un parc solaire de Lot-et-Garonne a rencontré un franc succès avec 80 contributeurs locaux et plus de 410 000 € souscrits. La centrale assurera la consommation en électricité de 3 800 habitants tout en évitant près de 8 000 tonnes de CO2 chaque année.
Un nouveau parc photovoltaïque a vu le jour grâce au financement participatif citoyen en ce mois de septembre 2021. Une première pour le producteur d’énergie indépendant, Corsica Sole, qui a offert la possibilité de participer à la transition énergétique de leur territoire aux citoyens du Lot-et-Garonne, de la Dordogne, de Gironde, des Landes, du Lot, du Tarn-et-Garonne et du Gers.
L’engagement citoyen pour sa région
La collecte a rencontré un réel succès puisque plus de 410 000 € ont été récoltés dépassant largement l’objectif initial de 350 000 €. 80 éco-financeurs ont acheté les actions de la société porteuse de projet de la centrale sur la plateforme Enerfip, l’un des leaders du financement participatif de projets d’énergies renouvelables. Un investissement qui générera un impact environnemental mesurable puisque que pour chaque 1000 € investi, un souscripteur contribue à la production de 1 500 kW d’électricité, soit plus de 1/5 de sa consommation moyenne annuelle d’électricité.
« Ce projet est doublement attractif, explique Savannah Cozette, Directrice des financements structurés de Corsica Sole, en plus de bénéficier de 5% de rendement, chaque citoyen participe directement à la construction de l’avenir de son territoire. Nous sommes de plus en plus nombreux à ne pas vouloir assister les bras croisés à la dégradation de notre planète et le succès de notre campagne de financement participatif en est la preuve. Cette opération démontre également que le financement citoyen représenteun levier supplémentaire pour faciliter la réalisation de projets d’énergies renouvelables. »
Une centrale solaire d’une puissance de 6,5 MWc
Lauréat d’un appel d’offre de la Commission de Régulation de l’Energie (CRE), ce projet offre une seconde vie à un terrain de 5,7 hectares laissé en jachère depuis des années. Les 18 000 panneaux photovoltaïques de la nouvelle centrale de 6,5 MWc de puissance produiront 7 900 MWh d’électricité par an, soit la consommation annuelle de 3 800 personnes. Ainsi, chaque année, près de 8 000 tonnes de CO2 ne seront pas relâchées dans l’atmosphère.
Patrick Pouyanné, Président-directeur général de TotalEnergies, et les membres du Comité Exécutif ont présenté mardi 28 juillet dernier à Paris la stratégie et les perspectives du Groupe. Les principaux messages de cette présentation en quelques lignes !
TotalEnergies affirme sa stratégie de compagnie multi-énergies, active sur les segments du pétrole, du gaz naturel, des renouvelables & électricité, de la biomasse et de l’hydrogène, pour le bénéfice de toutes ses parties prenantes.
Plus d’énergie, moins d’émissions, toujours plus durable
Afin de satisfaire l’augmentation de la demande globale d’énergie liée à la croissance de la population mondiale, TotalEnergies va augmenter sa production d’énergies de 30% d’ici à 2030, la croissance venant pour moitié de l’électricité essentiellement renouvelable, pour moitié du gaz naturel liquéfié, tout en faisant évoluer le mix de ses ventes qui sera composé de 30% de produits pétroliers, 50% de gaz, 15% d’électricité et 5% de biomasse et d’hydrogène à l’horizon 2030. Les ventes de produits pétroliers baisseront d’au moins 30% sur la période 2020-2030. TotalEnergies maintiendra la discipline sur son programme d’investissements qui sera de 13 à 15 G$ par an sur 2022-2025 et allouera 50% de ces investissements à la croissance de ses activités, 50% au maintien du socle de son activité. 50% de ces investissements de croissance seront dédiés au développement des nouvelles énergies, renouvelables et électricité principalement, les autres 50% au gaz naturel, essentiellement Gaz Naturel Liquéfié.
TotalEnergies a pour ambition d’atteindre la neutralité carbone d’ici à 2050 ensemble avec la société. Les émissions nettes scope 1+2 de ses opérations Oïl & Gas mondiales diminueront de 40% entre 2015 et 2030 tandis que les émissions du scope 3 mondial seront plus faibles en 2030 qu’en 2015 en valeur absolue. A cet effet, l’intensité carbone des produits énergétiques utilisés par ses clients dans le monde baissera d’au moins 20% sur la période.
En outre, pour accompagner le Green Deal en Europe, TotalEnergies, société européenne, s’est engagée à diminuer ses émissions scope 1+2+3 de 30% entre 2015 et 2030.
Les hydrocarbures continueront à générer des revenus importants qui financeront la transition énergétique et le retour aux actionnaires.
La production de l’Amont devrait progresser d’environ 3% par an d’ici 2026, tirée par le GNL qui croîtrait de 6% par an. La production de pétrole de TotalEnergies atteindra son pic au cours de la décennie avant de décroître. Sur 2022-2026, l’Exploration-Production génèrera plus de 5 G$ de cash-flow net par an dans un environnement de 50 $/b, avec un revenu additionnel de 3,2 G$ pour un Brent 10 $/b plus élevé et 0,6 G$ pour des index gaziers européens et asiatiques 1 $/mmbtu plus élevés. Dans l’aval, TotalEnergies poursuivra sa politique d’adaptation de son outil industriel et de marketing pour anticiper la baisse de la demande de produits pétroliers, notamment en Europe avec l’objectif d’aligner ses capacités de raffinage et ses ventes de produits pétroliers au niveau de sa production de pétrole à horizon 2030. En même temps, TotalEnergies saisira les opportunités de développement dans les polymères, y compris recyclage et bioplastiques et dans les nouveaux marchés tels les biocarburants ou la mobilité électrique pour générer une croissance de son cash-flow d’environ 1 G$ sur les 5 prochaines années.
Développer des activités rentables dans les énergies renouvelables et l’électricité
TotalEnergies a l’ambition de devenir un des 5 premiers producteurs mondiaux d’électricité renouvelable et a pour objectif 100 GW de capacité brute installée d’ici 2030 en tirant notamment parti de son implantation mondiale. La Compagnie confirme son objectif de 35 GW d’ici 2025 avec un portefeuille de plus de 10 GW en opération à fin 2021 qui augmentera d’environ 6 GW par an de 2022 à 2025. La Compagnie développera une position intégrée significative sur les marchés dérégulés et fera croître sa production dans les pays à marchés régulés, visant plus de 50 TWh de production d’électricité nette en 2025 générant 3,5 G$ d’EBITDA.
Allier transition énergétique et retour à l’actionnaire
TotalEnergies est confiant sur sa capacité à conjuguer transition énergétique et retour à l’actionnaire, créant ainsi de la valeur à long terme pour ses actionnaires. TotalEnergies a démontré sa résilience pendant la crise Covid en maintenant son dividende au travers du cycle. La Compagnie en sort renforcée avec un bilan solide, un coût de la dette faible et un ratio d’endettement ancré sous les 20%. En même temps, TotalEnergies a su accélérer la croissance de ses investissements dans les renouvelables et l’électricité pour les porter à 3 G$/an, soit près de 25% de ses investissements sur la période 2021-2025.
Dans un environnement constant de 50 $/b, la Compagnie anticipe une croissance de son cash-flow de 5 G$ entre 2021 et 2026 : cette croissance de cash-flow viendra notamment des renouvelables et de l’électricité pour 1,5 G$ et du gaz naturel liquéfié pour 1,5 G$, les deux piliers de sa croissance. La discipline sur les coûts sera maintenue avec pour objectif de délivrer 1 G$ d’économies additionnelles d’ici à 2023 comparé à 2020.
Avec plus de 250 exposants, plus de 80 conférenciers et une centaine de séminaires, Solar Solutions International, salon professionnel de l’énergie solaire en Europe du Nord-Ouest, a été inauguré le 28 septembre, à l’Expo Haarlemmermeer, Vijfhuizen. LONGi y présente les Hi-RO Onyx premium, ses modules avancés à haute efficacité et haute puissance avec la technologie Zero Bus Bar (ZBB) conçus pour les maisons d’habitation !
LONGi a profité du salon hollandais Solar solution pour lancer ses Hi-RO Onyx, ses tout nouveaux modules haut de gamme conçus pour être utilisés dans toutes les applications sur les toits en résidentiel. Basé sur le wafer monocristallin propriété de LONGi, Onyx adopte la technologie innovante de cellules et de modules solaires pour offrir une efficacité et une fiabilité maximales. La cellule est à moitié coupée avec la technologie Zero Busbar (ZBB), sans barres omnibus visibles.
L’efficacité du module s’élève à 22,2 %.
Onyx est une série de modules haute efficacité et haute puissance conçus pour les applications de toiture dans le segment résidentiel. Il excelle là où une production d’énergie élevée est requise dans un espace limité sur le toit et où l’esthétique se révèle particulièrement importante. La puissance maximale atteint 400Wp et l’efficacité du module s’élève à 22,2 %. La série comprend deux produits de modules monofaciaux. La version entièrement noire (HTB) de 390 Wc affiche une esthétique en adéquation avec les toits typiques des maisons européennes tandis que la version standard (HTH) avec une feuille de fond blanche maximise la puissance de sortie à 400 Wc.
Une garantie produit de 25 ans
Le module Onyx présente une production d’énergie exceptionnelle grâce à sa technologie Zero Busbar (ZBB) avec une capture de lumière maximale et une faible réflexion, une dégradation de la puissance inférieure (première année 1,5%, linéaire et dégradation 0,5%), un coefficient de température maîtrisé (0,29 %/°C) et de meilleures performances à faible irradiation. Ces caractéristiques couplées à la technologie ZBB et l’absence d’ombrage sur la face avant, permet à Onyx de fournir de sacrées performances de puissance. Onyx est livré avec une garantie produit de 25 ans. « Hi-RO Onyx est un nouveau produit du portefeuille LONGi avec des fonctionnalités premium » a commenté Dennis She, Senior de LONGi Solar Vice président. « LONGi Solar dispose désormais d’un portefeuille de produits complet composé de Hi-MO 4, Hi- MO 5, Hi MO N et le nouveau Hi-RO Onyx, avec chaque série de produits optimisée pour différents scénarios d’application. Au lancement, Oynx sera disponible aux Pays-Bas et en Europe du Nord.
Bisol propose enfindes panneaux solaires en half cut M6 dans la gamme BISOL Supreme™, une gamme unique en capacité d’offrir 25 ans de garantie de puissance de sortie à 100%. Le module BISOL Supreme™ demi-cellules est maintenant disponible dans des puissances allant jusqu’en 365 Wc.
L’équipe de R&D de BISOL est capable de développer un module avec des équipements spécialisés, des composants de premier ordre, des matériaux certifiés testés jusqu’à la destruction dans la chambre climatique de BISOL et des processus de fabrication de grande qualité. Il est important d’utiliser uniquement la feuille EVA de la meilleure qualité, mais il est également crucial d’en utiliser suffisamment, sans économiser de coûts à ce stade. Pendant la lamination, particulièrement longue chez BISOL, l’EVA se transforme en gel. Selon la norme de l’industrie, 65% de la teneur en gel est efficace, mais BISOL utilise 85% ou plus, prouvé par une expérience de plus de 15 ans et des tests de résistance à chaque étape de la production.
La marque BISOL représente la qualité, la fiabilité, les services axés sur le client et la recherche continue d’innovations technologiques. « À ce stade, nous tenons à montrer notre gratitude à notre équipe de recherche et de développement qui a rendu possible cette nouvelle gamme de panneaux solaires BISOL. La force motrice de nos activités est toujours la satisfaction du client. C’est précisément la raison pour laquelle nous offrons une si large gamme de produits que notre équipe développe sur mesure pour des besoins spécifiques. Nous aurons le plaisir de présenter à Intersolar notre innovation BISOL Supreme, 1er module au monde avec 100 % de puissance de sortie » indique le communiqué.
Bisol sera présent donc sur le salon Intersolar : Stand BISOL A6.170.
Organisé l’Université d’Aix Marseille, Polytech-Marseille, le restaurant solaire Le Présage et l’association Les Festins Photoniques, le 1er concours mondial de cuisine solaire s’est déroulé samedi 25 septembre dernier sous le patronage de Guillaume Gomez Ambassadeur France de la Gastronomie.
Invité surprise de l’événement : une météo capricieuse ! « Ce fut une super journée pour la chaleur solaire et la révolution solaire délicieuse, les équipes ont mis la barre haut en termes de qualité de cuisine, malgré les nuages jusqu’à 13h00 » s’enthousiasme Richard Loyen. En effet, c’est sous la grisaille qu’a démarré le concours à 10h00, et ce jusqu’à 13h30. Cependant, aucun participant ne s’est découragé ! Ça a coupé, ça a râpé, ça a préparé, ça s’est adapté, ça a fait mariner pour une cuisson à froid, ça a utilisé les 5 min de soleil quand il y en a eu. Et toujours avec le sourire aux lèvres, sans se départir de la bonne humeur, dans l’espérance de quelques rayons de soleil.
Contre toute attente et avec un ciel gris foncé continu jusqu’à l’horizon, le soleil arrive à percer vers 13h30, et durablement. A brides abattues, tous les plats sont envoyés aux fourneaux et les cuisiniers s’exclament de joie. 15h00 : tous les plats sont prêts, sont beaux et bons, et le jury composé de Ludovic Parisot, directeur régions Sud de Engie, Gabriel Guillet, doctorant au laboratoire IUSTI (AMU-CNRS-Polytech Marseille) financé par la Région Sud et le restaurant Le Présage, Richard Loyen, représentant de l’association « Les Festins Photoniques » et Clément Flint, cuisinier au Présage, peut déguster et juger des plats de fort belle facture ! Fin du concours, tout s’est au final bien passé ! L’édition 2022 s’annonce prometteuse, à l’aune de ce retour d’expérience certes un tantinet trop nuageux…
Nous reproduisons ci-dessous l'intervention de Sophie Mourlon, directrice de l'énergie au Ministère de la Transition écologique et solidaire, lors de la 4ème Université de l'autoconsommation photovoltaïque qui s'est tenu la semaine dernière à l'initiative d'Enerplan. Voici la première partie de son intervention. La suite sera publiée dans l'édition de demain.
« Bonjour à tous, merci à Daniel Bour président du syndicat Enerplan de m'avoir invité à parler ce matin.
Effectivement ça fait plaisir d'être dans une salle avec des vraies gens, mais je m'adresse également à tous ceux qui sont en ligne, on finit par s'habituer à cette configuration mixte en espérant que la mixité aille plutôt vers un peu plus de présence et d'interaction.
J’étais ravie en arrivant de pouvoir saluer un certain nombre de personnes, c'est quelque chose qu'on peut beaucoup moins faire évidemment dans les séminaires entièrement dématérialisés auxquels on a été habitué. Donc je suis ravie d'être ici avec vous et compte tenu de l'ouverture que vient de faire Daniel Bour peut-être avant de rentrer dans le sujet de l'autoconsommation qui va vous occupez proprement dit, je souhaiterais revenir sur quelques éléments qui ont été évoqués.
En commençant peut-être d'abord par les grandes perspectives et puis on reviendra sur le solaire en particulier. Vous savez, il y avait un certain nombre de publications et communications, que nous travaillons d'ores et déjà à préparer l'avenir, puisque l'énergie est un sujet sur lequel en plus très court terme et des pics de prix à très court terme sur les marchés spot, mais aussi de la vision à très long terme, puisque le développement de capacités de production et de réseaux s’envisage à échéance de plusieurs décennies et entre autres études et entre autre analyses, nous avons demandé à RTE de travailler sur des scénarios de mix électrique à long terme, au-delà de 2035 avec des perspectives à 2050, dans diverses hypothèses de scénarios.
L'objectif n'étant pas de choisir un scénario qu'on va choisir dans un an ou dans deux ans, pour le suivre tête baissée jusqu'en 2050, mais d'évaluer le champ des possibles est de prendre dans les prochaines années les décisions qui permettent de préparer l'avenir à horizon 2030, 2040 et de se laisser les options ouvertes nécessaires à l'horizon 2050.
Et bien ce que je peux vous dire, mais vous l'avez certainement vu puisque RTE a communiqué sur la phase intermédiaire de ses travaux juste avant l'été, c'est que dans tous les scénarios il y a beaucoup de solaire. Ça fait partie du mix quoi qu'il arrive, dans tous les scénarios qu'on envisage à l'horizon 2030, 2040, 2050, en termes de trajectoire et en termes de mix à long terme, le solaire a une place éminente à l'intérieur des mix.
Alors selon les cas, selon les choix de mix, des grandes installations, il y en a plus ou moins, on peut avoir des paniers différents entre le solaire sur toitures et les grandes centrales au sol, mais en tout état de cause il y a beaucoup de solaire. Donc c'est un sujet qui nous occupe, c'est un sujet sur lequel, et je remercie Daniel Bour de l’avoir salué, parce que les équipes ne sont pas toujours assez remerciées du temps qu'elles consacrent et je peux vous dire que l’on en consacre beaucoup, qu'elles n'économisent ni leur énergie, ni leurs heures pour faire avancer ces sujets, donc on va continuer à travailler sur l'encadrement réglementaire, sur les dispositifs de soutien pour permettre l'accélération du développement du solaire dans ses différentes composantes et, j'ai prévu le dire en clôture de mon propos mais je vais le dire maintenant, on compte vraiment sur la filière pour se saisir des dispositifs qu'on a mis en place.
Alors, oui, on voudrait toujours qu'il soit un peu plus comme si, un peu plus comme ça, un peu plus vers l'avant, un peu plus vers l'arrière, un peu plus gros, un peu moins rapide etc., mais je vais y revenir, vraiment ici et maintenant on a fait beaucoup de choses, on a des dispositifs qui ont été renégociés, qui vont rentrer en vigueur très prochainement, les dispositifs de soutien. Il faut que la filière s'en emparent pour faire de beaux projets, ça n'empêche pas de continuer à discuter sur le futur, mais il faut aussi saisir les opportunités ici et maintenant dans ce qu'elles sont, créer un espace de développement pour le solaire qui est encore renforcé par rapport à ce qu'on avait jusqu'à présent.
Moi je souhaite vraiment que ça donne des résultats. D'abord parce qu'on a besoin de développer et d'accélérer le développement du solaire et aussi pour conforter la perspective de la place du solaire à long terme, je pense que c'est important que la filière montre qu'on peut faire des beaux projets performant responsables économiques avec les dispositifs qu'on a mis en place. Voilà, donc je compte sur vous, je le redirai peut-être en conclusion mais ça me semblait être un point important ».
Après une baisse de plus de 85% des prix du solaire lors de la dernière décennie, voila que les tarifs des équipements solaires connaissent un frémissent à la hausse aux États-Unis ces derniers mois selon le rapport américain Solar Market Insight. La tension de la chaîne d'approvisionnement et les préoccupations politiques ajoutent de l'incertitude aux progrès du secteur. Une mauvaise nouvelle dans les objectifs de la lutte contre les changements climatiques !
Malgré l'ajout de 5,7 gigawatts (GWc) de capacité solaire au deuxième trimestre 2021, les contraintes de la chaîne d'approvisionnement entraînent des augmentations de prix dans tous les segments du marché solaire, selon le rapport américain Solar Market Insight publié la semaine dernière par la Solar Energy Industries Association (SEIA) et Wood Mackenzie, une entreprise de Verisk (Nasdaq : VRSK).
Une première depuis 2014
C'est la première fois que les prix de l'énergie solaire augmentent d'un trimestre à l'autre et d'une année à l'autre dans tous les segments de marché depuis que Wood Mackenzie a commencé à modéliser les données sur les prix du système en 2014. Les prix ont augmenté le plus pour le segment des services publics à hauteur d’environ 6 % d’une année à l’autre. De nombreux développeurs solaires ont un inventaire suffisant pour les projets 2021, mais commenceront à voir des augmentations de prix en 2022. "C'est un moment critique pour notre avenir climatique. Les augmentations de prix, les perturbations de la chaîne d'approvisionnement et une série de menaces commerciales menacent notre capacité à décarboner le réseau électrique", a déclaré la présidente et PDG de SEIA, Abigail Ross Hopper. « Si nous voulons encourager la capacité de fabrication nationale et conduire suffisamment de déploiement solaire pour lutter contre la crise climatique, nous devons garder un œil sur la balle et exhorter nos dirigeants fédéraux à agir. » En plus des récentes mesures d'exécution sur le silicium de qualité métallurgique du Xinjiang, deux nouvelles pétitions tarifaires ont été déposées. Prises ensemble, ces actions pourraient considérablement exacerber les contraintes de la chaîne d'approvisionnement et augmenter les prix des systèmes solaires.
La demande est élevée dans tous les segments Malgré ces vents contraires à court terme, l'industrie solaire a connu un deuxième trimestre solide et a représenté 56% de tous les nouveaux ajouts de capacité électrique aux États-Unis au premier semestre 2021. Les États-Unis ont officiellement dépassé les 3 millions d'installations solaires au deuxième trimestre, grâce à une forte reprise dans le secteur résidentiel après avoir été touché par la pandémie de COVID-19. « L'industrie solaire continue d'afficher une forte croissance trimestrielle et la demande est élevée dans tous les segments », a déclaré Michelle Davis, analyste principale et auteure principale du rapport. « Mais l'industrie se heurte maintenant à de multiples défis, allant des prix élevés des équipements aux processus d'interconnexion complexes. Relever ces défis sera essentiel pour accélérer la croissance de l'industrie et atteindre les objectifs en matière d'énergie propre. »
80 GW installés par an pour atteindre les objectifs
De nouvelles prévisions de Wood Mackenzie montrent que les États-Unis compteront en moyenne un peu plus de 29 GW de nouvelles capacités solaires annuelles supplémentaires jusqu'en 2026. Mais cela est bien en deçà du rythme de déploiement nécessaire pour atteindre les objectifs d'énergie propre du président Joe Biden pour 2035. Pour atteindre ces objectifs, l'industrie solaire doit installer plus de 80 GW d'énergie solaire par an de 2022 à 2035. L'industrie solaire continuera d'enregistrer des records annuels d'installation jusqu'à ce que le crédit d'impôt à l'investissement dans l'énergie solaire diminue complètement en 2024. La croissance de l'industrie devrait stagner en 2025 et 2026. Ces prévisions ne tiennent pas compte des actions commerciales supplémentaires, qui représentent un risque de baisse substantiel par rapport aux perspectives de Wood Mackenzie.
Les chiffres clés du marché américain
Avec les ajouts au deuxième trimestre, les États-Unis ont réalisé 3 millions d'installations dans tous les segments de marché, dont la grande majorité sont des systèmes résidentiels. Le solaire résidentiel a augmenté de 2% par rapport au premier trimestre 2021, mais en hausse de 46% par rapport au deuxième trimestre 2020, lorsque les installations ont été les plus durement touchées par la pandémie de Covid-19. Avec 974 MWc installés, les volumes sont au niveau du T4 2020. Le solaire communautaire a augmenté de 16% par rapport au deuxième trimestre 2020 avec 177 MWc installés, et le solaire commercial a augmenté de 31% par rapport au même trimestre de l'année dernière avec 354 MWc installés. L'énergie solaire à grande échelle a établi un autre record pour les installations au deuxième trimestre à 4,2 GWc. Le Texas, l'Arizona et la Floride représentaient près de 3 GW du total trimestriel. Un total de 9,3 GWc de nouveaux contrats d'achat d'énergie solaire à l'échelle des services publics ont été signés au deuxième trimestre 2021, portant le pipeline sous contrat à l'échelle des services publics à près de 85 GWc.