Elisabeth Borne a dévoilé les 69 lauréats de la sixième période de l’AO « autoconsommation » pour un volume de puissance de 25 MWc. Ces lauréats sont des installations de production d’électricité solaire photovoltaïque. 64 % de ces projets sont situés sur des toitures, 25 % sur des ombrières de parking et le reste des projets prévoient à la fois une implantation sur bâtiment et ombrière.
Dans la continuité des efforts engagés en soutien à l’autoconsommation, la ministre a annoncé le lancement des travaux visant à simplifier la formule de rémunération de l’appel d’offres pour accélérer le développement de ce secteur, en concertation avec l’ensemble des acteurs. Une prochaine période de l’appel d’offres, pour 25MW, aura lieu en janvier 2020. « L’autoconsommation est un levier de développement important des énergies renouvelables en France et nous poursuivrons nos efforts pour la développer. C’est un moyen efficace de rendre les consommateurs acteurs de la transition énergétique » a déclaré Elisabeth Borne.
La 32ème édition de l’Observatoire de l’énergie solaire photovoltaïque traite de l’activité des installations photovoltaïques au 3ème trimestre 2019 en France. Les représentants du think-tank France Territoire Solaire en retiennent les conclusions suivantes :
1 - Le volume de raccordement au 3ème trimestre 2019 s’établit autour de 280 MW*. Ce volume est en hausse par rapport au 2ème trimestre (224 MW), qui lui-même était en hausse par rapport au 1er trimestre (160 MW).
2 - Ce 3ème trimestre est marqué :
o par une légère reprise sur le segment « autoconsommation » (totale ou partielle), avec 6 000 installations raccordées,
o par une légère hausse du segment des installations domestiques (<9 kW), avec un volume de 23 MW,
o par une forte hausse du segment des moyennes toitures (9 à 100 kW), atteignant un volume de 61 MW, amplifiant encore plus la dynamique déjà observée,
o par une hausse du segment des grandes toitures (100 à 250 kW), atteignant un niveau de 30 MW, confirmant une bonne dynamique,
o par une légère baisse sur le segment des très grandes toitures (250 kW à 1 MW), avec un volume de 6 MW,
o par une nouvelle hausse du segment des grandes installations (1 MW et +), atteignant 158 MW ce trimestre.
3 - La file d’attente poursuit une forte croissance et le stock de projets dépasse les 5,3 GW au terme de ce 3ème trimestre 2019. Par rapport au trimestre précédent, la hausse des volumes ayant signé une convention de raccordement laisse augurer un bon 4ème trimestre.
« Avec 280 MW raccordés, ce troisième trimestre 2019 confirme la tendance à la hausse des volumes raccordés. Cette reprise dont nous avions déjà pu déceler les signaux faibles au trimestre précédent, peut s’expliquer par l’arrivée des projets lauréats de la deuxième vague de l’appel d’offres CRE 4, dont la date limite de raccordement était fin juillet 2019, auxquels viennent s’ajouter les retardataires des vagues précédentes. Si cette croissance s’amplifie à nouveau au prochain trimestre, l’année 2019 constituerait un bon cru et potentiellement l’amorce du changement de rythme annuel requis pour se placer sur la trajectoire prévue par la PPE qui prévoit 3 GW par an.
Toutefois, il est important de garder à l’esprit que le cycle des projets solaires est pluriannuel et que les freins actuellement subis en matière de procédures administratives et de délivrance des permis de construire impacteront les volumes de raccordement à venir, et par conséquent l’objectif annuel de 3 GW » déclare Antoine Huard, Président de France Territoire Solaire.
NB : les chiffres de cet Observatoire concernent la France continentale, ils sont légèrement différents des chiffres du CGDD, car l’Observatoire n’a pas accès aux données de raccordement et de file d’attente des entreprises locales de distribution (ELD), ces dernières n’étant pas publiées.
Nicolas Hulot a été récemment auditionné par la Convention citoyenne qui travaille sur un ensemble de mesures à mettre en œuvre pour protéger e climat. Voici le verbatim d’une partie de son exposé où il plaide pour une alimentation du pays à 100% en énergies renouvelables.
« Je crois, mais pas parce que j'ai rencontré madame Irma, parce que j'ai vu la promesse présente et à venir du potentiel des énergies renouvelables et je pense qu'il faut ne pas exclure (moi je préférais qu’on l’affiche) qu'on se donne deux options.
Premier objectif 50 % d'énergie renouvelable, 50% de nucléaire puisque pour la France, nous avons un parc et on ne ferme pas une centrale comme ça en fermant la clé. Utilisons ce parc, avec des critères évidemment de sécurité, le temps que ces centrales puissent continuer à produire de l'énergie mais fixons cet objectif de 50%. Il faut le programmer pour le faire, parce que ça veut dire que l’on va fermer ensemble de centrales, il faut regarder socialement, il faut regarder au niveau des territoires, est-ce qu’il y a des intérêts économiques, il faut planifier tout cela, ce que ce que l'on a commencé à faire. Et puis quand on sera à 50% - peut être peut-être en 2035 - on va y voir très clair et on verra si on peut aller probablement, moi j'en suis convaincu, aller jusqu'à 100% d'énergies renouvelables. Mais encore faut-il que l’Europe s’harmonise, encore faut-il qu’il y ait les bonnes interconnexions.
Quel est l'intérêt de produire majoritairement voire exclusivement pour la France, mais pour tous les états du monde son énergie à partir des énergies renouvelables, ce qui est un graal totalement possible ? Vous changez le rapport de force dans le monde, aujourd'hui un Etat et puissant quand il détient des réserves d'énergies fossiles et la majorité des conflits
auxquels nous avons assisté, le pétrole, le gaz, le charbon n'est jamais très éloigné.
Quand il y a eu la crise en Ukraine, pourquoi la France a regardé ses « pompes » ? Parce que si on haussait la voix Gazprom fermait le robinet du gaz. mais ce qui vaut pour la France vaut pour un Etat africain. Quand les Etats africains pourront produire leur énergie majoritairement avec le soleil, ils retrouveront leur dignité.
Je crois beaucoup aux énergies renouvelables, d'autant plus que le handicap des énergies renouvelables et l’avantage du nucléaire se sont totalement inversés. Le coût du nucléaire, qui était bon marché (parce que nous avions dissimulé des coûts, que nous avions masqués où nous ne les avions pas anticipés), et le coût des énergies renouvelables qui a chuté vertigineusement en même temps que le rendement s'est amélioré.
Si on veut emmener les gens, il faut avoir une vision, il faut avoir une ambition. On va rencontrer des aléas, mais on se dit « allez, l'objectif on verra, on fera peut-être un peu plus vite ». Ça les chinois au moins ils savent le faire, ils fixent des objectifs puis toute la machine se met en route puis pour finir ils réalisent leurs objectifs cinq ans avant.
Pour moi il faut un objectif de 100 % d'énergie, en tout cas ne pas l'exclure. Un objectif de 100 % d'agroécologie, en tout cas ne pas l'exclure. Et puis ensuite, les règlements, les aides,
les subventions, ont fait en sorte qu'elle soit cohérente avec ses objectifs. »
Question : « oui c'est bien de nous parler d'énergies renouvelables mais quelle est celle qu'il faut aujourd'hui mettre en place rapidement, celle qui est la plus importante. Ce que vous nous dites pour 2030 ou 2050, mais aujourd’hui ? »
Nicolas Hulot : « Pour moi, il faut investir dans l’efficacité, l'éolien terrestre et offshore, le solaire et je pense que pour moi le plus prometteur c'est le solaire, en sachant bien que l'éolien je comprends que ça puisse générer parfois des résistances.
Il faut comprendre que le politique est souvent soumis à des injonctions contradictoires. Quand j'étais ministre de l'énergie, enfin parait-il, tous les matins j'avais une pétition de citoyens qui étaient contre le nucléaire ou contre solaire ou contre les éoliennes ou évidemment contre les centrales thermiques. Donc, il y a des choix, et parfois ce ne sont pas des choix parfaits. C'est vrai que moi ça me gêne intellectuellement qu'on aille mettre des éoliennes en mer, mais il y a un moment où il faut faire des choix. Et puis, ce n'est pas irréversible on saura les démonter, maintenant et des éoliennes flottantes qui seront facilement démontables. Donc, il faut passer par cette transition, il y a des choses qui vont apparaître.
Je crois beaucoup en l'hydrogène mais pour l'instant il n'est pas encore mature économiquement parce que quand je vais vous lancez un peu un « plan hydrogène »,
dans la seconde j'étais retoqué par Bercy alors que l'on a toutes les entreprises pour cela et pendant que nous, on fait les choses à l'économie, toutes les nouvelles technologies
qu'elles soient solaires ou qu'elles soient des batteries ou que ce soit l'hydrogène elles vont arriver de Corée ou de Chine on va reproduire la même erreur ! »
Le Monde Nouveau est un rendez-vous citoyen de 4 jours qui aura lieu du 26 au 29 mars 2020 à Perpignan, où seront abordés les questions de transitions écologiques, de transitions énergétiques, et beaucoup de solutions concrètes pour rendre notre planète bleue plus verte. Plus de 7 200 personnes se sont déplacées en 2019 pour le lancement du « MONDE NOUVEAU », un forum inédit qui a pour vocation de poser les jalons d’une société innovante et responsable. La version 2020 qui comptera un jour supplémentaire espère en rassembler 10 000. Les partenariats seront plus nombreux ; la programmation toujours aussi exigeante, plus attractive ; enfants, étudiants, créateurs, jeunes patrons et start-up se familiariseront avec tout ce que le Monde Nouveau leur présentera au palais des Congrès devenu pour quatre jours un vaste laboratoire d’idées et d’innovations. Pour la seconde fois les équipes du Monde Nouveau relèvent le défi : permettre à notre Planète et à ses habitants de vivre en osmose dans un univers apaisé et équilibré, pour une relation plus juste entre les hommes et la nature. Le dernier rapport du GIEC et les deux rapports spéciaux prouvent que nous sommes loin de réussir nos engagements de réduction des émissions de CO2, et ce principalement dans les transports et l’habitat, au cœur des villes.
Durant quatre jours, de multiples débats se dérouleront sur des enjeux de plus en plus urgents et sur des solutions déjà existantes. L’idée du Monde Nouveau c’est que notre avenir nous appartient, à nous citoyens. Il repose sur nos savoirs, notre enthousiasme et nos rêves et ne peut plus être seulement le fait des Etats. Les débats permettront à chacun de participer sur les grands enjeux de la transition écologique. Ils sont locaux et globaux .Six grandes thématiques nous placeront face à nos responsabilités citoyennes. Elles s’articulent autour des menaces qui pèsent sur notre avenir. Les derniers chiffres prouvent que le dérèglement climatique va plus vite que prévu. Adaptation de nos modes de vie, de nos habitats, et de nos modes de transport ; adaptation de notre alimentation ; réduction et gestion intelligente de nos déchets ; impact de notre environnement sur notre santé ; nouveaux engagements citoyens ; préservation de notre biodiversité… C’est le moment d’agir.
Six thématiques pour réfléchir ensemble aux grands enjeux du monde de demain
Le MONDE NOUVEAU est un événement hybride, tout à la fois B to B et B to C, où la programmation s’articule autour de 6 grandes thématiques :
L’ADEME vient de publier une note sur l’utilisation des terres rares dans les énergies renouvelables et le stockage de l’énergie qui confirme que la consommation de terres rares dans ces secteurs est extrêmement faible. Cette publication dresse un état des lieux qui montre que les énergies renouvelables n’utilisent pas ou très peu de terres rares.
Contrairement à une idée reçue, elle rappelle tout d’abord que les technologies solaires photovoltaïques actuellement commercialisées ne contiennent aucune terre rare. Certaines utilisent des métaux qui peuvent être critiques, comme le tellure, le cadmium, l’indium ou encore l’argent, mais il ne s’agit pas de terres rares. Les technologies « couches minces » utilisant du tellure, du cadmium et de l’indium restent toutefois largement minoritaires sur le marché du photovoltaïque, les technologies au silicium (qui n’est ni une terre rare, ni un matériau critique en terme de risques sur les approvisionnements bien que d’importance stratégique forte pour l’industrie française) représentant quant à elles 80 à 90 % du marché.
La consommation de terres rares dans ce secteur des EnR réside essentiellement dans l’utilisation d’aimants permanents pour certains segments de marchés de l’éolien (essentiellement pour l’éolien en mer), de faible taille actuellement, mais en forte croissance. « A notre connaissance, aucune autre technologie de conversion des énergies renouvelables n’utilise les terres rares de manière significative » constate le rapport.
Concernant l’utilisation de terres rares dans les dispositifs de stockage adaptés aux énergies renouvelables, qui accompagneront le nouveau mix électrique, l’ADEME rappelle tout d’abord que le déploiement de stockage de masse ne sera nécessaire que pour les zones non interconnectées avant 2030 et plutôt après 2040-2045 pour la métropole, et que les technologies les plus déployées pour le stockage des énergies renouvelables n’utilisent pas, ou en très faible quantité, les terres rares. Parmi les batteries couramment utilisées, seules les batteries nickel-hydrure métallique (NiMH) comprennent un alliage de terres rares à la cathode, mais leur utilisation restera très marginale dans la transition énergétique. « Le SER se félicite que l’ADEME apporte des éléments concrets et factuels à cette discussion sur les terres rares, sujet sur lequel beaucoup de contre-vérités circulent aujourd’hui dans le débat public » déclare Jean-Louis Bal, Président du Syndicat des énergies renouvelables.
Petit rappel sur les terres rares
Les terres rares constituent un ensemble d’éléments métalliques du tableau périodique des éléments, aux propriétés chimiques très voisines. Contrairement à ce que leur nom peut laisser supposer, ces éléments ne sont pas rares : leur criticité est principalement liée au quasi-monopole actuel de la Chine pour leur extraction et leur transformation. La Chine réalisait environ 86 % de la production mondiale de terres rares en 2017. L’extraction des terres rares présente, comme toute extraction minière et de transformation métallurgique, des impacts environnementaux dont la modification des paysages, des sols et du régime hydrographique local. Les impacts diffèrent suivant les types de gisement. La spécificité environnementale de l’extraction des terres rares par rapport à d’autres métaux vient de la présence de thorium et d’uranium dans les gisements dits « de roches » qui induisent une pollution radioactive des différents rejets.
Intervention de Nicolas Garnier - Délégué Général, AMORCE lors de l'Université d'été de l'autoconsommation organisée à Paris le 12 et 13 septembre 2019 par Enerplan.
Pour visualiser la totalité de la table-ronde consacrée à "Solaire Solidaire" avec les intervenants ci-dessous (durée 1h40) : Cliquez ici
Emmanuelle Cosse - Ancienne ministre du Logement et membre du COMEX de l’USH
Intervention de Guillaume Perrin - Responsable transverse multi-énergies, FNCCR / Territoire d’énergie, lors de l'Université d'été de l'autoconsommation organisée à Paris le 12 et 13 septembre 2019 par Enerplan.
Créée il y a 35 ans au sein du groupe SEP (Société Européenne de Propulsion - Aujourd'hui Groupe SAFRAN), TECSOL est, depuis 1983, une société anonyme indépendante au capital de 172 438 €.
Les compétences de TECSOL couvrent l'ensemble du secteur de l’équipement technique du bâtiment avec une forte dominance dans les domaines de l'énergie solaire et de la communication électronique.
TECSOL possède une très bonne expérience dans le secteur de la maîtrise de l’Energie, du solaire photovoltaïque et thermique, mais également dans celui de la climatisation solaire.
En complément de son expertise technique, TECSOL a également développé un véritable savoir-faire concernant l’ingénierie financière des projets (recherche de financements nationaux ou européens).
TECSOL s'honore de compter dans sa clientèle régulière quelques Maîtres d'Ouvrages ou Organismes prestigieux parmi lesquels :
- La Banque Mondiale, la Commission Européenne.
- Les Ministères Français de l'Industrie, de la Coopération, l'Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l'Energie (ADEME).
- Les Conseils Régionaux de Auvergne-Rhône-Alpes, Corse, Grand Est, Ile de France, Nouvelle-Aquitaine, Occitanie, Pays de la Loire, Provence-Alpes-Côte-d’Azur, Guadeloupe, Martinique, La Réunion et de nombreuses municipalités et collectivités publiques.
Intervention de Luc Soulié, Conducteur de travaux, SOLIHA, lors de l'Université d'été de l'autoconsommation organisée à Paris le 12 et 13 septembre 2019 par Enerplan.
Pour visualiser la totalité de la table-ronde consacrée à "Solaire Solidaire" avec les intervenants ci-dessous (durée 1h40) : Cliquez ici
Emmanuelle Cosse - Ancienne ministre du Logement et membre du COMEX de l’USH
Vingt ans après la naissance de la marque Q CELLS, l’excellence technologique durable de la société continue de façonner l’industrie solaire en matière de recherche et développement. Anniversaire !
Q CELLS vient de célébrer son 20ème anniversaire. Pour marquer cet événement, Q CELLS prévoit de fournir une série de produits et services marqués du sceau de l’innovation en 2020. Plus précisément, 2020 sera l’année où Q CELLS élargira son portefeuille de modules monocristallins à l’efficacité de conversion supérieure à 20%. A partir de l’an prochain d’ailleurs, toute la capacité de production de Q CELLS sera orientée vers le monocristallin. La société estime que la technologie monocristalline représente la voie la plus efficace pour obtenir le LCOE le plus bas dans les projets photovoltaïques.
80 à 90 millions de dollars par an pour la R&D
Avec le passage au mono, Q CELLS continuera de répondre à l’appétit croissant pour les modules de puissance supérieure – comme en témoigne le lancement réussi du module Q.PEAK DUO-G6 fabriqué avec des plaquettes M4 plus grande en Europe, aux États-Unis et en Australie en Q2 et Q3 cette année. De nouveaux modules de nouvelle génération de la série Q.PEAK DUO seront dévoilés tout au long de 2020. En outre, Q CELLS a intégré la principale préoccupation du client centrée sur les performances, les coûts et la fiabilité pendant la durée de vie de 25 ans d’un module. En produisant des modules solaires sans cesse plus efficaces, Q CELLS continue de démontrer la force de son expertise en Recherche & Développement. L’investissement en R&D a atteint en moyenne 80 à 90 millions de dollars par an au cours des cinq dernières années. De quoi conforter un leadership technologique mais aussi une solide compréhension de la satisfaction des demandes des clients ! Une compréhension qui remonte à deux décennies.
Q CELLS, deux décennies dans le solaire : un exploit
20 ans dans l’industrie solaire, une prouesse ! Très peu d’autres sociétés solaires sur le marché aujourd’hui peuvent se targuer d’une aussi longue histoire que la marque Q CELLS. Cela témoigne de la force de la vision initiale de Q CELLS d’offrir l’excellence « Engineered in Germany» et de la portée mondiale, de la bancabilité et de l’expertise du marché de la société. De la création allemande de la société en 1999 à son statut actuel de fournisseur de premier plan et verticalement intégré de solutions énergétiques totales, le parcours de Q CELLS a étroitement reflété celui de l’industrie solaire elle-même. Le directeur technique de Q CELLS, Daniel Jeong, a déclaré: «Atteindre notre 20ème anniversaire est un rappel opportun de la façon dont Q CELLS continue de fixer les normes pour l’industrie solaire. Nous sommes fiers de l’avancement de nos capacités de R&D, et la livraison de produits mono avec une efficacité de module de plus de 20% montre comment nous pouvons traduire ces apprentissages en produits actuels. L’amélioration de l’efficacité de la conversion de puissance reste notre priorité, qui est facilitée par l’évolution continue des produits de Q CELLS, avec de nombreux autres développements passionnants dans le pipeline. En tant que marque célébrant 20 ans dans l’industrie solaire, nous sommes fiers lorsque nous regardons notre passé ainsi que nos réalisations actuelles, et en outre, extrêmement excités lorsque nous envisageons l’avenir.”
Q CELLS, 20 ans : les étapes fondatrices
• 1999: Fondation de Q CELLS à Thalheim, en Allemagne. Capacité solaire globale: 1 GW
• 2001: lance sur le marché la cellule Q6M
• 2004: établit une nouvelle norme pour l’industrie avec une cellule Q6L de 6 pouces
• 2007: déploie sa première cellule à trois jeux de barres, la Q6LTT3-G3
• 2008: première entreprise à garantir des cellules sans points chauds avec Hot-Spot Protect
• 2009: ouvre sa première unité de production à l’étranger, en Malaisie
• 2010: passage de la production cellulaire uniquement à la production de modules
• 2011: atteint une efficacité record de 19,5% avec la cellule multicristalline Q.ANTUM
• 2012: devient la première entreprise solaire à commercialiser la technologie PERC
• 2015: fusion avec Hanwha SolarOne
• 2015: Atteint une efficacité record mondiale de 19,5% avec le module multicristallin Q.ANTUM
• 2015: Signature d’un accord de fourniture de modules de 1,5 GW avec NextEra Energy Resources, LLC
• 2017: Inauguration de l’usine de cellules de Jincheon en Corée du Sud
• 2019: franchit le cap des 3 milliards de cellules solaires Q.ANTUM
• 2019: Inauguration de la plus grande usine de fabrication de modules du monde occidental à savoir l’usine de 1,7 GW à Dalton, Géorgie, États-Unis