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Agnès Langevine: «La Région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, une opportunité pour les Pyrénées-Orientales»

Agnès Langevine est la 3e vice-présidente de la Région en charge de la Transition écologique et énergétique, de la Biodiversité, de l’Économie circulaire et des Déchets. Un périmètre « large, mais qui reste cohérent», selon la nouvelle élue régionale aux attaches catalanes qui répond aux questions d’ Estelle Devic dans l’édition de l’Indépendant de ce jour

Qu’est-ce que l’économie circulaire et quelles en sont les applications dans les P.-O. ?

Le principe est de réduire le prélèvement des ressources naturelles dans le processus industriel comme, par exemple, la valorisation des déchets. C’est un axe que je souhaite développer dans les Pyrénées-Orientales. La Région lancera un appel à projets. Des entreprises fonctionnent déjà ici sur ce principe, comme la start-up Eco-tech céram qui propose une solution pour stocker de la chaleur dans des briques réfractaires en céramique produites à partir de déchets du bâtiment. C’est une piste pour développer des emplois locaux. L’économie circulaire s’articule bien avec la compétence des déchets.

Comment appréhendez-vous ce dossier des déchets?

Nous avons un plan régional de prévention et de gestion des déchets à voter, dans l’absolu, en février 2017. Mais je ne sais pas si nous tiendrons les délais. Nous tenons à organiser une très large concertation sur ce sujet. J’ai rendez-vous avec le Sydetom 66. L’idée première, c’est bien de changer le statut du déchet et de se recentrer sur la revalorisation. Là encore, des appels à projets seront lancés par la Région.

Carole Delga a demandé à l’État d’accélérer la mise à deux fois trois voies de l’A9 entre Le Boulou et l’Espagne. Qu’en pensez-vous?

Forcément, ce n’est pas la solution que nous, les écologistes, aurions privilégiée et le passage d’autant de camions sur cette autoroute reste un problème. Nous militons pour l’augmentation de la capacité du ferroutage, ce qui ne peut passer que par la mixité de la LGV (Ligne à grande vitesse).

Quel est votre avis au sujet du tracé en Roussillon du futur TGV Montpellier-Perpignan?

La proposition de tracé est validée, ce qui est une bonne chose dans le sens où l’enquête publique va être ouverte. Les écologistes vont se mobiliser pour la mixité de la ligne.

La Région s’est engagée pour le maintien du Train jaune dans la convention TER. Quelles seront les prochaines étapes?

C’est une grande satisfaction que le Train jaune reste un service public, c’était d’ailleurs un des termes de l’accord de majorité. Maintenant, les assises du rail prévues en mai-juin permettront d’entrer dans le vif du sujet.

Au sujet de la montagne, quel regard portez-vous sur le projet de fusion des stations catalanes?

La Région n’a pas été officiellement saisie du projet, mais je l’ai regardé de près. L’étude économique est assez faible et évacue les contraintes écologiques. Elle ne prend pas en compte les conséquences du réchauffement climatique sur l’enneigement et va à l’encontre de la charte du parc. Tel quel, le projet ne se fera jamais. L’économie de la montagne doit désormais s’inscrire dans le tourisme des quatre saisons. La Région va mettre en place le Parlement de la montagne pour travailler en ce sens.

Le pôle de compétitivité Derbi est cité en modèle par la présidente de Région. Quel rôle peut-il jouer ?

L’objectif est de faire de la région la première en France à énergie positive. On ne part pas de rien et Derbi est un levier majeur pour fédérer les entreprises autour d’un d’objectif commun: faire en sorte que les retombées économiques soient locales. Pour le photovoltaïque dans ce cas précis, mais également pour toutes les formes d’énergie renouvelables.

Comme l’éolien. Quelle est votre position sur l’éco-parc catalan ?

EELV avait émis un avis positif dans le cadre de l’enquête publique même si nous aurions préféré qu’une concertation générale ait lieu en amont. L’éolien, c’est un état d’esprit et il faut absolument travailler sur l’acceptabilité des projets. Les citoyens doivent être impliqués.

Les P.-O. ne risquent-ils pas d’être les oubliés de la région?

Ce sentiment d’abandon n’a pas lieu d’être. La nouvelle Région, c’est une opportunité pour le département: son repositionnement. Carole Delga a intégré quels étaient ses atouts et sa richesse et l’économie de la région sera au service de la population des P.-O. Notamment pour aider à la création d’emplois et lutter ainsi contre l’enracinement du Front national.

Le site de l'Indépendant

Par ailleurs Agnès Langevine est intervenu lors du 17ème colloque du Syndicat des Energies Renouvelables qui s'est tenu le 4 février à Paris.

L'ensemble des vidéos du colloque se trouve sur la chaine du SER en cliquant ici

Une solution béton pour stocker l’énergie solaire à faible coût présentée sur France Inter à La Tête au Carré

Matthieu Vidard, le sémillant présentateur de La Tête au Carré recevait vendredi 19 février dans le Clud des Têtes au Carré, André Gennesseaux fondateur d'Energiestro et lauréat du prix mondial de l'innovation venu présenté son concept de stockage de l'énergie solaire. « J'ai trouvé un moyen de résoudre le problème de l'énergie avec du béton, du béton pour alimenter le réseau électrique, éclairer, chauffer. Ma solution consiste à comprimer le béton avec un enroulement sous tension tout autour, de telle manière que le béton reste en compression jusqu'à la vitesse maximale. Pour simplifier, on va dire que nous le ficelons comme un rôti. Et notre grand projet est de créer de grandes centrales photovoltaïques dans des endroits très ensoleillés comme les déserts de manière à alimenter le réseau mondial avec une énergie propre et bon marché. Avec un coût de stockage aussi faible, les énergies renouvelables vont enfin pouvoir remplacer les énergies polluantes ». C'est ainsi qu'André Gennessaux a présenté son innovation lors du TEDx de Paris, un passage repris en préambule de l'interview radio.

En fait, depuis près de quinze ans, André et son épouse Anne Genneseaux, travaillent sur la question du stockage de l'électricité produite par l'énergie solaire afin de répondre à l'intermittence de la production. Trop chers, les volants à inertie acier ont laissé place ces derniers mois à un volant en béton VOSS, qui apporte un coût bien plus faible, à l'achat et à l'entretien, et un bon rendement. VOSS arrive à un coût de moins de 200 dollars par kilowatt-heure, contre environ 400 à 500 dollars avec des batteries lithium-ion. A noter que l'entretien de VOSS ne coûte à peu près rien et la durée de vie est presque infinie, là où les batteries cale après quelques milliers de cycles.

Parmi les problèmes rencontrés, la résistance du béton en traction résolu par ficelage du béton via une fibre qui a fait l'objet d'un brevet. Ainsi ficelé, le béton résiste à des rotations aux alentours des 1000 km/h. Economique, résistant, performant, VOSS serait donc promis à un bel avenir. Les particuliers, les opérateurs de réseaux électriques, les pays en développement, sont demandeurs. Des unités de stockage permettraient d'électrifier des régions entières avec des sources d'énergies renouvelables. La commercialisation pourrait commencer dans deux ans.

 

Appel à Projets EASYNOV - Catégorie ECO’INNOVATION : candidatures ouvertes jusqu’au 15 mars prochain

Au travers de la mise en place de l'appel à projets EASYNOV 2016, la Région Midi-Pyrénées et l'ADEME souhaitent participer au développement de l'éco-innovation. L'objectif d'Eco Innovation est de favoriser le développement ou le transfert d'écotechnologies dans les PME régionales, afin de conduire à la mise sur le marché de produits et services innovants. Trois domaines prioritaires sont particulièrement visés :

• l'énergie : économiser l'énergie dans les domaines du bâtiment, des procédés industriels ou des transports, développement des moyens de production d'énergie renouvelable, gestion et distribution de l'énergie, permettant une plus large intégration des EnR intermittentes et une plus grande flexibilité d'utilisation (stockage, autoconsommation, Smart Grids …).

• l'économie circulaire : écoconception, écologie industrielle, économie de la fonctionnalité, allongement de la durée d'usage, recyclage et valorisation des déchets ….

• l'eau : réutilisation et recyclage, identification des ressources, traitement de l'eau et épuration des eaux usées, eau et énergie, gestion des risques relatifs aux événements exceptionnels liés à l'eau.

Les candidatures sont ouvertes jusqu'au 15 mars 2016.

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Solar Frontier Americas vend un projet d'énergie solaire de 20 MW

Solar Frontier Americas, filiale américaine du plus grand fournisseur mondial de solutions solaires CIS, Solar Frontier, vient de vendre la centrale solaire Calipatria de 20 MW à Southern Power et Turner Renewable Energy. Southern Power est une filiale de Southern Company, l'une des plus grandes sociétés des États-Unis avec un portefeuille d'énergie renouvelable de plus 1 800 MW de capacité propre. Turner Renewable Energy, appartenant à Ted Turner, a rejoint Southern Company pour créer une filiale en janvier 2010, afin de former une alliance stratégique et poursuivre le développement de projets d'énergie renouvelable aux États-Unis.

Le partenariat entre Southern Power et Turner Renewable Energy s'est tout d'abord centré sur le développement et l'investissement dans d'importants projets photovoltaïques solaires (PV) de grande échelle dans le sud-ouest. La neuvième acquisition solaire de Southern Power avec Turner Renewable Energy, le projet Calipatria de Solar Frontier America, apporte au partenariat une capacité solaire générale de plus de 340 MW en fonctionnement ou en cours de développement.

Le projet solaire Calipatria est construit avec environ 130 000 modules CIS montés sur des orienteurs à un axe et contient un contrat d'achat d'énergie sur 20 ans avec la société San Diego Gas & Electric. Situé à Imperial County en Californie, le projet fait partie de la filière américaine de projet solaire de 280 mégawatts de Solar Frontier America. La société possède actuellement une série de projets à plusieurs étapes de développement en Californie.

Solar Frontier Americas Development, une division de Solar Frontier Americas dont les bureaux se trouvent à San Francisco, Californie, et Reno, Nevada, a développé la centrale d'énergie solaire Calipatria. La construction du projet a débuté en août 2015 et elle doit s'achever au cours du premier trimestre 2016. La centrale solaire doit pouvoir générer suffisamment d'énergie solaire pour répondre aux besoins en électricité d'environ 5 000 foyers des États-Unis par an.

Charles Pimentel, Directeur d'exploitation de Solar Frontier Americas, a déclaré, « Il s'agit de notre deuxième vente de projet solaire à Southern Power, leader incontesté, et cette transaction démontre à nouveau la force et l'acceptation de notre produit sur le marché américain. » « Southern Power construit l'un des portefeuilles de génération d'énergie renouvelable en gros le plus fiable et le plus solide des États-Unis et nous sommes heureux d'y ajouter le projet Calipatria de Solar Frontier America » a dit le Président Directeur Général de Southern Power, Oscar C. Harper.
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Conférence OFAEnR le 12 avril à Paris : le photovoltaïque et ses impacts environnementaux

L'Office franco-allemand pour les énergies renouvelables (OFAEnR) organise, le mardi 12 avril 2016, dans les locaux du Ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie (MEDDE) à La Défense/Paris une conférence photovoltaïque sur le thème : Le bilan environnemental et l'impact environnemental des installations photovoltaïques. Cet échange franco-allemand d'expériences entre décideurs politiques, représentants de syndicats et d'entreprises, experts des enjeux environnementaux et du développement durable ainsi que d'autres acteurs intéressés issus des filières photovoltaïques et renouvelables permettra d'analyser en détail le bilan environnemental et l'impact environnemental des installations photovoltaïques le long de toute la chaîne de valeur, de la production de cellules et de modules jusqu'au démantèlement des installations et recyclage du matériel en passant par leur construction, exploitation et maintenance, dans le contexte des lois nationales et européennes.

Dans ce contexte, des sujets tels que l'utilisation des sols et des surfaces, l'intégration durable des installations photovoltaïques dans la nature et le paysage ainsi que les possibilités d'une utilisation commune de surfaces pour la production d'électricité solaire avec des exploitations écologiques et agricoles seront abordés. Ainsi, cette conférence se consacrera entre autres aux questions suivantes :
Quelles dispositions juridiques assurent un développement de l'énergie photovoltaïque en France et en Allemagne en harmonie avec son environnement?
Quid du bilan environnemental des différents types d'installations photovoltaïques le long de toute leur chaîne de valeur et quelles mesures pourraient l'améliorer ?
La manifestation aura lieu en français et en allemand avec traduction simultanée.
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« Business Dialogue » : Ségolène Royal convie les entreprises à définir les orientations pour appliquer la COP21

Trois jours après avoir reçu les ministres européens de l'Environnement, Ségolène Royal a réuni lundi 15 février les principaux chefs d'entreprises du « Business Dialogue » avec Gérard Mestrallet, Président-directeur général d'Engie. L'objectif est de définir un plan d'actions pour 2016 et concrétiser les engagements de la Conférence de Paris dans les secteurs stratégiques de la croissance verte.

Le succès de la COP21 a montré une véritable prise de conscience du monde économique : plus d'un tiers des 200 plus grandes entreprises se sont engagées à travers l'Agenda des Solutions. Les 70 initiatives annoncées à cette occasion représentent plusieurs centaines de milliards de dollars qui peuvent être réorientés vers les marchés de l'économie bas-carbone.

En cette année de présidence française de la COP21, Ségolène Royal souhaite amplifier cette dynamique en agissant dans 3 domaines prioritaires :

• Investissements pour les énergies renouvelables et l'efficacité énergétique ;
• Accès à l'énergie ;
• Prix du carbone et financement de la lutte contre le dérèglement climatique.

En réunissant les chefs d'entreprises qui agissent concrètement dans leur stratégie de production et d'investissement, la ministre a rappelé les grandes orientations pour appliquer l'Accord de Paris :

• Participer à la promotion et la mise en œuvre des coalitions internationales de l'Agenda des Solutions ;
• Prendre des décisions structurelles comme la fixation d'un prix du carbone interne, le reporting climat de leurs actifs, et des engagements chiffrés de réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre ;
• Encourager l'exemplarité des entreprises pour créer un effet d'entrainement.

Pour accompagner les acteurs économiques dans ce mouvement, la ministre a présenté trois propositions pour le premier semestre 2016. Chaque entreprise sera chargée d'élaborer d'une « contribution » pour le climat, à l'image de ce qui a été réalisé par les Etats avec les INDC. Cette initiative comprendra un objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre, un plan d'actions pour y parvenir, une stratégie R&D bas carbone et un dispositif de suivi et d'évaluation. Ces plans d'actions seront compilés dans un « registre public » consultable par tous les acteurs économiques. La ministre s'engage à communiquer régulièrement sur les actions proposées pour mesurer la progression de la mobilisation et partager les meilleurs pratiques.

Les grandes entreprises françaises accompagneront le gouvernement dans la présidence de la COP pendant un an à l'image d'Engie, qui a créé le collectif Terrawatt pour accompagner l'Alliance solaire, ou de Michelin, qui s'engage pour le développement du véhicule électrique. Ségolène Royal souhaite que « ces entreprises deviennent les ambassadrices des engagements de la COP21, à condition qu'elles soient elles-mêmes exemplaires dans les filières de la croissance verte ».

Journée technique du Costic le 2 mars 2016 : « Les systèmes à énergie renouvelable dans le bâtiment »

Le 2 mars prochain à Paris, le Costic organise une Journée Technique, sur le thème « Les systèmes à énergie renouvelable dans le bâtiment ». Au programme :

• Les solutions techniques et les applications associées : solaire thermique, solaire photovoltaïque, bois énergie, pompes à chaleur…
• Analyse critique : mise en évidence des points forts et points faibles de chaque solution
• Evaluation de la faisabilité d'un projet intégrant une énergie renouvelable : critères décisionnels et choix des équipements et des configurations performants
• Evaluation des travaux à la réception de l'installation (exemples de fiches d'autocontrôle, de mise au point…)
• Les opérations d'entretien et de maintenance de chaque solution

Il sera réalisé un zoom sur les évolutions technologiques actuelles : modules thermiques d'appartements, chauffe-eau thermodynamiques, pompes à chaleur à absorption, photovoltaïque hybride… Il sera également évoqué les retours d'expériences de suivis instrumentés de l'ensemble de ces systèmes. Pour clore cette journée technique, une session de Questions – Réponses sera organisée avant les conclusions livrées par les experts.

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Solar Frontier Americas vend un projet d'énergie solaire de 20 MW

Solar Frontier Americas, filiale américaine du plus grand fournisseur mondial de solutions solaires CIS, Solar Frontier, vient de vendre la centrale solaire Calipatria de 20 MW à Southern Power et Turner Renewable Energy. Southern Power est une filiale de Southern Company, l'une des plus grandes sociétés des États-Unis avec un portefeuille d'énergie renouvelable de plus 1 800 MW de capacité propre. Turner Renewable Energy, appartenant à Ted Turner, a rejoint Southern Company pour créer une filiale en janvier 2010, afin de former une alliance stratégique et poursuivre le développement de projets d'énergie renouvelable aux États-Unis.

Le partenariat entre Southern Power et Turner Renewable Energy s'est tout d'abord centré sur le développement et l'investissement dans d'importants projets photovoltaïques solaires (PV) de grande échelle dans le sud-ouest. La neuvième acquisition solaire de Southern Power avec Turner Renewable Energy, le projet Calipatria de Solar Frontier America, apporte au partenariat une capacité solaire générale de plus de 340 MW en fonctionnement ou en cours de développement.

Le projet solaire Calipatria est construit avec environ 130 000 modules CIS montés sur des orienteurs à un axe et contient un contrat d'achat d'énergie sur 20 ans avec la société San Diego Gas & Electric. Situé à Imperial County en Californie, le projet fait partie de la filière américaine de projet solaire de 280 mégawatts de Solar Frontier America. La société possède actuellement une série de projets à plusieurs étapes de développement en Californie.

Solar Frontier Americas Development, une division de Solar Frontier Americas dont les bureaux se trouvent à San Francisco, Californie, et Reno, Nevada, a développé la centrale d'énergie solaire Calipatria. La construction du projet a débuté en août 2015 et elle doit s'achever au cours du premier trimestre 2016. La centrale solaire doit pouvoir générer suffisamment d'énergie solaire pour répondre aux besoins en électricité d'environ 5 000 foyers des États-Unis par an.

Charles Pimentel, Directeur d'exploitation de Solar Frontier Americas, a déclaré, « Il s'agit de notre deuxième vente de projet solaire à Southern Power, leader incontesté, et cette transaction démontre à nouveau la force et l'acceptation de notre produit sur le marché américain. » « Southern Power construit l'un des portefeuilles de génération d'énergie renouvelable en gros le plus fiable et le plus solide des États-Unis et nous sommes heureux d'y ajouter le projet Calipatria de Solar Frontier America » a dit le Président Directeur Général de Southern Power, Oscar C. Harper.

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ECIC et de Transénergie, deux acteurs historiques de l’ingénierie énergétique rejoignent le Groupe Nepsen

Depuis toujours, l'ambition du Groupe Nepsen est de devenir un acteur de référence dans le domaine de la transition énergétique. Depuis 2006, Alexandre Sevenet, son dirigeant, a ainsi construit un groupe de bureaux d'études en efficacité énergétique qui est aujourd'hui l'un des principaux acteurs du secteur. Le développement du groupe s'est fait par croissance externe et spin-off. En 2016, avec l'acquisition de Transénergie et d'ECIC, Nepsen change d'échelle et amplifie désormais son expertise avec deux nouveaux pôles de compétences : environnement (Agence ECIC Sud-Ouest) et énergies renouvelables (Transénergie).

Nepsen couvre ainsi l'ensemble des métiers de la ville de demain avec des problématiques énergétiques et environnementales : maîtrise de l'énergie, production renouvelable de l'énergie et performance environnementale. Une expertise qui renforce considérablement l'offre, permettant ainsi d'enrichir le savoir-faire de l'ensemble du groupe. Mais Nepsen gagne aussi du terrain : une nouvelle agence en Côte d'Azur avec Transénergie Méditerranée, et des positions renforcées dans d'autres régions (Ile de France, Bordeaux, Lyon, Toulouse).
Bientôt place à l'international, avec des projets en Amérique du sud et en Asie pour la fin 2016.

Des acteurs historiques

Les deux bureaux d'études repris sont des acteurs historiques de l'ingénierie énergétique, et comptent de nombreux collaborateurs et de très belles références. ECIC avec deux agences. Une dans l'Essonne spécialisée dans la maîtrise de l'énergie, et une à Bordeaux (Agence Sud-Ouest) spécialisée dans la performance environnementale. Fort de 20 ans d'expérience dans la maintenance et l'exploitation, ECIC apporte son expertise auprès de nombreux maitres d'ouvrages dans le bâtiment. ECIC Bordeaux propose aussi des prestations liées aux enjeux environnementaux, tels que bilan carbone, analyse de cycle de vie, adaptation aux conséquences du changement climatique. Une expertise reconnue qui permet à ECIC de participer à la COP 21 en 2015 et de réaliser de nombreux projets innovants et exemplaires.

Transénergie avec 3 agences, une près de Lyon, une à Toulouse et une à Mandelieu. Avec 24 ans d'expérience en France et à l'International, Transénergie possède un savoir-faire et une notoriété dans les domaines de la performance énergétique et des énergies renouvelables. Le bureau d'études a su séduire une clientèle exigeante de grands comptes d'où ses nombreuses références exceptionnelles. Ses ingénieurs interviennent dans la maîtrise de l'énergie, le photovoltaïque raccordé au réseau/ en site autonome, l'intégration des énergies renouvelables, le solaire thermique et la biomasse. Il est à noter que les filiales Réunion et Antilles de Transénergie avaient été cédées par EDF fin 2015, avant la reprise par Nepsen. Les gérants locaux qui les ont rachetées.

Des valeurs partagées

Outre les synergies techniques que cette intégration apporte au groupe Nepsen, ce sont des valeurs communes que partagent ces entreprises. Comme Nepsen, ECIC et Transénergie se sont construites sur la volonté de créer de l'emploi en France, en revendiquant des valeurs sociales et durables, et de privilégier la qualité du travail à la rentabilité immédiate des affaires. Avec une ambiance d'entreprise marquée par un sens aigu de la solidarité et de l'esprit d'équipe !

«La cession d'une entreprise est un exercice délicat. Il est nécessaire que le repreneur potentiel fasse preuve de beaucoup d'écoute dans un premier temps. (…) Nous avons vraiment trouvé ces qualités chez Alexandre Sevenet, ses valeurs humaines et professionnelles, son sens de la prospective nous ont séduits ; de même que l'organisation, le dynamisme et l'ambition du Groupe Nepsen, indispensables pour que la trajectoire d'Ecic puisse fusionner avec celle de Nepsen et que les hommes et les femmes qui restent dans l'entreprise y trouvent une nouvelle source de motivation.» nous a confié Jacques Papin, fondateur d'ECIC.

Le discours de Nicolas Ponchon, directeur des Opérations de Transénergie, va aussi dans ce sens « « Pour anticiper l'évolution des métiers de l'énergie, il me paraissait important d'appartenir à un Groupe dont l'indépendance et l'expertise technique permettent de réaliser des projets audacieux qui s'inscrivent dans la ville et les territoires durables de demain. Les valeurs de Nepsen sont tout à fait en cohérence avec les principes auxquels nous croyons depuis notre création, en termes d'indépendance, de professionnalisme, de respect de l'environnement et des personnes, d'intégrité et de transparence. D'un point de vue opérationnel, l'intégration de Transenergie au groupe NEPSEN apportera à nos clients et partenaires une nouvelle dynamique et de nombreuses synergies de métiers et de compétences, nous permettant de leur proposer une offre complète de services sur l'ensemble de la chaine de valeur et ainsi mieux répondre à leurs besoins actuels et futurs ».

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Exosun poursuit sa collaboration avec CNR pour équiper deux nouvelles centrales PV avec ses trackers solaires

Exosun, fournisseur mondial de solutions de suivi solaire innovantes et compétitives pour les grandes centrales photovoltaïques (PV) au sol, équipera deux nouvelles centrales du premier producteur français d'énergies renouvelables, CNR (La Compagnie Nationale du Rhône), avec ses trackers solaires Exotrack® HZ : la centrale de Beaucaire de 9,5 MWc dans le Gard et la centrale de Donzère de 4 MWc dans la Drôme.

Sur la centrale de Beaucaire, les trackers orienteront 36 892 modules PV face au soleil du matin au soir. Les travaux d'assemblage des trackers débuteront en février 2016 avec une mise en service en septembre 2016. 17 300 MWh d'électricité renouvelable seront produits chaque année sur ce site, permettant d'alimenter annuellement l'équivalent de 6 400 foyers
(hors chauffage et eau chaude).

Les trackers sur la centrale de Donzère porteront 12 072 modules PV. La centrale se situant dans une zone aéroportuaire, l'équipe d'ingénierie d'Exosun a effectué des études de réverbération, acceptées par la DGAC, en phase avant-projet. Afin d'éviter des cas de gêne pour les pilotes d'avion, l'inclinaison des trackers a été modifiée sur une partie du site. L'installation des trackers débutera en avril 2016 et leur mise en service est programmée pour juin 2016. La centrale produira 6 950 MWh/an, soit l'équivalent de la consommation électrique annuelle de 1 870 foyers (hors chauffage et eau chaude).

Afin d'optimiser la performance de ses trackers et ainsi de maximiser la production des centrales, Exosun accompagne son client tout au long du cycle de vie des deux projets en fournissant un éventail complet de services liés à l'ingénierie, la logistique, l'installation, l'opération et la maintenance des trackers. Par ces nouveaux projets, Exosun et CNR consolident leur collaboration qui avait débuté en 2015 avec la construction d'une première centrale de 3 MWc équipée de trackers solaires dans la Drôme.

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