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Ségolène Royal en Afrique pour faire avancer les projets d’accès aux EnR et mobiliser sur l’accord de Paris

Ségolène Royal, ministre de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer, Chargée des relations internationales sur le climat, se rend en Afrique du 23 au 28 février. La ministre fera étape en Egypte, Ethiopie, Côte d'Ivoire, Guinée et Sénégal où elle rencontrera les plus hautes autorités et se rendra sur plusieurs sites de développement d'énergies renouvelables. Objectif renouvelables !

Le déplacement de Ségolène Royal en Afrique permettra à la présidence de la COP de faire avancer les projets d'accès aux énergies renouvelables et accélérer le déploiement de l'initiative sur les énergies renouvelables en Afrique visant à augmenter la capacité installée du continent en énergies renouvelables de 10 GW d'ici 2020 et de 300 GW d'ici 2030. Cette initiative a été lancée officiellement par les chefs d'Etat africains à la COP21. En tant que présidente de la COP, la ministre en profitera pour rappeler que l'Afrique doit rester au centre des préoccupations en matière d'adaptation.

Ce déplacement a également pour objectif de faire avancer le projet de Grande muraille verte, une vaste zone de verdure d'Est en Ouest du continent qui vise à freiner la désertification et permettre aux populations locales d'enrichir le sol, conserver l'eau et mieux vivre tout en reconstituant un puits de carbone. Cette visite a aussi pour vocation de mobiliser les autorités au plus haut niveau pour la cérémonie de signature le 22 avril, organisée par Ban-Ki moon. Cet événement sera l'occasion d'une mobilisation renouvelée pour la cause climatique et permettra de faire le point sur les actions concrètes décidées à Paris, sans attendre l'entrée en vigueur de l'accord.

Eléments de programme :

Egypte : entretien avec le Président Abdel Fatah al-Sissi, Khalid El Fahmy, ministre de l'Environnement, et Sameh Shoukry, ministre des Affaires étrangères,

Ethiopie pays engagé dans la transition énergétique, siège de l'Union africaine : entretien avec Haile Mariam Dessalegn, Premier ministre, et visite du plus grand parc éolien d'Afrique subsaharienne et Visite d'installations solaires,

Côte-d'Ivoire : entretien avec Akinwumi Adesina, Président de la Banque africaine de développement,

Guinée : entretien avec le Président Alpha Condé, Président coordinateur de l'accès à l'énergie propre de l'Afrique

Sénégal : entretien avec le Président Macky Sall.

Fatick, l'exemple de la coopération décentralisée de Poitou-Charentes

• Visite des installations du programme PRODER : développement des énergies renouvelables et économies d'énergies

• Inauguration et pose de la première pierre d'un projet de production locale d'énergie sur le centre national caprin à partir de panneaux photovoltaïques.

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Trois éclairages sur l'Afrique de l'énergie

• seulement 3 % des gaz à effet de serre, mais c'est un des continents qui souffre le plus des effets du réchauffement climatique. C'est aussi un continent où la croissance des émissions est forte (+ 75 % depuis 1990),

• 600 millions de personnes qui n'ont pas accès à l'électricité, près de la moitié de la population de l'Afrique et 80 % de sa population rurale,

• l'accès à l'énergie est un enjeu de développement, de politique sanitaire, un enjeu climatique aussi : l'utilisation du bois ou du charbon de bois accélère la déforestation.

Première mondiale, SOLARWATT propose le premier module bi-verre 300Wc

Le module SOLARWATT 60M Haute puissance est un module photovoltaïque bi-verre comportant des cellules solaires monocristallines PERC, avec une finition cadre noir. Il allie les atouts des panneaux solaires bi-verre à savoir 30 ans de garantie, +5% de rendement garanti sur 20 ans et une protection totale incluse à un nouveau record de une puissance nominale : 300Wc !

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Ségolène Royal rappelle les objectifs de la filière solaire lors d'une l'inauguration dans les Deux-Sèvrres

Ségolène Royal, ministre de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer, chargée des Relations internationales sur le climat a inauguré, samedi 20 février, le célèbre marché aux bestiaux de Parthenay, entièrement rénové, dont la toiture intègre désormais une centrale photovoltaïque de 2,11 MW. A cette occasion, la ministre a rappelé les mesures prises pour la filière solaire en 2015, au service de la transition énergétique pour la croissance verte et le climat.

• L'objectif de développement du solaire d'ici 2020 relevé de 50 %, à 8 GW

• 253 projets lauréats au dernier appel d'offres CRE 3 destinés aux installations de puissance supérieure à 250 kWc pour un volume appelé qui a presque triplé, à plus de 1100 MW

• Un lot spécifique de 40 MW pour les bâtiments qui servent aux exploitations rurales ou affectés à un usage agricole.

• Les tarifs d'achat pour les installations chez les particuliers et sur les bâtiments de taille moyenne revalorisés de 10 %.

La ministre a confirmé de nouvelles mesures pour 2016 :

• Simplifications : réduction des délais administratifs et de recours pour les appels d'offres, allègement de l'autorisation d'exploiter, suppression du certificat ouvrant droit à l'obligation d'achat.

• Lancement de deux appels d'offres au premier trimestre 2016 : un appel d'offres pour des grandes centrales au sol de 1000 MW en deux tranches par an ; un appel d'offres pour des installations sur toitures de 450 MW en trois tranches par an.

• Ouverture d'une consultation sur un appel d'offres dédié aux installations en autoconsommation.

La ministre a précisé que la transition énergétique est aussi une opportunité pour le secteur agricole :

• Confirmation du lot spécifique aux installations photovoltaïques sur bâtiments agricoles dans l'appel d'offres pour équiper les toitures.

• Lancement d'un nouvel appel d'offres pour développer la production d'électricité à partir de biomasse et notamment la méthanisation.

• Concertation avec la profession pour mieux utiliser les cultures intermédiaires qui peuvent être valorisées énergétiquement sans générer de conflit d'usage avec les besoins alimentaires.

La toiture photovoltaïque du marché aux bestiaux de Parthenay est un projet de la communauté de communes de Parthenay-Gâtines développé avec l'entreprise Seolis. Elle va fournir l'électricité annuelle consommée par 800 foyers. Les travaux démarrés en 2014 ont permis d'installer 18.000 mètres carrés de panneaux solaires. Les panneaux ont été fabriqués à proximité du site, par l'entreprise JIT Solaire à Châtellerault.

 

Vatel Capital cède quatre parcs photovoltaïques au fonds anglais TRIG pour 4,2 M€

Les FIP (Fonds d'Investissement de Proximité) Corses Kallisté Capital 1, 2 et 3 gérés par Vatel Capital ont cédé quatre parcs photovoltaïques au fonds anglais TRIG pour un montant total reçu (cession SECP Borgo + Sole e Aria 1, 2 et 3) de 4 231 161,56 € représentant un rendement net annualisé de 9 % sur l'investissement initial. Ces parcs photovoltaïques étaient construits et exploités par Akuo Energy, un des tous premiers producteurs d'énergie renouvelable français indépendants. Le fond TRIG est géré par Infra Red, un acteur d'envergure mondiale qui a aujourd'hui plus de huit milliards de dollars sous gestion.

Par ailleurs, nn contrepartie d'un risque de perte en capital, les particuliers qui investissent dans le FIP Corse Kallisté Capital n°8 bénéficient d'une réduction de leur impôt sur le revenu équivalent à 38 % de l'investissement dans la limite de 12 000 euros pour un célibataire et de 24 000 euros pour un couple. Le FIP Kallisté Capital n°8 est ouvert à la souscription jusqu'au 31 août 2016.

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Tigo® : lancement du TS4-R avec fonctionnalité MLPE pour tout module solaire à partir de 2 cents par watt

Tigo®, l'un es leaders du marché des modules intelligents, vient de lancer le TS4-R qui rejoint la gamme de la plate-forme TS4 qui permet aux fabricants et aux installateurs de modules de s'homogénéiser sur une seule plate-forme et d'utiliser n'importe quelle fonction rentable de MLPE (Module Level Power Electronic) disponible actuellement. Le TS4-R est une base universelle réaménagée ou complémentaire. Il répond au besoin d'une solution réaménagée qui peut être montée sur un système PV installé, connecté à une boîte de dérivation de module PV existante, et qui améliore le rendement énergétique, offre une plus grande flexibilité et renforce le contrôle sur le projet grâce au système PV existant. L'offre pour le projet réaménagé comprend une solution en deux parties : la base TS4-R, ajoutée au module solaire, et ses couvercles MLPE prêts à l'emploi qui peuvent être introduits ou extraits. Elle prend en charge toutes les offres de la large gamme de couvercles fonctionnels de la plate-forme TS4. Elle peut aussi être intégrée dans un nouveau système.

«La plate-forme TS4 a été adoptée par les principaux partenaires de module PV du secteur. Nous nous réjouissons de présenter la plate-forme TS4-R, une extension naturelle de notre stratégie », a déclaré Zvi Alon, PDG de Tigo. « La plate-forme de Tigo est déjà la plus flexible au monde, elle fonctionne avec tous les principaux fabricants d'onduleurs et de modules dans le monde. Le lancement du TS4-R permet au marché de déployer une solution de pointe sur des installations existantes, augmentant ainsi l'énergie produite avec un retour sur investissement rapide. De plus, les installateurs bénéficient d'un contrôle plus important sur ce qu'ils désirent et ce dont ils ont besoin pour chaque projet ».

Tigo, fondée en 2007, est l'un des principaux acteurs du marché des technologies de modules intelligents dans le secteur de l'énergie solaire. La firme de la Silicon Valley utilise une technologie brevetée afin d'augmenter la production d'énergie, de simplifier la conception et l'installation, d'améliorer la prévention d'incendie, ainsi que d'instaurer le degré de disponibilité et de fiabilité le plus élevé grâce à une supervision informatique. La plate-forme modulaire TS4 de Tigo peut être déployée de manière sélective avec différentes fonctionnalités par module et à différents prix grâce à la technologie Predictive IV (PIV) afin de maximiser le rendement énergétique à un prix minimal.

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Stage FINER : Vente directe sur le marché, à quelles conditions ?

Les experts d'ENERGECO, de la Caisse des Dépôts, de NATIXIS A.M. - MIROVA, du Syndicat des Energies Renouvelables, d'ACOFI, de BCTG, d'Okavango et d'HydroNEXT interviendront à la 47ème session du stage de formation FINER, qui se déroulera à Paris, le jeudi 3 mars 2016. Ces professionnels du financement de projets viendront expliquer et analyser la refonte profonde des modes de soutien aux Energies Renouvelables actuellement engagée au niveau européen.

Dans le respect des règles de Bruxelles, et de la Loi de Transition Energétique pour une Croissance Verte publiée le 17 Août 2015, l'abandon progressif du dispositif d'obligation d'achat est en marche. L'objectif est de passer à la vente directe sur le marché de l'électricité renouvelable, tout en limitant pour le producteur les risques de volatilité des prix. Le mécanisme du complément de rémunération qui va être mis en place, dans les semaines à venir pour certaines filières, permettra de verser une prime complémentaire au produit de la vente, afin d'assurer une rentabilité normale des projets. Les installations de petite puissance continueront à bénéficier de tarifs d'achat garantis.

Cette évolution réglementaire des mécanismes permettra à la France de continuer à soutenir le développement des EnR, avec un nouveau point de visée fixé par la Loi à 32 % de la consommation totale d'énergie en 2030. Pour la production d'électricité, la part renouvelable devra atteindre 40 % en 2030, ce qui impose une meilleure intégration au système électrique, tant d'un point de vue technique qu'économique.

Dans ce contexte en pleine mutation, comment réagissent les banquiers et les investisseurs ? Les secteurs d'activité liés au développement de projets EnR sont-ils toujours suffisamment attractifs pour les financeurs potentiels ? Quelles solutions bancaires et financières sont proposées aux acteurs des renouvelables ? A ces questions stratégiques – qui sous-tendent l'avenir des filières renouvelables – viennent s'ajouter des interrogations très concrètes des acteurs de terrain. Les institutions financières sont-elles en mesure d'apporter les fonds nécessaires pour concrétiser les projets ? Quelles sont les solutions bancaires et financières mobilisables ? Comment, à quelles conditions, avec quels critères d'éligibilité ? Comment sont analysés les risques liés au montage de projets EnR ? Quels sont les impacts directs du complément de rémunération ? Comment est évaluée la rentabilité d'une opération ? Autant de questions que le stage FINER permettra justement d'éclaircir !

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Trina Solar est le producteur de modules photovoltaïques le plus « bankable » au monde pour Bloomberg

La société Trina Solarun vient d'être nommée par Bloomberg New Energy Finance (BNEF) en tant que producteur de modules le plus «bankable» au monde. Dans l'enquête, qui a porté sur 50 marques différentes de modules, 100% des actionnaires clé interrogés ont répondu que Trina Solar était bancable, confirmant ainsi la position de leader de l'entreprise dans le domaine du solaire photovoltaïque. Un rapport (disponible contre souscription auprès de la BNEF) détaille les résultats d'une enquête menée par la BNEF pour identifier quels fabricants de modules étaient les plus susceptibles d'être financés par les banques commerciales. Il a été demandé aux participants, (des banques, des consultants techniques, des donneurs d'ordre, des investisseurs et des producteurs d'énergie indépendants du monde entier), les marques de modules qu'ils estimaient bancables selon leurs propres critères internes, alors que d'accoutumée, cette évaluation est basée sur la qualité des produits et la solidité financière du fabricant.

Seule entreprise que l'ensemble des participants a designé comme bancable, Trina Solar est arrivé en tête des 50 producteurs de modules considérés. Le rapport souligne également que depuis le début de l'année 2014, les panneaux Trina Solar ont été plus utilisés dans des projets fondés sur de la dette, que ceux d'autres fabricants; Trina Solar ayant sécurisé ses fonds à hauteur de plus de 1,2 GW pour 15 projets différents suivis par la base de données de la BNEF. Cette base de données n'est pas exhaustive mais recense près de 14 000 financements de projets solaires dans le monde entier.

Sur la question des résultats du rapport, Teresa Tan, Directeur Financier de Trina Solar commente : «Les résultats de cette étude sont très positifs, nous pensons qu'ils sont une nouvelle confirmation de notre position de leader du secteur au niveau mondial. Nous sommes fiers de notre stratégie d'entreprise, viable et dynamique. Cette position de leader en matière de bancabilité est une nouvelle reconnaissance, et vient couronner ce travail mené. Notre objectif constant est de fournir à nos clients des solutions photovoltaïques, finançables par les banques, innovantes, et qui apportent la meilleure rentabilité à nos clients. Nous avons lourdement investi au niveau de la qualité et de la performance de nos modules, et nous continuerons à le faire, pour sécuriser les meilleurs niveaux de rendement à court et à long terme.

«En tant qu'entreprise, nous sommes pleinement engagés dans le développement d'une énergie propre, durable et renouvelable dans le monde entier, et c'est cette démarche qui a fondé notre succès jusqu'à ce jour. Trina Solar est désormais le plus grand producteur de modules photovoltaïques au monde, et nous avons vraiment l'intention de maintenir notre position sur le marché, tant sur nos marchés actuels que futurs.

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Réduire les délais de procédure de 6 à 8 mois pour accélérer le développement des énergies renouvelables

La mise en œuvre de l'Accord de Paris engage la France à accélérer la transition énergétique et à être exemplaire dans le développement des énergies renouvelables pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et renforcer la sécurité d'approvisionnement du pays. C'est aussi une opportunité industrielle pour nos territoires. En 2015, la production d'électricité renouvelable a augmenté de plus de 23 % (hors hydroélectricité), avec 1000 MW de nouvelles capacités éoliennes et 900 MW de nouvelles capacités solaires. Selon la profession, 2000 emplois ont été créés en 2014 dans la filière éolienne. Le dernier appel d'offres photovoltaïque va générer près d'un milliard d'euros d'investissements et mobiliser 5 000 personnes pour mettre en service les installations lauréates.

Pour accélérer le développement des énergies renouvelables, Ségolène Royal a annocé mi-février une série de mesures :

1. La signature et la publication du décret simplifiant les appels d'offres, qui va permettre de réduire de 6 à 8 mois les délais de procédure.

2. En application de ce décret, Ségolène Royal annonce la saisine immédiate de la Commission de régulation de l'énergie sur le cahier des charges de l'appel d'offres sur la petite hydroélectricité, dernière étape avant sa publication.

3. La mise en consultation du décret sur les délais de raccordement, qui permettra de finaliser la mise en œuvre de l'article 105 de la loi de transition énergétique pour la croissance verte.

4. La mise en consultation de l'ordonnance relative aux énergies renouvelables, qui va permettre : de supprimer le seuil de 12 MW pour bénéficier d'un mécanisme de soutien, de clarifier les dispositions relatives à l'obligation d'achat afin d'assurer la meilleure intégration au marché de l'électricité des énergies renouvelables, d'optimiser l'intégration des énergies renouvelables au système électrique et d'élargir la procédure d'appel d'offres à toute procédure de mise en concurrence. Cette ordonnance va permettre de finaliser la mise en œuvre de l'article 119 de la loi de transition énergétique pour la croissance verte.

Les rencontres régionales SOCOL de mars 2016

Plusieurs événements co-organisés par Enerplan/SOCOL et l'ADEME sont planifiés sur les semaines à venir dans différentes Régions de France. Ces conférences seront l'occasion de se familiariser avec l'ensemble des nouveaux outils à disposition pour réaliser des projets de chaleur solaire. A chaque rendez-vous, des témoignages de maîtres d'ouvrage seront présentés, autant d'opérations exemplaires pour enrichir votre réflexion autour de projets à mener.

Ci-dessous le calendrier et les thématiques traitées :

• Le 10/03 à Villeurbanne (69) : Le solaire thermique, une belle opportunité pour l'industrie
• Le 17/03 à Bordeaux (33) : Réussir son projet de production de chaleur solaire collective
• Le 24/03 à Lille (59) : Ateliers sur le solaire thermique collectif / Salon Nordbat
• Le 31/03 à Antibes (06) : 2016 : la chaleur solaire collective en PACA

Fidèle à sa vocation, SOCOL joue la carte de la proximité et des territoires.

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RES met en service deux installations renouvelables dans l’Aude, entre solaire et éolien

Au Pays de la Montagne Noire, la société RES ne broie pas du noir. Bien au contraire ! Elle vient ainsi de mettre en service deux installations renouvelables dans ce beau département de l'Aude, sur la Communauté de Communes de la Montagne Noire : le parc solaire photovoltaïque au sol Lé Camazou – 12 MWc - et le parc éolien de Bois de la Serre - 22 MW.

Situé sur la commune de Villanière, la centrale solaire « Lé Camazou » est le second parc photovoltaïque construit en France par RES. Le parc représente une puissance installée de 12 MWc et produira chaque année l'équivalent de la consommation de plus de 3 000 foyers.

Pour la construction de ce parc, RES a conclu un contrat de fourniture de 46 000 modules photovoltaïques polycristallins avec un acteur français, SILLIA VL. Le délai du chantier a été très court (4 mois) grâce à une météo favorable, une bonne préparation en phase ingénierie du chantier et une excellente coordination avec nos partenariats industriels. Au total, 37 entreprises ont participé à la construction (environ 150 personnes) dont les deux tiers sont des entreprises locales ou régionales comme Agri 2000, Agri Environnement, Agripal clôtures, Cegelec Toulouse, Aude Agrégats, Carayon, David TP, Hugon, GLS Sécurité, Transport Peyrot. Situé sur les communes de Laprade et Lacombe, le parc éolien de Bois de la Serre est quant à lui composé de 11 éoliennes SENVION pour une puissance totale de 22 MW.

Un projet de développement économique sur le territoire

Le développement de ces deux projets s'est inscrit dans un véritable projet de développement économique sur le territoire. Pour ce faire, la Communauté de Communes de la Montagne Noire a lancé un programme réfléchi visant à concilier la préservation de l'environnement et l'utilisation des ressources naturelles locales, tout en bénéficiant de retombées économiques pour maintenir et développer les services offerts à la population et assumés par la collectivité. Ainsi, la collectivité s'est fortement positionnée en faveur du développement des énergies renouvelables. Dans ce cadre et depuis plus de 15 ans, RES a construit des relations durables avec les autorités locales, les services de l'Etat, les élus et acteurs locaux pour contribuer au développement énergétique et économique du territoire. Avec ces deux nouvelles réalisations, les capacités installées et exploitées par RES en Montagne Noire s'élèvent à 84 MW. Ce chiffre atteindra bientôt 136 MW grâce à la construction actuelle du parc éolien de Sambrès (52 MW) sur les communes de Roquefère, Mas Cabardès et Labastide-Esparbairenque. Sur le territoire national, ces deux réalisations portent les capacités renouvelables installées par RES à 538 MW. Les inaugurations sont prévues pour ce printemps.

Matthieu Guérard, Directeur général de RES en France et pour la région Europe du Sud, a déclaré : « Nous sommes heureux de voir ces parcs sortir de terre, notamment grâce à une véritable volonté locale. Avec 5 parcs éoliens construits ou en cours de construction et 2 parcs solaires photovoltaïques, RES renforce sa position d'acteur de référence en Montagne Noire. Notre présence régionale se poursuivra puisque la maintenance des parcs sera assurée par le centre d'exploitation de Béziers, avec le concours de sous-traitants locaux tout au long de la vie des parcs. A travers ces projets, nous démontrons que les projets d'énergies renouvelables constituent un vrai fer de lance du développement économique. »

Il est à noter que le Groupe RES est l'un des leaders mondiaux dans le domaine du développement de projets d'énergies renouvelables avec des opérations à travers l'Europe, les Amériques et en Asie-Pacifique. Acteur majeur dans ce domaine depuis plus de trois décennies, RES est à l'origine de 10 000 MW de capacité d'énergie renouvelable installée.

En France, RES est à aujourd'hui à l'origine de plus de 630 MW de parcs éoliens terrestres et de centrales solaires au sol installés ou en cours de construction. La société est également active dans d'autres domaines renouvelables, tels que l'éolien en mer, et dans des technologies clés comme l'effacement.

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