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Etude ADEME : Un mix électrique 100% renouvelable ?

La loi de transition énergétique pour la croissance verte adoptée en juillet 2015 fixe l'objectif de 40% d'électricité d'origine renouvelable à l'horizon 2030 en France, objectif qui devrait être atteint sans modification majeure des caractéristiques du système électrique. Après 2030, les énergies renouvelables sont appelées à poursuivre leur développement au-delà de cet objectif permettant ainsi de concilier lutte contre le dérèglement climatique et croissance verte.

Afin d'éclairer les enjeux, opportunités et contraintes d'une part plus importante d'énergies renouvelables dans la production d'électricité, l'ADEME a réalisé une étude technique exploratoire testant différentes hypothèses de mix électrique très renouvelables et leurs conséquences sur le réseau.

Cette étude montre que plusieurs mix de production d'électricité, intégrant une part importante de sources renouvelables sont techniquement possibles et elle identifie les principaux déterminants permettant d'en maîtriser le coût. En jouant sur la consommation en premier lieu (maîtrise des quantités d'énergies consommées et de la pointe, outils de pilotage de la demande), sur la complémentarité entre les différentes énergies, sur la flexibilité permise par le réseau électrique et sur le développement de solutions de stockage, un mix électrique composé à 80% ou à 100% d'énergies renouvelables peut assurer l'équilibre offre-demande chaque heure de l'année.

Parmi les nombreuses variantes étudiées, certaines hypothèses apparaissent comme déterminantes, ce qui permet de mettre en avant différentes pistes de travail :

• La maîtrise de la demande d'électricité et des pics de consommation, notamment en hiver, indispensable pour maîtriser le coût du système électrique, quel que soit le mix visé;

• La baisse du coût des technologies de production renouvelable, notamment pour les technologies les moins matures à ce jour, afin d'assurer un mix équilibré entre les différentes sources d'énergie renouvelable. Celle-ci est envisageable grâce au progrès technologique, mais également à des conditions de financement préférentielles pour les renouvelables.

• L'intégration des énergies dans les territoires, au travers de la concertation, de la planification, de la répartition de bénéfices économiques et financiers locaux..

• Le développement du stockage.

Cette étude est une première en France. Bien qu'intégrant de nombreux paramètres, elle vise à tester certaines hypothèses et non à réaliser une étude de faisabilité complète. Ainsi, certaines limites sont inhérentes à la méthodologie retenue :

• La modélisation ne visait pas à évaluer la dynamique fine du réseau et sa stabilité, et n'intègre donc pas aux hypothèses testées, des phénomènes exceptionnels tels que, par exemple, la rupture accidentelle d'une interconnexion avec un pays voisin;

• Les changements qu'impliquent ces hypothèses dans l'exploitation du réseau n'ont pas été étudiés (conduite et opération quotidienne, etc.);

• La trajectoire précise et le cadencement des investissements permettant d'assurer cette transition ne sont pas étudiés, l'étude réalisant une analyse des différentes hypothèses à un horizon lointain sans prendre en compte l'existant;

• La modélisation du réseau évalue précisément les besoins de renforcement du réseau de transport, mais est moins précise pour le réseau de distribution.

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Qualit'EnR et l'Afpa signent un partenariat national dans le cadre du nouveau dispositif d'agrément

Qualit'EnR, organisme spécialiste de la qualité d'installation dans les énergies renouvelables et l'Afpa, Association nationale pour la formation professionnelle des adultes, ont signé un partenariat national pour renforcer leur coopération dans le domaine des formations énergies renouvelables . Cet accord intervient dans le cadre du nouveau dispositif d'agrément, pour lequel Qualit'EnR assure une mission confiée par les pouvoirs publics. A l'heure où les enjeux énergétiques imposent un engagement franc et massif de la société vers les énergies renouvelables (EnR) et alors que la France se prépare à accueillir la COP21 pour lutter contre le réchauffement climatique, l'Afpa et Qualit'EnR renforcent leur coopération pour développer une offre de formation accessible et conforme à la nouvelle réglementation dans le secteur des énergies renouvelables.

Un nouveau cadre réglementaire

Suite à la parution de l'arrêté du 19 décembre 2014, qui définit les cahiers des charges des formations relatives à l'efficacité énergétique et à l'installation d'équipements de production d'énergie utilisant une source renouvelable, Qualit'EnR a signé une convention avec les pouvoirs publics le 28 janvier 2015 en tant qu'organisme de contrôle de la formation afin d'agréer les centres de formation et les formateurs dans le domaine des énergies renouvelables (EnR). Cette activité s'inscrit dans la démarche historique de Qualit'EnR : l'accompagnement des professionnels pour développer la qualité d'installation. La formation devient indispensable avec la récente entrée en vigueur de l'éco-conditionnalité des aides publiques : une situation qui amène de nombreuses entreprises d'installation à se qualifier afin de continuer à proposer aux particuliers des travaux éligibles aux aides de l'Etat.

Développer l'offre de formation

Pour répondre à la demande croissante de formation (10 584 stagiaires formés en 2014 dans le cadre du dispositif de Qualit'EnR), l'Afpa et Qualit'EnR ont signé le 8 juin 2015 une convention de partenariat visant à développer le réseau de formations en énergies renouvelables sur l'ensemble du territoire. Avec ce nouveau partenariat, les deux organismes confirment leur volonté de développer un cadre structurant pour la démultiplication régionale de l'offre de formation donnant accès aux qualifications RGE ( Reconnu Garant de l'Environnement ) pour l'installation de systèmes valorisant les énergies renouvelables.

En sa qualité de premier organisme de formation professionnelle, l'Afpa accompagne le développement de formations sur les énergies renouvelables conformes aux exigences de la profession. 7 000 stagiaires sont formés chaque année aux énergies renouvelables, dont environ 600 par an dans le cadre du dispositif Qualit'EnR de perfectionnement des salariés. Dans ce secteur, l'introduction de l'éco-conditionnalité stimule l'activité de formation, qui constitue un prérequis pour les entreprises souhaitant rejoindre le dispositif RGE.

Par ailleurs, avec plus de 65 000 installateurs de systèmes EnR formés depuis 2006, Qualit'EnR est précurseur dans l'organisation de la formation des professionnels du secteur. L'association a développé un cadre formel (référentiels, plates-formes techniques, agrément des centres et des formateurs) pour les filières suivantes : solaire thermique et photovoltaïque, bois énergie, aérothermie et géothermie.

Forts de leurs objectifs communs, l'Afpa et Qualit'EnR ont ainsi convenu ce qui suit :

• Qualit'EnR s'engage à accompagner l'Afpa dans la formation de formateurs avec la mise à disposition d'experts pour la prise en main des référentiels ;

• Qualit'EnR s'engage à assurer un suivi régulier de l'agrément de ses centres de formation et ses formateurs ;

• L'Afpa s'engage à accompagner les centres de formation concernés en les informant des conditions d'agrément avec Qualit'EnR.

• L'Afpa s'engage à équiper les centres de formation concernés avec des plates-formes pédagogiques conformes aux exigences de l'arrêté du 19 décembre 2014.

• Qualit'EnR et l'Afpa conviennent d'échanger périodiquement sur les évolutions d'emplois et de compétences liées aux énergies renouvelables.

Ce partenariat est un jalon important pour développer une offre de formation conforme aux dernières évolutions réglementaires. Le réseau national géré par l'AFPA permet à Qualit'EnR de renforcer son maillage régional des centres de formation afin de répondre efficacement à la demande croissante des installateurs d'équipements EnR, alimentée par la récente éco-conditionnalité des aides de l'Etat. précise André Joffre, Président de l'association Qualit'EnR.

L'Afpa est engagée à double titre dans la dynamique de la transition énergétique. D'une part parce que la professionnalisation des installateurs utilisant les énergies renouvelables répond dès maintenant à un besoin fort de la profession. Et d'autre part parce que la responsabilité de l'Afpa, acteur du service public de l'emploi, est aussi d'anticiper les besoins futurs de l'économie qui vont être considérablement transformés par le changement de modèle énergétique. Nous préparons les métiers de demain. conclut Christophe Sadok, Directeur de l'ingénierie et de l'innovation pédagogique de l'Afpa.

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Avec l'Opticube, Sunoptimo fait sa révolution dans le solaire thermique pour les grandes installations

Développé et mis au point par la société Sunoptimo, l'Opticube est un système solaire thermique complet, pré-monté en conteneur, pour un déploiement aisé sans nécessité de compétence technique particulière. Conséquences directes: commercialisation facilitée, investissement global réduit et donc rentabilité plus importante et rapide pour le client.

Ce produit tout en un pour lequel une demande de brevet a été déposé, élargit grandement les limites du marché solaire thermique. Actuellement, le coût total d'une installation solaire que supporte un client final est composé bien évidemment du coût du matériel solaire, mais aussi, et en grande partie, de tous les autres coûts liés à l'installation. Les installations solaires actuelles sont souvent intrusives, avec un placement des capteurs sur le toit, l'installation des organes hydrauliques solaires en chaufferie et un raccordement du champ de capteurs à la chaufferie à travers le bâtiment. Tout cela signifie différents coûts importants qui ne peuvent souvent être assumés que par de la main d'œuvre hautement qualifiée et chère: études de stabilité, études du raccordement à l'existant, coûts du montage des capteurs en toiture, coûts de l'installation des composants hydrauliques en chaufferie, coûts du raccordement toiture-chaufferie, location d'une grue, etc.

Avec l'Opticube, toute personne capable de lire un manuel de montage simple a maintenant la possibilité de déployer un Opticube qu'il connectera à la chaufferie via les 3 interfaces: arrivée eau froide, retour eau chaude, électricité. Le conteneur est simplement posé et fixé sur un sol mis de niveau et le reste se monte comme tout kit complet tout en un. La surface solaire d'un Opticube va de 30 à 300 m². En multipliant ces entités productrices d'énergie, raccordées en parallèle, l'Opticube devient la solution idéale pour le marché du solaire thermique situé entre 30 et 3.000 m², soit pour des besoins énergétiques annuels allant de 15 MWh à 15 GWh (15.000 MWh).

Le pré-montage de la chaufferie et la fourniture d'un kit complet signifient que toute la complexité du solaire thermique est préalablement pensée et intégrée. La simplification du déploiement des structures et de la pose des capteurs permet de ne plus avoir besoin de compétences techniques particulières pour le montage. De cette manière, de nombreuses contraintes liées à la commercialisation de systèmes solaires thermiques tombent et permettent à bien plus d'acteurs du marché solaire thermique de pouvoir proposer une solution parfaite pour produire de la chaleur 100% renouvelable, à un coût d'investissement global réduit.

Comme pour toute la gamme de produits Sunoptimo, l'Opticube fonctionne selon le principe original de l'auto-vidange (Drainback) qui offre de nombreux avantages par rapport aux systèmes classiques dit sous pression, notamment permettant d'éviter les problèmes de surchauffe. Une autre conséquence directe de ce concept réside dans la possibilité de le déplacer en cas de besoin (déménagement, besoin d'utiliser un espace préalablement inoccupé, changement du consommateur énergétique), vu le faible coût de démontage et remontage. Il est alors par exemple possible pour une société qui souhaite vendre de la chaleur de proposer d'installer ce produit en contrepartie d'une facturation de la chaleur produite et de déplacer cette entité auprès d'un autre client dans le cas où ce premier client viendrait à faire défaut.

Avec l'Opticube, Sunoptimo se positionne de manière évidente comme un fabricant de plus en plus incontournable de systèmes solaires thermiques. Sunoptimo recherche actuellement des partenaires séduits par le concept de l'Opticube pour agrandir son réseau de commercialisation.

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De la lutte ouvrière au combat pour le climat : Carmaux invente le cadastre solaire

Située dans le Tarn en région Midi Pyrénées, Carmaux est la commune emblématique du charbon et de la verrerie. Connue pour être le berceau de la lutte ouvrière symbolisée par le combat de Jean Jaurès, Carmaux devient aujourd'hui une commune précurseur dans la mise en place d'actions contribuant efficacement à la transition énergétique avec le déploiement de l'aérovoltaïque via un cadastre solaire et lance son premier salon éco-énergie. Explications !

Depuis des années, la ville de Carmaux s'engage pleinement dans le champ de la transition énergétique afin de faire face aux enjeux du climat. Cet engagement est marqué par la mise en place d'une charte de développement durable, où sont programmées les actions, les enjeux et les ambitions de la collectivité. Les actions mises en place par la ville de Carmaux visent à réduire la consommation énergétique des bâtiments communaux, à diminuer les émissions de gaz à effet de serre dans les transports, à développer les énergies renouvelables ou encore à éduquer à l'environnement et à la participation citoyenne. Mais Carmaux est allée plus loin encore.

Cadastre solaire : un outil de planification solaire innovant

A l'aube de la COP21 fin novembre, Carmaux présente pour la première fois en France, l'intérêt que revêt la réalisation d'un cadastre solaire réalisé à l'échelle d'une commune. Cet outil sera indispensable dans la mise en œuvre des territoires à énergies positives à l'horizon 2016, comme pour la généralisation des bâtiments publics à énergie positive (horizon 2018) spécifié dans la loi sur la transition énergétique. Avec un investissement de 2 500 000 euros et un amortissement en 10 ans, ce « recensement solaire » qui sera suivi de l'équipement des toitures, a permis à Carmaux de connaître très précisément le potentiel solaire de ses toitures et d'identifier les besoins des bâtiments pour bâtir un plan d'ampleur de projets d'équipements solaires. 48 sites équipés avec des panneaux adaptés aux besoins (production de chaleur, ventilation, eau chaude ou revente d'électricité à EDF) ont ainsi été recensés par la société Biocénose. « Avec ses 48 sites équipés de panneaux solaires, dont 14 en aérovoltaïque, en partenariat avec la société française Systovi spécialiste de cette technologie, Carmaux est une ville engagée dans l'eco-responsabilité », comme le souligne Alain Espié, maire de Carmaux avant d'ajouter : « L'idée du projet est d'aller vers l'autonomie énergétique, grâce aux ressources renouvelables. »

1er salon éco-énergies de Carmaux

Dans un contexte mondial et national où la transition énergétique et la COP21 prévue fin 2015 à Paris occupent l'actualité, la ville de Carmaux a organisé, début octobre 2015, son 1er salon éco énergies qui représente le prolongement de ses actions engagées par la ville dans le champ de la transition énergétique. Ce salon a été également le prolongement de la nuit de la thermographie et de la campagne de thermographie réalisée sur les façades des logements d'une partie du centre-ville début d'année 2015. Les énergies renouvelables, une isolation efficiente, des citoyens conscients et informés constituent des facteurs déterminant pour répondre au dilemme que constitue l'évolution de la demande énergétique face à la nécessaire réduction des émissions de CO2. Carmaux, actuellement seule collectivité française à avoir développé un vaste projet photovoltaïque et surtout aérovoltaïque d'envergure souhaite montrer la voie des comportements plus vertueux à ses citoyens.

Après le Sénégal, Cap Vert Energie signe un 2ème partenariat avec le Maroc sur l’hybridation solaire-diesel

Après la France, la start up Cap Vert Energie va implanter ses centrales photovoltaïques à l'international et propose aux industriels de compléter leur production d'énergie à partir de moteurs diesel avec une centrale solaire. Le producteur d'énergie indépendant s'inscrit ainsi dans ce jeune marché qu'est l'hybride PV-DIESEL pour des sites industriels, s'ouvrant à l'international. Détails !

Cap Vert Energie signe son deuxième partenariat international avec IBITEK-Group (Casablanca), après SENEMECA (Dakar) en décembre 2014. Le pari était loin d'être gagné. Si l'hybridation solaire-diesel est déjà utilisée pour les petites installations comme l'alimentation de puits isolés ou des émetteurs télécom, il représente un nouveau marché pour les alimentations électriques de grande puissance comme celles des cimentiers, miniers ou encore des entreprises agroalimentaires. « L'enjeu pour nous était de lancer notre développement international sur le marché prometteur de l'hybride en capitalisant sur nos compétences et notre capacité d'innovation, toute en accélérant notre accès au marché dans des zones où nous ne sommes pas encore implantés. Les partenariats permettent cela », explique Pierre de Froidefond, associé fondateur de Cap Vert Energie.

Une dizaine de projets d'hybridation développés par Cap Vert Energie et ses partenaires

« SENEMECA et IBITEK-Group s'appuient sur leur forte implantation locale en Afrique Subsaharienne et Afrique du Nord et leur connaissance de la filière diesel. Cap Vert Energie apporte sa maîtrise de l'énergie solaire et l'ingénierie financière» précise Pierre de Froidefond. « Cette stratégie de partenariats nous permet de travailler dès aujourd'hui sur près d'une dizaine de projets d'hybridation pour des sites de 1 MWc à 15 MWc de puissance». Ces projets de centrales concernent des sites industriels isolés ou raccordés à des réseaux électriques peu établis, et donc dépendants d'une production d'électricité d'origine pétrolière.

Un triple intérêt pour les industriels

La centrale photovoltaïque couvre entre 25 et 60 % de l'énergie totale consommée par le site. « Pour ces sites industriels, le recours à ces solutions hybrides a un triple intérêt : elle améliore l'empreinte carbone en diminuant la consommation d'énergie fossile, elle augmente la compétitivité énergétique de l'industriel en réduisant sa facture, et elle l'affranchit en partie de l'aléa économique et logistique des approvisionnements en pétrole», précise le dirigeant. Et tout cela sans avoir besoin d'investir puisque le modèle économique de Cap Vert Energie est basé sur un contrat privé de vente de l'électricité sur des durées allant jusqu'à 20 ans.

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Service après-vente en France: SolarMax a conclu un partenariat exclusif avec EMASOLAR

Le fabricant d`onduleurs allemand SolarMax et la société française EMASOLAR ont décidé de joindre leurs efforts pour servir leurs clients français avec la maintenance et réparation d'onduleurs SolarMax dans toute la France. Ceci est une bonne nouvelle pour les exploitants de centrales photovoltaïques qui utilisent des onduleurs SolarMax. Chacun des produits de la marque est désormais susceptible d'être réparé à nouveau ou remplacé en cas de besoin. La gamme d'onduleurs qui a fait la réputation de la marque est produite dans la toute nouvelle usine de Burgau en Bavière. Des pièces détachées originales garanties sont à nouveau disponibles.

Les demandes de SAV soumises à SolarMax sont désormais traitées par les équipes d'EMASOLAR en totale coordination avec le siège de l'entreprise. Les techniciens compétents d'EMASOLAR sont capables d'intervenir partout en France pour servir les exploitants d'onduleurs SolarMax, quelle que soit leur taille. Une intégration des systèmes d'information des deux sociétés est en cours de déploiement afin d'accélérer le traitement des appels clients.

Tous les clients qui avaient souscrit à des offres de maintenance SolarMax sont invités à se joindre aux nouveaux programmes de maintenance préventive et curative sur-mesure adaptés aux besoins de leur exploitation. La distribution d'onduleurs neufs pour des nouveaux projets est par ailleurs confiée pour sa part à SOLAPRO, maison mère d'EMASOLAR, spécialisée depuis 2008 dans la distribution de matériels photovoltaïques pour les professionnels.

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Technideal : Billy l’autoconsommation made in France

Société bretonne de distribution de matériel électrique crée en 2007, Technideal a vécu le grand boom photovoltaïque de la fin des années 2000. Avant la crise post moratoire. Pour faire face à la morosité, les responsables de Technideal ont fait, dès 2013, le pari de l'autoconsommation. C'est ainsi qu'est née Billy, une armoire avec stockage plug and play, facile à installer, très sûre, fiable et fabriquée en France. Un vrai pari sur l'avenir qui séduit déjà le marché Français, les DOM et l'international !

C'est un truisme. Le marché du photovoltaïque n'est pas folichon en France. Il est à la peine. Certains s'apitoient et se lamentent, d'autres choisissent de prendre le taureau par les cornes et de se lancer dans l'action. La société bretonne Technideal, spécialiste en fourniture de matériel électrique et en fabrication de coffrets électriques AC et DC, fait partie de ceux qui ne se laissent pas abattre, qui n'hésitent pas à prendre leur destin en main. « Depuis 2013, nous avons diversifié notre activité vers l'autoconsommation avec stockage. « Nous pensons qu'il existe là une dynamique d'avenir pour l'Europe, les Etats Unis, ainsi que dans des régions du monde où la vétusté des réseaux rend l'approvisionnement en électricité très aléatoire » souligne Bruno Jegou, le fondateur de l'entreprise qui compte une douzaine de salariés.

Objectif : la facilité d'installation

Le bureau d'étude de l'entreprise a donc travaillé avec un développeur, la société CAPIBERIC'k, ainsi que la société Grolleau à Angers, sur la conception d'une armoire avec stockage. Objectifs : un rendement optimal pour le client et une facilité d'installation pour l'installateur. Ainsi a vu le jour l'armoire Billy, un produit tout en un, compact , plug and play, doté de protections AC-DC intégrées mais aussi rapide à installer. Certifié par l'Apave, cette armoire Billy , qui dispose également de la certification IP54 , a glané le prix Bronze de l'innovation du salon Energaia 2013. En deux ans, la société Technideal a enregistré plus de 300 commandes de cet équipement électrique tourné vers l'autoconsommation photovoltaïque pour une plage de puissance des capteurs solaires qui s'étend de 1,5 à 3,15 kWc. Le stockage de l'énergie est assuré par trois types de batteries, lithium fer phosphate de 5 kWh , plomb AGM (Absorbant Glass Material) de 7 kWh ou OPzV de 8,6 kWh. « Les systèmes plomb sont peu coûteux mais disposent de seulement 800 cycles pour l'AGM et 2500 cycles pour l'OPzV, là où le lithium atteint plus de à 3500 cycles. Le lithium est plus cher à l'achat mais affiche une durée de vie de plus d'une dizaine d'années, sans commune mesure avec les trois à six ans du plomb » confirme Constance Thébaud, responsable développement marketing et export à l'international. Pour la partie onduleur, les affinités bretonnes ont conduit Technideal à un partenariat produit avec Iméon, pour une offre 100% française.

Priorité à l'autoconsommation… et à l'export

Aujourd'hui, le système d'autoconsommation avec stockage résidentiel, qui peut être utilisée avec une solution domotique de type FHE , Comwatt… est présent dans une centaine de foyers en métropole, une niche de clientèle qui désire consommer son électricité autrement sans pour autant être détaché du réseau. Pour eux, les heures creuses sont désormais diurnes et la batterie permet tout de même un report en soirée pour un meilleur équilibre entre la ressource et la consommation. « Le système combine trois sources d'énergie, en donnant avant tout priorité à l'autoconsommation, puis au stockage et enfin au réseau. Pour l'heure, le coût du kWh trop bas ne permet pas une rentabilité rapide de l'équipement en France. « Mais nous nous positionnons clairement dans une optique qualitative avec la volonté de travailler auprès de distributeurs et d'installateurs qualifiés et cela dans une vision à dix-quinze ans » poursuit Constance Thébaud. Pour le présent, les débouchés commerciaux de Billy sont également à chercher au-delà des mers et des océans comme la région de l'océan indien où l'instabilité du réseau et des subventions régionales et départementales favorisent la solution Technideal. Cette dernière, déjà distribuée à une cinquantaine d'exemplaires, répond sur l'île à un vrai besoin et une vraie problématique. Elle est ainsi un antidote aux coupures d'électricité qui émaillent la vie des insulaires ou à des black-out générés par les tempêtes tropicales. Lors du salon Intersolar de Munich, Billy s'est découvert une vocation à l'export, en Afrique du Sud, au Togo, en Nouvelle-Zélande ou encore dans les Pays de l'Est. Petit à petit, la notion de solaire avec stockage stationnaire suit son chemin. Tesla le démocratise à grands coup de buzz médiatiques. Technideal le réalise par petites touches dans le monde entier avec passion et une approche qualitative sur fond de « made in France ».
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Des nouveautés pour Energaia 2015 et pour l'année 2016

Lors de la Conférence Energaia 2015 de Montpellier, la société Technideal proposera une nouveauté, l'armoire Billy 9 kW triphasée, la version 6 kW mono devant être disponible pour l'été prochain . Par ailleurs, Technideal prépare un container de stockage qui comprend onduleur et batteries. Cette armoire XXL vise les villages isolés de toutes sources d'énergies, les chantiers BTP hors réseau qui ont des besoins d'électricité et de mobilité de la source énergétique ….

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Trina Solar restructure la direction régionale pour stimuler la croissance en Europe et en Afrique

Trina Solar, l'un des leaders mondiaux des modules, solutions et services photovoltaïques restructure ses équipes de direction en Europe et en Afrique afin d'alimenter les ambitions de croissance dans la région. Suite à la démission de Ben Hill, ancien président de Trina Solar Europe, la société a nommé RongFang Yin comme directeur régional de l'Unité Commerciale Modules en Europe et en Afrique, et Rafael Esteban comme directeur régional de l'Unité Commerciale Systèmes EMEA & Amérique latine. Les deux nominations entrent en vigueur immédiatement.

RongFang Yin a rejoint la société en 2009 et a plus récemment occupé le poste de vice-président adjoint, Opérations Commerciales Globales. Avant de travailler chez Trina Solar, M. Yin a occupé pendant huit ans des postes de cadre chez Flextronics ainsi qu'Invensys Asie-Pacifique. Dans ses nouvelles fonctions, RongFang Yin dirigera l'équipe de l'unité commerciale régionale modules pour mieux servir les clients européens et africains et aider a développer d'avantage Trina Solar comme leader dans les deux régions. RongFang Yin rapportera au président de l'MBU de la société, ZhiGuo Zhu.

Rafael Esteban bénéficie d'une expérience de plus de 15 ans dans l'industrie du PV, dont trois chez Trina Solar, où il a occupé le poste de chef du développement de projets et du financement de projets en Europe et en Afrique du Nord, ainsi que 12 ans chez BP Solar. Rafael Esteban se concentrera sur l'expansion de l'activité projets de Trina Solar dans ses régions. Rafael Esteban rapportera au président de l'SBU de la société.

« Je voudrais saisir cette opportunité pour exprimer notre sincère gratitude envers Ben Hill pour ses contributions au cours de son mandat », a déclaré Jifan Gao, président directeur général de Trina Solar. « Je suis heureux d'annoncer les nouvelles nominations de RongFang Yin et de Rafael Esteban. Je suis confiant que les expériences étendues de RongFang Yin ainsi que Rafael Esteban dans le secteur PV et leurs antécédents éprouvés aideront notre société à établir une base solide pour développer davantage notre présence dans ces régions. »

Trina Solar a également nommé M. Gonzalo de la Viña au poste de directeur régional des ventes Europe du Nord, où il a assumé un rôle de gestion clé. Anciennement directeur général DACH et Europe de l'Est chez REC Solar Allemagne, M. de la Viña a rejoint la Société avec une expérience importante et un sens aigu des affaires.

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Innovation GREENoneTEC : les pays émergents en ligne de mire

L'année 2015 est décidément sous le signe de l'innovation pour GREENoneTEC… Après avoir présenté le capteur grandes surfaces GK3003 de 8 et 13 m² destiné aux réseaux de chaleurs et aux process industriels, le fabricant Autrichien rajoute une nouvelle corde à son arc avec 2 nouvelles gammes en thermosiphon viennent enrichir le portfolio déjà bien doté de l'entreprise, lui permettant de proposer à de nouveaux clients des produits plus adaptés. En effet, ses 2 gammes en systèmes fermés ont été conçus pour s'adapter aux marchés émergents, qui besoins de qualité à un prix ajustés. Des capteurs dédiés ont été développés, offrant rendement et facilités de montage et de raccordements.

Les 2 gammes se déclinent en 150 – 200 et 300L, avec 2 types de ballons : ballons ECS tank-intank et ECS instantanée. « Les essais réalisés selon la norme européenne ont dépassé les estimations du BET et nos attentes ! » s'enthousiasme Fabrice Bordet, responsable France et Francophonie. Le conditionnement des containers a été optimisé en vue de limiter l'impact des transports. Présent sur le salon ERA à Oran (Algérie), GREENoneTEC a reçu un accueil très positif pour cette nouvelle gamme et des contacts intéressants sont déjà en cours. Cette gamme complète la gamme Solcrafte, qui est un capteur autostockeur en 100 – 150 et 200L. L'ensemble de la gamme TSD et TSF est sous Solarkeymark Système

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Evénement / 5ème édition du dîner caritatif de la fondation Synergie Solaire : l’ONG Barefoot College à l’honneur

Alors que la 5ème édition du dîner caritatif de Synergie Solaire se déroulera le 17 novembre prochain à Paris, Hélène Demaegdt, la présidente du fonds de dotation, évoque pour nous le fantastique travail de terrain accompli, reconnu par la COP 21, qui commence à avoir des résonances auprès des institutions et des universitaires. Sans oublier un focus sur les étonnantes Solar Mamas qui enchanteront cette soirée inoubliable !

Le dîner caritatif du fonds de dotation Synergie Solaire s'accompagne toujours de la découverte d'une action humanitaire ou d'une ONG capable de réconcilier le plus misanthrope des hommes avec l'humanité. Cette année, ce rassemblement des professionnels philanthrope du solaire français sera l'occasion de partir à la rencontre du Barefoot College, une institution vieille de 40 ans qui forme des femmes illettrées aux métiers du solaire au cœur du Rajasthan en Inde. Ces femmes viennent des quatre coins du monde, envoyées par leur communauté avec l'accord de leurs maris, apprendre pendant des mois les techniques de l'énergie solaire afin de contribuer par la suite elles même au développement de leur village. Résultats : 1000 villages électrifiés et plus de 450 000 bénéficiaires. Un succès phénoménal soutenu par l'ONU, Bill Clinton et maintenant Synergie Solaire. Le Barefoot College est, qui plus est, en plein déploiement avec la création d'un nouveau centre de formation à Zanzibar et des futurs centres en gestation pour le Sénégal et le Burkina-Faso. Pour une rencontre forte en émotions !

Le dîner sera aussi l'occasion pour Hélène Demaegdt d'évoquer les actions de Synergie Solaire à la veille de la COP 21. Le fonds de dotation fait ainsi partie d'un groupe d'une dizaine de fondations « Fondations et Climat » qui se mobilise pour cette COP 21 autour d'une réflexion éthique sur le placement des assets financiers et sur les bonnes pratiques à adopter. Plus proche du terrain que de la finance, Synergie Solaire a beaucoup à apporter au débat par ces actions de solarisation de quartiers et de villages à travers le monde. « Notre vocation de départ était de créer des passerelles entre le monde du business et celui des ONG. Et l'on s'aperçoit depuis cinq ans que notre implication nous dépasse et va désormais bien au-delà avec des liens qui se tissent auprès des institutions internationales comme l'AFD (Agence Française de Développement) mais aussi avec le monde universitaire local où les projets de Synergie Solaire deviennent des travaux pratiques pour les étudiants de ces pays émergents. Un aboutissement !» confie Hélène Demaegdt qui donne rendez-vous à la filière solaire pour le dîner caritatif du 17 novembre à Paris, un grand moment de partage et de convivialité.
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QOS Energy, une PME engagée auprès de Synergie Solaire

Spécialiste du monitoring et du suivi de centrales d'énergies renouvelables installée à Nantes mais aussi en Allemagne, à Londres et bientôt à San Francisco, la société QOS Energy supervise 2 500 sites pour une capacité totale de 1 GW. « Notre start-up a proposé à Synergie Solaire ses compétences et l'achat de matériel pour une instrumentation d'un hôpital de brousse au Bénin. Nous réalisons du support technique à distance avec l'Afrique. Il y a de la fierté pour nos équipes à accomplir ce type d'action. Cela donne du sens » souligne Jean-Yves Bellet, directeur technique et vice président de Q OS Energy.

Pour confirmer sa place au dîner...