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Les renouvelables: L’option la plus économique pour le mix énergétique de l’UE en 2030

Selon Bastian Hermisson, directeur de la Fondation Heinrich Böll, Union Européenne « le Sommet européen d'octobre devrait renforcer l'engagement de l'UE envers les renouvelables, l'option qui présente le meilleur rapport coût-efficacité pour le futur mix énergétique de l'UE. L'approche « business as usual » nuit à l'environnement, à la santé et l'économie. La mise en œuvre d'une stratégie renouvelable est moins onéreuse qu'une conventionnelle à moyen et long-termes. »

La version française de l'étude « Les énergies renouvelables : la seule voie vers un système énergétique sûr, abordable et respectueux du climat pour 2030 », publiée dernièrement par la Fondation Heinrich Böll, Union Européenne, démontre que le coût des énergies renouvelables baissera alors que celui des combustibles fossiles et l'énergie nucléaire augmentera. Ce qui serait d'autant plus vrai si les coûts externes des dommages climatiques ou l'assurance contre les risques d'accidents nucléaires par exemple étaient pris en compte. Le besoin d'une capacité de réserve (« back-up ») pour les énergies renouvelables variables, comme l'éolien et le solaire, ne modifie pas ce calcul. Une réduction de la consommation d'énergie par l'amélioration de l'efficacité énergétique, pourrait entraîner une chute des coûts totaux de l'énergie pour les industries et les citoyens européens.

Selon Silvia Brugger, directrice du Programme climat et énergie de la Fondation Heinrich Böll à Bruxelles, «le parc européen des centrales électriques viellissant devra être modernisé dans les prochaines années. Le coût par mégawattheure des technologies comme le photovoltaïque et l'éolien terrestre seront presque au même niveau que les nouvelles centrales électriques qui produisent à partir de sources conventionelles. Mais nous sommes momentanément sur le mauvais chemin: Une utilisation croissante du charbon et des initiatives coûteuses de subvention en faveur de nouvelles centrales nucléaires éclipsent le progrès dans le déploiement des énergies renouvelables. »

Les énergies renouvelables non seulement réduisent considérablement les émissions mais les autres charges environnementales et sociales ; elles diminuent aussi la dépendance à l'importation d'énergie et renforcent alors la sécurité énergétique, les économies locales et créent des emplois. Un cadre politique clair et fiable avec des objectifs ambitieux pour les énergies renouvelables est indispensable pour assurer une voie sobre en carbone avec le meilleur rapport coût-efficacité. Les énergies renouvelables : la seule voie vers un système énergétique sûr, abordable et respectueux du climat pour 2030:

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En Italie, un concessionnaire automobile réduit sa facture d’électricité grâce à l’autoconsommation PV

Un concessionnaire italien de voitures, Autostar Spa, installé à Pordenone vient de miser sur l'autoconsommation d'électricité solaire. Il a ainsi installé environ 700 m² de capteurs photovoltaïques Hanwha Q-CELLS de 250 Wc sur le toit de sa concession soit une puissance de 100 kWc. Cette centrale fournira la concession en énergie propre tout en réduisant la facture énergétique. Le système fournira autour des 110 000 kWh d'énergie verte chaque année. La concession consommera 85% de l'énergie produite sur site pour une économie de 8,3 tonnes de CO2 par an. Le système photovoltaïque permet à la concession automobile de couvrir 70% de ses besoins en électricité.

« Nous sommes très attentifs aux économies d'énergie alors que dans le même temps les prix de l'énergie grimpent. Avec cette installation, nous attendons une baisse de notre facture énergétique de 54% » confie Giogi Bonutto, directeur d'Autostar Spa. « Ce projet montre qu'en Italie, une centrale photovoltaïque fait encore sens sur un plan économique malgré le contexte de marché soumis au Conto Energia Act qui a coupé drastiquement les subventions au PV. « Nous sommes très heureux de montrer que ce projet est un succès. Il permet de prouver aux PME et PMI qu'elles peuvent aujourd'hui en Italie profiter de centrales photovoltaïques en autoconsommation à condition bien sûr de disposer d'un fort taux d'autoconsommation au sein de leur activité » précise Marco Dona, chef des ventes Hanwha Q CELLS en Italie.

Hanwha Q CELLS monte ses capacités de production à 1,5 GW pour la fin de l’année

Le groupe Hanwha Q CELLS vient d'achever la construction d'une nouvelle ligne de fabrication de cellules d'un potentiel de 204 MW au sein de son usine de Malaisie. De plus, le plus grand fabricant européen d'équipements photovoltaïques a annoncé un accroissement de ses capacités de production au total au-delà de 1,5 GW. La société a par ailleurs lancé un programme « Manufacturing Excellence Initiatives » au sein de ces deux sites de production en Malaisie et en Allemagne, une opération qui devrait générer une capacité additionnelle de 230 MW à la fin de l'année.

Hanwha Q CELLS a augmenté ses ventes de 68% lors du premier semester 2014 à 539 MW contre 320 MW pour la même période de 2013. Une performance qui positionne le groupe comme le leader européen du secteur! Charles Kim PDG de Hanwha Q CELLS déclare : « Hanwha Q CELLS conforte sa forte position sur le marché international du PV. Nous augmentons nos capacités de production à l'international pour répondre à la demande mondiale soutenue de modules de haute qualité ».

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Un bel été 2014 pour la climatisation solaire de la ZAC Jacques Cœur à Montpellier !

L'ensemble de bâtiments récents (2010) constitué de bureaux, magasins et appartements et situé dans la ZAC Jacques Cœur à Port Marianne (Montpellier) est équipé d'une installation de climatisation solaire couplé à un système de production d'eau chaude sanitaire. Elle est composée de 240 m² de capteurs plans double vitrage, d'une machine à absorption 35 kW, d'un circuit solaire en mode autovidangeable (avec eau glycoléee + HX) et un ballon tampon chaud de 1500 litres.

En cet 2014, il n'étonnera personne d'apprendre que la ressource solaire utile a été inférieure de 15% par rapport à 2013. En revanche, l'installation a encore une fois bien fonctionné sans le moindre problème technique ce qui montre sa robustesse. Elle a ainsi produit proportionnellement quasiment la même quantité de chaleur et de froid qu'en 2013. L'efficacité électrique a confirmé sa bonne tenue à plus de 12 sur tout l'été en moyenne. Enfin et grâce à des réglages affinés, la consommation d'eau de la tour a quasiment été divisée par 2.

Résultats : Un projet qui fonctionne très bien depuis le printemps 2012 doté d'un système complet de monitoring permettant un retour d'expérience précis sur les performances énergétiques. Pour un nouveau concept intéressant de climatisation et eau chaude sanitaire solaire !

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Récupérer la TVA sur les installations entre 3 et 9 kWc, c’est possible !

Une publicité sur la toile d'EDF ENR, spécialisée dans les installations solaires en toiture, a attiré l'attention en cet été 2014. Au sein de l'argumentaire de vente, un slogan choc a tout pour séduire le chaland attiré par le photovoltaïque et comptable de ses deniers. Il est écrit : « L'Etat vous rembourse jusqu'à 7000 euros sur votre installation solaire ». Attractif ! On penserait même à une improbable subvention. Le petit astérisque à peine visible nous en dit plus et évoque notamment un crédit de TVA. Ces 7000 euros représenteraient donc un remboursement de TVA sur une installation de 9 kWc qui coûterait 35 000 euros TTC. Mais comment cela fonctionne ?

Nous avons demandé à Nicolas Priest, patron d'Inelys solaire, un cabinet spécialisé dans la gestion fiscale des producteurs d'énergies nouvelles, de nous expliquer le fonctionnement de cette optimisation fiscale qui a connu un trou d'air en début d'année 2014. En cause, l'avis d'une commission en décembre 2013 qui, dans le cadre d'une récupération de TVA, assimilait le producteur d'énergie solaire à un commerçant et donc soumis au RSI (Régime Spécial des Indépendant). Autant dire que l'avantage devenait un handicap insurmontable une fois soumis à cotisations sociales. Pendant deux mois, la profession a tremblé. Entre la baisse régulière des tarifs et cette option de récupération de TVA devenue caduque, le marché déjà déprimé devenait un véritable champ de ruines.

« Heureusement, au bout de deux mois, nous avons eu la confirmation de Bercy qu'il ne fallait pas tenir compte de cet avis. Au début du mois de mars, la procédure de récupération de TVA pour les particuliers qui s'équipaient avec des installations entre 3 et 9 kWc a pu reprendre au grand soulagement de la profession » confie Nicolas Priest. Le particulier qui acquiert des générateurs solaires d'une puissance comprise entre 3 KWc et 9 KWc peut ainsi récupérer la TVA sur son investissement. « La demande de remboursement de TVA est faite trimestriellement par notre cabinet. Le montant de la TVA est viré directement par le centre des impôts sur le compte bancaire de l'investisseur. Les équipes d'Inelys Solaire se chargent d'accomplir toutes les démarches auprès des impôts » poursuit-il.

Pour récupérer la TVA, le particulier qui investit s'affilie au régime fiscal BIC non professionnel via quelques formalités. Ce régime permet d'être assujetti à la TVA et donc de la récupérer tout au long de la vie de l'installation sur l'ensemble des factures émises (monitoring, maintenance, comptabilité etc.). Il permet également de déduire les amortissements des panneaux solaires et les intérêts d'emprunt qui génèrent une production déficitaire, ce qui exonère l'investisseur d'impôt et de CSG-RDS au moins pendant les dix premières années (dans le cas d'un prêt sur dix ans).

Seul inconvénient de ce régime, le propriétaire de l'installation doit chaque année produire une liasse fiscale à l'administration. Cette prestation réalisée par un cabinet comptable peut-être récupérable sous la forme d'une réduction d'impôt. « C'est pourquoi nous ne préconisons ce régime qu'aux personnes imposables à l'IR à hauteur de plus de 500 euros annuels. Pour les retraités non imposés par exemple, ce régime n'est absolument pas pertinent même s'il permet de récupérer la TVA dans un premier temps, il grève ensuite les revenus de l'installation sur le long terme » informe Nicolas Priest. Avant de se lancer dans une quelconque optimisation fiscale, il est plus prudent de consulter des spécialistes !

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Posez votre candidature à la 6ème édition des Trophées des Energies Renouvelables et de l’Efficacité Energétique !

Les Trophées des Energies Renouvelables et de l'Efficacité Energétique, événement national et annuel, a pour objectif d'accompagner les dirigeants de PME-PMI de moins de 250 salariés dont les innovations sont en adéquation avec les attentes sociétales et environnementales. Ce concours vise à accompagner et à soutenir des PME-PMI françaises développant ou commercialisant un produit, un process ou un service innovant dans le domaine des énergies renouvelables, de l'efficacité énergétique ou plus largement dans le domaine de la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE).

Les Trophées sont organisés par ESSEC ALUMNI, l'Association des Diplômés du Groupe ESSEC qui réunit 44 000 Alumni en faisant ainsi l'une des plus grandes Associations de diplômés, Business schools et écoles d'ingénieurs confondues. Cette association a pour missions essentielles d'entretenir avec les anciens élèves les relations amicales, organiser leur coopération professionnelle, et mettre en œuvre les échanges avec les autres associations poursuivant les mêmes buts en France et à l'étranger. Dans cette optique, deux Trophées distincts seront ainsi décernés :

- un Trophée « ESSEC » récompensant une démarche ou un service innovant. Le changement de paradigme dans le monde énergétique nécessite de repenser les manières de travailler. Le lauréat devra donc montrer une réelle capacité à faire bouger les lignes entre les acteurs en présence.
- un Trophée « du Jury », récompensant une innovation technique. Ce Trophée a vocation à mettre en valeur un produit ou une rupture technologique apportant une réponse aux problématiques liées au développement des Energies Renouvelables ou à l'amélioration de l'Efficacité Energétique.

Les partenaires de la 6ème édition des Trophées des ENergies Renouvelables et de l'Efficacité Energétique sont cette année ALCIMED, CertiNergy, Cofely Services, Gecina et PRIMAGAZ. L'INSTITUT CARNOT Cetim, Décisions Durables et Energie Plus ont confirmé leurs soutiens historiques. Constitué de personnalités et de représentants d'entreprises, le Jury se réunira au siège social de la foncière Gecina les 24 novembre et 1er décembre 2014. Il sera présidé par Jean-Marc Jancovici, associé fondateur de Carbone 4, cabinet de référence sur la transition énergétique. La remise des Trophées aura lieu le 5 février 2015 chez Gecina, sous l'égide de Gecina Lab, structure de dialogue et de réflexion en matière de RSE.

Déroulement des Trophées

Pour participer, rendez-vous sur www.tropheesenergies.essecalumni.com afin de télécharger le dossier de candidature. Le dossier complété est à envoyer à [email protected] avant le 24 octobre 2014. A la suite d'une présélection les nominés pourront alors défendre leur projet devant le Jury. Les lauréats bénéficieront d'un accompagnement personnalisé de la part d'ALCIMED, de COFELY Services, de CertiNergy, de PRIMAGAZ et de Décisions Durables, ainsi que de soutien pour leur développement, financement et communication. Plus qu'une simple récompense, les Trophées sont aussi l'accès à des réseaux, des expertises et une visibilité auprès des acteurs du secteur.

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SolarWorld: Gérald Semenjuk nommé Directeur général de SolarWorld France

Gérald Semenjuk, 45 ans, ingénieur généraliste grande école, était Directeur commercial de SolarWorld France depuis septembre 2012. Depuis le 1er août dernier, il a été nommé Directeur général. Détenue à 100 % par SolarWorld AG, cette filiale assure depuis 2010 la présence en France de la société allemande. Forte d'une équipe renouvelée en 2012 et 2013, SolarWorld France a mené à bien trois recrutements en 2014 et compte aujourd'hui huit collaborateurs, exclusivement dédiés à la commercialisation de solutions solaires photovoltaïques sur le marché français. Depuis fin 2012, SolarWorld France s'est organisée autour d'une nouvelle politique commerciale, centrée sur le développement des personnes et des clients, qui se traduit aujourd'hui par un joli succès : SolarWorld sera en 2014 la marque de modules la plus vendue en France.

Gérald Semenjuk met l'accent sur l'importance des partenariats, non seulement technologiques mais surtout humains, qui sont, selon lui, les seuls capables d'offrir des solutions complètes et personnalisées : « Je connais bien la Chine et la culture chinoise. En affaires, les Chinois sont très différents de nous. Ils sont passés à côté de la révolution industrielle du XIXe siècle et il leur faudra encore du temps pour combler leur retard en termes de savoir industriel pérenne. C'est là que l'industrie de la vieille Europe en général, et de SolarWorld en particulier, fait la différence. Travailler avec SolarWorld, et notamment avec SolarWorld France, c'est s'appuyer sur un fournisseur de qualité ».

Il poursuit : « Notre proximité géographique, culturelle et de métier nous permet de véritablement accompagner chacun de nos partenaires sur le terrain. Ils restent ainsi concentrés sur leur métier, leur valeur ajoutée et leurs ventes. Main dans la main, nous pouvons ainsi développer le marché du solaire photovoltaïque en France. Plus que le succès de SolarWorld, cette conquête de marché reflète d'abord le succès de nos partenaires. Aujourd'hui, je travaille avec des collaborateurs spécialistes à 100 %, qui se consacrent au quotidien au perfectionnement de nos technologies. Ma passion pour l'organisation des hommes et des métiers trouve toute sa raison d'être dans cette grande maison, qui met toute son expertise de la qualité au service de l'optimisation de la valeur ajoutée. Le produit n'est rien sans le service ».

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Voltec Solar poursuit sa croissance

Voltec Solar, producteur français de panneaux photovoltaïques, après sa meilleure année en 2013, produit depuis janvier à pleine charge de ses capacités. Son carnet de commande est par ailleurs garni pour au moins les six prochains mois. Fort d'une structure financière saine, Voltec Solar fait partie des quelques fabricants qui ont su tirer parti de la vague de consolidation que vient de connaitre le marché des fabricants et des installateurs. Simultanément, l'entreprise a investi dans ses outils de fabrication et ses process pour encore mieux satisfaire cette demande.

Exemples très concrets : La Compagnie du Vent, Groupe GDF SUEZ, vient d'inaugurer une centrale de 7 MWc proche d'Avignon avec des panneaux Voltec Solar hautes puissances, ou encore des projets sur aéroports nécessitant l'utilisation de verres spécifiques antireflets respectant les exigences de la DGAC (Direction générale de l'aviation civile), enfin, dans les prochaines semaines, Voltec Solar va livrer un des plus gros projet réalisé en métropole avec des modules bi-verre.

Hors production destinée à l'export, Voltec Solar propose sur le marché national des solutions spécifiques adaptées aux appels d'offre CRE2 avec des bilans carbones parmi les plus compétitifs du marché sur ses modules poly et monocristallins ainsi que des solutions pour la bonification +10%. Dans le même esprit, Voltec Solar propose à ses clients ses compétences en termes de R&D à travers une équipe reconnue par les instances internationales. Voltec Solar est également bien armé pour les appels d'offre CRE3 avec des solutions spécifiques.

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Ségolène royal, reconduite dans ses fonctions : Les professionnels des énergies renouvelables rassurés

Ségolène Royal avec Jean-Louis Bal lors de la récente signature de l'arrêté sur l'éolien

Après deux jours d'attente, les professionnels regroupés au sein du SER, ont appris avec soulagement et satisfaction, la reconduction de Ségolène Royal au poste de ministre de l'Ecologie, du Développement Durable et de l'Energie, avec laquelle de nombreux dossiers ont été ouverts. Grâce à cette reconduction, le calendrier parlementaire, notamment celui de la loi de transition énergétique, et les grandes orientations qui doivent guider l'avenir des énergies renouvelables devraient être confirmés et l'action en leur faveur poursuivie. A cet égard, le SER a déjà présenté un certain nombre de propositions à la ministre et les publiera prochainement ainsi que ses suggestions d'amendements au projet de loi.

Par ailleurs, le Syndicat des énergies renouvelables salue la nomination d'Emmanuel Macron au poste de ministre de l'économie, de l'industrie et du numérique. En effet, le développement industriel des filières des énergies renouvelables est une des conditions pour qu'elles jouent tout leur rôle sur notre territoire. Le SER travaille depuis plusieurs années à la mise en œuvre d'outils nécessaires au développement et à l'accompagnement d'acteurs industriels dans chacune des filières concernées : Structuration des filières, priorités de la recherche développement et démonstration, soutien aux démarches collectives à l'exportation. Jean-Louis Bal, Président du SER se tient à la disposition du cabinet du ministre pour présenter les principales propositions de développement industriel portées par la profession.

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Ségolène Royal reconduite au ministère de l’écologie et de l’énergie dans le gouvernement Valls II

A l'heure où la loi sur la transition énergétique est en pleine discussion et alors que la filière solaire est dans l'attente de décisions fortes en matière d'avancées réglementaires sur l'autoconsommation, de revalorisation tarifaire des installations de moins de 100 kWc ou encore sur le sujet du lancement du prochain du nouvel appel d'offre des plus de 250 kWc attendu depuis des mois, le maintien en poste de Ségolène Royal apparaît comme une excellente nouvelle. Depuis l'élection de François Hollande, quatre ministres de l'écologie - Nicole Bricq, Delphine Batho, Philippe Martin et Ségolène Royal - se sont en effet succédé au rythme de la politique erratique prôné en la matière. Cependant, avec l'arrivée de Ségolène Royal, un cap semble s'être enfin dessiné. Sa confirmation à la tête de ce ministère va en tous les cas apporter une stabilité plébiscité par l'ensemble des acteurs du renouvelable. Ségolène Royal connaît bien ses dossiers et a la volonté de conduire le pays vers une croissance verte. Elle est, qui plus est, un ministre qui compte.