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PV Grid : Recommandations pour une meilleure intégration du photovoltaïque dans les réseaux européens

Le consortium européen PV Grid, auquel participe ENERPLAN, publie ce jour un document consultatif contenant des recommandations clés pour l'adoption de solutions techniques facilitant l'intégration de l'énergie photovoltaïque (PV) dans le réseau de distribution. Ce document sera présenté et les résultats discutés dans chaque pays partenaire avec les organismes directement concernés par l'intégration du PV au réseau. Les différents partenaires nationaux du projet organiseront des rencontres avec les acteurs clés afin d'échanger sur les recommandations proposées et de définir les solutions les plus adéquates à mettre en œuvre dans chaque pays. ENERPLAN présentera ces recommandations aux organismes concernés au printemps et une conférence nationale sera organisée à la fin du 1er semestre sur cette thématique de l'intégration du PV au réseau.

Depuis mai 2012, le consortium PV Grid a travaillé sur l'identification et la hiérarchisation des solutions techniques facilitant l'intégration de l'électricité PV dans les réseaux de distribution. Suite à une analyse détaillée des freins à l'augmentation de la capacité d'accueil des réseaux, des recommandations réglementaires et normatives ont été identifiées. Dans un système énergétique en pleine évolution, la production décentralisée basée sur des sources d'énergies renouvelables joue un rôle de plus en plus central. Il est dès lors indispensable d'identifier de nouvelles manières d'exploiter les réseaux électriques de distribution. Plusieurs défis ont été identifiés par le consortium PV Grid. Ceux concernant le plus la situation française sont les suivants :

• Développer un cadre incitant à l'autoconsommation de l'électricité PV
• Promouvoir le déploiement de solutions de stockage tant au niveau des gestionnaires de réseaux que des producteurs PV
• Assurer des conditions équitables en cas de réduction de l'injection de la production PV
• Exploiter les propriétés techniques avancées, en termes de service, des onduleurs (tel que la production de courant réactif)
• Développer un cadre réglementaire cohérent pour le déploiement des compteurs intelligents
• Inciter le développement des smart-grids
• Encourager le déploiement d'outils de gestion active de la demande.

Télécharger le rapport

Tecsol obtient la mention « RGE Etudes » sur la base du référentiel de l’OPQIBI

C'est fait ! Le bureau d'études Tecsol a obtenu la mention 'RGE Etudes » (Reconnu Garant Environnement). Cette reconnaissance met en avant les signes de qualité (qualifications ou certifications) délivrés aux professionnels réalisant des prestations intellectuelles concourant à la performance énergétique des bâtiments et des installations d'énergie renouvelable.

En effet, les principaux objectifs de la charte sont les suivants :

• Faire monter en compétence les professionnels
• Permettre aux maîtres d'ouvrage de mieux identifier les professionnels compétents
• Mettre en avant l'importance de la qualité de la conception et du suivi de la réalisation

Par ailleurs la charte « RGE Etudes » introduit le principe d'éco-conditionnalité des aides de l'Ademe : à compter du 1er janvier 2015, les aides de l'Ademe liées à l'efficacité énergétique des bâtiments et aux ENR seront allouées aux seuls donneurs d'ordre ayant fait appel à des prestataires titulaires d'un signe de qualité reconnu « RGE ».

04 68 68 15 40 et [email protected]

URBASOLAR inaugure le parc solaire des Sauvaires, situé à Gardanne (13) sur un ancien terril

Samedi 25 Janvier, en présence de Roger Meï, maire de Gardanne, de la Vice-présidente du Conseil Régional Annick Delhaye, du Député Monsieur François-Michel Lambert, URBASOLAR a inauguré le deuxième plus grand parc solaire du département des Bouches du Rhône. Situé sur un ancien terril, les 38 200 panneaux photovoltaïques représentant une puissance de 9.36 MW, implantés sur 17 ha, produiront chaque année l'équivalent de la consommation électrique de la moitié de la ville de Gardanne (soit 10 000 habitants).

S'inscrivant dans l'objectif de la commune d'être une ville à énergie positive en 2020, cette centrale construite et exploitée par URBASOLAR participe à la reconversion de l'ancien bassin minier. Nécessitant des travaux de terrassement parmi les plus importants de la région PACA, elle est aussi un modèle d'éco-conception. C'est en effet la carrière voisine, exploitée par Durance Granulats, qui a fourni le matériau nécessaire (près de 230 000 m3). Le projet a ainsi été salué par la visite du ministre de l'écologie Philippe Martin lors de la récente conférence sur l'économie circulaire, organisée à Gardanne en décembre dernier.

Lors du discours d'inauguration, Roger Meï à déclaré « Sur ce qu'a laissé la mine, on produit de l'énergie. On rebondit avec ce que notre histoire nous a légué ». Arnaud Mine, Président d'URBASOLAR a quant à lui rappelé le projet que l'entreprise mène actuellement aux cotés de SILLIA pour le rachat de l'entreprise de panneaux photovoltaïques BOSCH, avec pour objectif de constituer un outil industriel français performant, représentatif du savoir-faire français sur le territoire national comme à l'export.
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Sunzil, apporte l’électricité solaire à cinq villages amérindiens de Guyane

Le Groupe Sunzil, principal opérateur en énergie solaire en Outremer, vient de remporter, via sa filiale en Guyane, un important appel d'offres auprès de la Communauté des Communes de l'Ouest Guyanais (CCOG). Cette opération d'un montant d'environ 9 M€, permettra d'équiper en électricité solaire cinq villages isolés du haut Maroni, tous rattachés à la commune de Maripasoula. Cette commune Guyanaise, située au cœur du parc amazonien, est une des plus étendues de France avec 18 000 km², soit l'équivalent de la basse Normandie. Elle comprend quelques villages peuplés d'amérindiens issus majoritairement de la communauté Wayana. Ces villages ne sont pas raccordés au réseau électrique public de par leur situation géographique très à l'écart des zones desservies.

La réalisation de ce marché, qui intègrera notamment la mise en place de systèmes photovoltaïques hybrides avec stockage d'énergie, groupe électrogène d'appoint et gestion à distance, apportera les services électriques de base qu'un village nécessite. Il est aussi prévu la construction des bâtiments intégrant les équipements électriques. Ce chantier complexe fait notamment l'objet de dispositions logistiques adaptées aux contraintes de la forêt amazonienne et du fleuve (transport pirogue, sauts, crues,…). Un savoir-faire que les femmes et hommes de Sunzil partagent depuis de plus de 25 ans pour certains, le photovoltaïque ayant démarré dans les sites isolés.

Petit rappel. Le groupe Sunzil est présent au travers de sept filiales dans l'Outremer français depuis 1986 (200 collaborateurs). Anciennement Tenesol, Sunzil exploite aujourd'hui un parc raccordé réseau de 100 MWc constitué de plus de 1200 installations ainsi que près de 7000 installations isolées du réseau électrique, dont la Guyane. Par ailleurs, Sunzil, très fortement pénalisée par le moratoire PV de fin 2010, se bat, au travers du SER/SOLER, pour permettre un redémarrage des dispositifs de soutien au photovoltaïque dans les DOM et POM (ZNI), notamment au travers d'un modèle intégrant l'Autoconsommation, la Maitrise de l'Energie, le Stockage et le service réseau.

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Le tarif T4 (36-100 kWc) reste stable grâce au plafonnement des 20%

L'arrêté du 4 mars 2011 fixant les conditions d'achat de l'électricité produite par les installations utilisant l'énergie radiative du soleil prévoit que « la Commission de régulation de l'énergie transmet aux ministres en charge de l'énergie et de l'économie, dans un délai de sept jours à compter de la réception des bilans mentionnés à l'article 4, les valeurs des coefficients SN et VN résultant de l'application de l'annexe 1 du présent arrêté, l'indice N représentant le trimestre sur lequel portent les bilans, ainsi que les données permettant de déterminer ces valeurs. Les ministres homologuent ces coefficients par arrêté.».

Les bilans des demandes de raccordement transmis par les gestionnaires de réseaux publics d'électricité à la Commission de régulation de l'énergie (CRE) totalisent, pour le trimestre d'indice N=11, à savoir du 1er octobre au 31 décembre 2013, une puissance crête cumulée de 41,36 MW pour les installations souhaitant bénéficier du tarif d'intégration au bâti, et de 78,90 MW pour les installations souhaitant bénéficier du tarif d'intégration simplifiée au bâti.

En application de l'annexe 1 de l'arrêté du 4 mars 2011 et en considérant les puissances crête cumulées des bilans des demandes de raccordement transmis par les gestionnaires de réseaux publics d'électricité dans le délai réglementaire (avant le 15 janvier 2014), les valeurs des coefficients S11 et V11 sont respectivement fixées à 0,020 et 0. L'arrêté tarifaire du 7 janvier 2013 modifiant l'arrêté du 4 mars 2011 a introduit un plafonnement de la baisse sur un des tarifs d'achat à 20 % à partir du 1er octobre 2013. En l'absence de ce mécanisme, le coefficient V11 aurait été de 0,045 entrainant une baisse des tarifs de 23,60 % depuis le 1er février 2013.

Le niveau des tarifs définis dans l'arrêté du 4 mars 2011, en vigueur pour la période du 1er janvier au 31 mars 2014, sera fixé par un arrêté d'homologation pris par les ministres en charge de l'économie et de l'énergie. Dans l'attente de leur publication, la CRE en informera les porteurs de projets par l'intermédiaire de son site Internet. Elle publiera la grille tarifaire qui lui aura été préalablement transmise par la Direction de l'énergie.

Les tarifs d'achats, pour la période du 1/01/14 au 31/03/14 sont donc :

• Intégration au bâti :
• 0-9 kWc = 28,51 cts€/kWh
• Intégration simplifiée au bâti :
• 0-36 kW = 14,54 cts€/kWh
• 36-100 kW = 13,81 cts€/kWh
• Tout type d'installation (jusqu'à 12 MW) : 7,36 cts€/kWh

 

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BISOL Group installe la plus grande centrale solaire PV du Kazakhstan

BISOL Group a terminé l'installation d'une centrale solaire PV au sol de 2 Mégawatts dans la ville de Kapchay dans la province d'Almaty au Kazakhstan. Cette centrale solaire est la plus importante jamais construite du pays, et également la première centrale solaire partiellement construite avec des trackers solaires, elle représente donc un haut point de référence, pour le gouvernement Kazakh dans sa politique de développement des énergies solaires.

Le projet a été commandé par Samruk-Energo, fournisseur d'énergie au Kazakhstan, en tant que projet pilote afin d'encourager la présence de l'énergie solaire dans la répartition du mix énergétique du pays. Grâce à ses expériences dans la construction de centrale de grande taille et cela dans plusieurs pays, BISOL Group a été sélectionné en tant que partenaire EPC afin de lui délivrer une centrale PV clé en main, incluant la conception, la fourniture et la gestion de l'installation de la centrale avec les prestataires locaux, et également une formation complète au département d'exploitation et d'entretien de Samruk Green qui sera responsable de la maintenance de la centrale une fois cette dernière terminée.

La centrale solaire de 2 MW est d'une part construite avec une structure de montage fixée au sol pour un total de 1,4 mégawatts et d'autre part avec des trackers solaires à deux axes pour les 600 kilowatts restants. Avec un rendement énergétique estimé de 1 258 kWh/kW pour la partie fixe et de 1 488 kWh/kW pour la partie trackers, la centrale solaire offre au total une production estimée à 2,67 gigawattheures d'électricité chaque année, couvrant ainsi la demande énergétique de plus de 667 foyers et permettant une économie de plus de 1 602 tonnes de CO² par an.

Près de 8 000 modules PV monocristallins BISOL Premium de fabrication UE, avec une puissance de 250 à 255 Wc par panneau, ont été installés sur des emplacements très bien exposés de la steppe kazakhe. La composition du terrain a été un véritable challenge pour la construction, en effet la présence de roches solides sous une mince couche de sol, dans laquelle les fondations devaient être cimentés, a demandé à nos équipes toute leur ingéniosité. A cause du terrain vallonné, chaque segment individuel de la partie fixe de la centrale PV a dû être soigneusement conçu pour éviter les zones d'ombrage et assurer un rendement énergétique optimal. En plus de la construction de 600 m de lignes électriques en partant de la centrale PV jusqu'à la station électrique, une ligne électrique existante et passant au milieu du site a dû être déplacée pour obtenir suffisamment d'espace pour la centrale. Les ingénieurs de BISOL Group possèdent une forte expérience International dans l'implantation de projets solaires, ce qui a contribué à la bonne mise en œuvre de ce projet ambitieux.

La centrale PV de Kapchagay va aider à couvrir les besoins grandissants de la province d'Almaty. Avec plus de 300 jours de soleil par an la région du sud-est du Kazakhstan offre une situation idéale pour l'exploitation de l'énergie solaire. Bien que le pays ait pour le moment concentré la plupart de ses efforts en direction de la production d'énergie éolienne, avec plus de 100 MWc d'éoliennes déjà installées, il reste un énorme potentiel dans l'investissement dans l'énergie solaire. Ceci est d'autant plus réalistes que la plus part des sources d'énergies renouvelables alternatives devra atteindre 30 % en 2050. En 2017 se tiendra le salon « Expo 2017 Future energy » à Astana, la centrale de 2 MWc de Kapchagay installée par BISOL sera alors une référence importante dans le secteur à travers l'atteinte de ses objectifs et définira un point de repère dans le développement de l'énergie photovoltaïque dans la région entière.

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Les vœux de Bruno Léchevin, président de l’Ademe, en matière de renouvelables

Mardi 28 janvier. Bruno Léchevin, président de l'Ademe, a présenté ses vœux à la presse. Cette cérémonie chaleureuse a été l'occasion de la parution d'un dossier de presse consacré aux futures actions de l'Ademe. Et justement, qu'en est-il en matière d'énergies renouvelables ? Les scénarios de l'ADEME combinent la réduction de la demande d'énergie et l'augmentation de la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique. Dans cette vision, la biomasse apporte une contribution essentielle avec une production, en 2030, de 30 millions de Tep2, en particulier sous forme de chaleur. L'éolien et le photovoltaïque se développent fortement d'ici 2030 avec une production respectivement de 8,6 millions de Tep et 3,4 millions de Tep. A l'horizon 2020, la France a pris l'engagement au niveau communautaire d'atteindre 23% d'énergies renouvelables dans son mix énergétique. L'action de l'ADEME s'attache donc à soutenir la production de chaleur renouvelable et à accompagner l'innovation pour développer des systèmes économiquement et écologiquement pertinents.

Le Fonds Chaleur

Lancé en décembre 2008, le Fonds Chaleur est aujourd'hui le principal dispositif public de soutien au développement de la chaleur renouvelable. Doté de 1,2 milliard d'euros sur la période 2009-2013, le Fonds Chaleur doit contribuer à augmenter la production de chaleur de 5,47 Mtep soit un peu plus d'un quart des objectifs français en matière de production d'énergie à partir de sources renouvelables d'ici 2020. Grâce à des aides financières spécifiques, le Fonds Chaleur facilite l'installation de nouveaux équipements destinés à produire de la chaleur issue de sources renouvelables (biomasse, géothermie, solaire…) et le développement des réseaux de chaleur. En 2014, l'ADEME poursuivra son action de soutien à la chaleur par géothermie, solaire et biomasse à travers le Fonds Chaleur. Elle s'attachera également à accompagner les actions de mobilisation de la biomasse forestière, essentielle pour poursuivre l'accroissement de la production de chaleur renouvelable et atteindre les objectifs énergétiques et climatiques en 2020.

Focus « Photovoltaïque-solaire »

Deux AMI « Photovoltaïque » et « Solaire » ont été lancés dès 2011. Ces AMI ont été publiés dans un contexte spécifique. Au niveau national, le moratoire sur les tarifs d'achat de l'énergie solaire venait d'entrer en vigueur en décembre 2010. Au niveau mondial le secteur était déjà en pleine restructuration avec des surcapacités de plus en plus visibles et une concurrence d'origine asiatique très vive, proposant des prix de vente bien inférieurs à ceux des produits européens. Ces AMI permettent aujourd'hui de financer 18 projets d'un montant total de 456,4 M€ pour une intervention totale de 168 M€, répartis comme suit :

1. 25,7 M€ pour le solaire thermique et thermodynamique

• 19 M€ pour les projets de solaire thermodynamique
• 6,7 M€ pour les projets de solaire thermique

2. 136,2 M€ pour le photovoltaïque :

• 60,2 M€ pour les projets de la filière silicium cristallin
• 16,2 M€ pour les projets de la filière des couches minces
• 46,7 M€ pour les projets de la filière solaire photovoltaïque à haute concentration,
• 13,1 M€ pour le projet transverse ISOCEL
• 6 M€ pour les systèmes de trackers solaire (photovoltaïque, thermodynamique et solaire à concentration) via une intervention en fonds propres dans l'entreprise EXOSUN

Ces projets ont en commun de réduire les coûts de systèmes énergétiques basés sur la ressource solaire, d'en améliorer la performance globale et d'en diminuer l'impact environnemental. La majorité des projets lauréats sont portés par des PME et des entreprises de taille intermédiaire. En finançant ces démonstrateurs préindustriels, l'ADEME aide les entreprises françaises à renforcer leur compétitivité sur le marché national, comme international, et à développer des filières technologiques innovantes et compétitives.

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Le module Hanwha SolarOne PV récompensé par la note « Bien »

Le module polycristallin HSL 60P6-PB-1-245 (« HSL 60 Poly ») de la société Hanwha SolarOne, a obtenu la note « Bien » à l'issue de l'évaluation rigoureuse de PV+ Test 2.0. C'est en collaboration avec Solarpraxis AG, éditeur de pv magazine, que TÜV Rheinland, l'organisme officiel de certification en matière de sécurité, a réalisé ce test strict. Le module a obtenu de nombreux résultats positifs, parmi lesquels figurent la réussite au test de vieillissement très exigeant, au test PID (Potential Induced Degradation - dégradation due à une tension élevée) ainsi que les résultats convaincants de l'examen minutieux de ses paramètres de performance.

L'évaluation de PV+ Test 2.0 vise à fournir aux consommateurs des informations sur le produit détaillées ainsi que des analyses complètes du produit, basées non seulement sur des critères de performances mais également sur la durée de vie, la sécurité électrique, la qualité de fabrication et de documentation fournie, les conditions de la garantie et la simplicité d'installation. L'achat des modules est réalisé chez des fournisseurs indépendants sur le marché afin d'éviter toute manipulation des résultats.

Le PV+ Test 2.0 évalue le comportement face au vieillissement de manière bien plus minutieuse que son prédécesseur, le PV+ Test. C'est selon ces derniers critères en date que le module HSL 60 Poly l'un de premiers modules solaires qu'il y a passé le test avec les nouveaux critères. « Pour Hanwha SolarOne, la qualité est la priorité absolue. Les excellents résultats du très réputé PV+ Test 2.0 viennent confirmer les résultats de nos efforts » déclare Winfried Wahl, Directeur produits et marketing chez Hanwha SolarOne GmbH. « Chez Hanwha SolarOne, le développement des produits est un processus continu. Les modules testés ont été fabriqués de début de 2013 et nous avons déjà développé un certain nombre d'améliorations supplémentaires du produit. Par exemple, nous avons récemment mis au point une technologie cellulaire perfectionnée pour une meilleure efficacité des produits. Notre objectif reste l'amélioration perpétuelle des technologies de nos produits afin de pouvoir contribuer toujours et encore au succès de nos clients. »

De plus amples informations concernant le test et les résultats du test figurent dans le numéro de janvier du mensuel pv magazine, édition mondiale.

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SERL@énergies passe la 6ème

SERL@énergies est une filiale du groupe SERL, société d'économie mixte qui réalise des projets d'aménagement et de renouvellement urbain en Rhône-Alpes. Elle vient de mettre en service sa 6ème centrale photovoltaïque sur le toit de l'hôtel Kyriad au sein du parc d'affaires Sunstone sur le parc des Gaulnes à Meyzieu–Jonage. La centrale a été réalisée par l'entreprise TCE SOLAR, sous maîtrise d'œuvre du bureau d'étude technique Axenne.

D'une surface de 499 m², elle est constituée de 273 modules monocristallins SUNEKA de 245 Wc de Saint-Gobain Solar Systems et de 4 onduleurs SMA. Sa puissance totale est de 70 kWc et sa production annuelle prévisionnelle est de 75 000 kWh, ce qui équivaut à la consommation annuelle d'une quinzaine de familles. Cette opération est le fruit d'un partenariat entre SERL@énergies, Bouygues Immobilier promoteur (développeur du Parc d'Affaires Sunstone) et le propriétaire de l'hôtel. Les autres références en toiture de SERL@énergies sont le Parc Woodclub à Saint-Priest, le restaurant La Parenthèse à Meyzieu, l'immeuble de logements AMPLIA à la Confluence et dernièrement le bâtiment de la 1ère coopérative d'habitants à Villeurbanne, « Les Jardins de Jules ».

« Une bonne installation photovoltaïque doit être conçue très en amont. La force de l'équipe SERL@énergies est d'être présente dès la conception du plan masse et des bâtiments pour créer les conditions les plus favorables, inciter très tôt les maîtres d'ouvrages, ou se substituer à eux en cas de besoin.» explique Philippe Rambaud, référent Développement Durable & Energies de la SERL@énergies.

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Geneviève Fioraso en visite au Centre de Développement des EnR d’Alger

Geneviève Fioraso, la ministre française de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, a effectué, le lundi 20 janvier dernier, une visite au Centre de Développement des Energies Renouvelables (CDER) d'Alger. Cette visite a eu lieu à l'occasion de la troisième conférence algéro-française de l'enseignement supérieur et de la recherche, tenue à Alger. Le Directeur du CDER, Yassaa Noureddine, a présenté à la ministre les domaines de recherche et de développement au niveau du Centre ainsi que les opportunités de collaboration potentielles. La délégation composée également de l'Ambassadeur de France à Alger, André Parant, et d'éminents scientifiques dont Vincent Jacques Le Seigneur de l'INES ont effectué une visite technique des différentes divisions de recherche et des plateformes technologiques au sein du CDER Bouzaearh. Les prémices d'un partenariat franco-algérien en matière d'énergie solaire ?