Tecsol blog

Enerplan et le groupe de contact des entreprises de l'énergie réagissent à la synthèse du DNTE

Pour une vision énergétique ambitieuse et réaliste en France : Développer l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables

Le rendez-vous du débat national sur la transition énergétique ne doit pas être manqué. La France a un objectif européen contraignant de production d’énergies renouvelables (23% de la consommation d’énergie en 2020. François Hollande, Président de la République a pour ambition de réduire la part d’électricité nucléaire à 50% d’ici 2025. Cela nécessite une croissance très forte des capacités de production de chaleur et d’électricité renouvelable. Alors que la France a pris du retard sur ses engagements européens en matière d’énergie, la synthèse du groupe contact des entreprises de l’énergie du Débat national de la transition énergétique propose la continuité plutôt que la transition. France Energie Eolienne, Club Biogaz ATEE, AFPG, Enerplan, FNB, membres de ce groupe appellent de leurs vœux à plus d’ambition des entreprises et de la France en matière de développement des énergies renouvelables.

France Energie Eolienne, Club Biogaz ATEE, AFPG, Enerplan, FNB, membres du groupe contact des entreprises de l’énergie, ont une autre vision de la transition énergétique que celle exprimée dans la synthèse du 10 avril dernier. Pour nous, la transition énergétique doit d’abord se traduire par une politique ambitieuse en matière de maîtrise de la consommation énergétique, une augmentation de la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique français, et plus généralement s’engager vers une économie bas carbone.

 

Les programmations pluriannuelles des investissements pour la chaleur et l'électricité avaient dès 2009 retenu une augmentation conséquente de la part d’énergie renouvelable produite en 2020. Pourtant, nous constatons que nous avons décroché de la trajectoire donnée. Il faut donc relancer vigoureusement les énergies renouvelables en France, et en parallèle les économies d’énergie. Les scénarios les plus ambitieux en termes de transition montrent qu’il est possible de créer 235 000 emplois en 2020 et 632 000 emplois, notamment dans le bâtiment et les énergies renouvelables (source : négaWatt).

Il faut s’engager résolument dans la transition de nouveaux modes de production et de consommation, respectueux de l’environnement. Une approche territoriale nouvelle doit être développée pour impliquer les acteurs locaux (entreprises, collectivités et populations) et développer une vision décentralisée de la transition avec une gouvernance adaptée.

Donnons-nous les moyens d’une politique volontariste, créatrice d’emplois, porteuse de nouvelles technologies et raisonnée dans nos modes de consommation énergétique. Les signataires de ce communiqué s’engagent à rester mobilisés au sein du groupe de contact des entreprises de l’énergie du grand débat afin de contribuer à l’émergence d’une conception plus ambitieuse de la transition énergétique.

L’activité des installateurs européens serait grandement affectée par l'imposition de droits

Les résultats du sondage d'Europressedienst sur l'opinion des installateurs européens à propos des droits punitifs ne sont pas représentatifs et ne reflètent pas la situation réelle du marché solaire européen.

Europressedienst, agence spécialisée dans l'information et la recherche, a publié un sondage d'opinion en mars selon lequel 65% des installateurs européens sont favorables aux droits punitifs et que 18% d'entre eux y sont opposés. Ce sondage avance également qu'environ 57% des personnes interrogées considèrent que des droits punitifs n'auront pas d'effet sur leurs activités. Cependant, sur un total de 2303 installateurs contactés, seuls 532 ont répondu aux questions. Étant donné que 77% des installateurs contactés n'ont pas exprimé leur point de vue, les résultats du sondage ne sont pas représentatifs et donnent une image qui ne reflète pas la réalité.

L'AFASE a également appris d'Europressedienst que la plupart des installateurs ayant répondu au sondage travaillent avec des systèmes photovoltaïques de petite et moyenne taille et sont donc principalement des installateurs de toitures résidentielles, ce qui ne représente qu'un segment des producteurs solaires européens. En conséquence, les installateurs qui travaillent avec des systèmes photovoltaïques plus importants sont sous-représentés dans ce sondage. Or, ce sont justement ces types d'installateurs qui seraient le plus sévèrement frappés par des droits punitifs étant donné qu'ils achètent principalement leurs modules auprès de fabricants asiatiques.

Les résultats présentés sont en contradiction avec les autres études réalisées sur le sujet, notamment le sondage d'opinion mené par la société d'études EuPD Research auprès des installateurs européens et le rapport réalisé par l'institut économique indépendant Prognos. Ce dernier a révélé qu'un droit de 60 % provoquerait la perte de 242 000 emplois au sein de l'UE en trois ans. Avec un taux de 60 %, l'économie européenne perdrait 27,2 milliards d'euros sur la même période. Les déclarations suivantes illustrent l'état d'inquiétude extrême dans lequel se trouvent les installateurs :

« Le marché solaire en Allemagne subit d'ores et déjà d'énormes pressions en raison des modifications réglementaires. Des droits punitifs conduiraient à une augmentation artificielle des prix et porterait un coup fatal à de nombreux installateurs du secteur » explique Michael Wöstmann, PDG de Woestmann Solar und Heiztechnik GmbH + CO. « D'après mon expérience et en comparant avec des sociétés similaires à la mienne, l'opinion selon laquelle la majorité des installateurs seraient en faveur de droits supplémentaires sur les produits chinois est très difficile à croire. Ces derniers jours, les principales organisations de l'industrie photovoltaïque italienne ont fait part de leur inquiétude car, selon elles, une diminution des produits chinois sur le marché pourrait les affaiblir davantage. L'incertitude provoquée par la possible rétroactivité des droits a immédiatement conduit à une perte d'emplois et à la nécessité de renégocier les contrats », a déclaré M. Giancarlo Tecchio, PDG de l'entreprise d'installation italienne Pr.En.Al. et partisan de l'AFASE.

« Des droits punitifs auraient pour conséquence de faire chuter la demande et cela serait néfaste pour mes activités. La raison est que des droits punitifs augmenteraient le niveau général des prix des modules solaires. Il est donc plutôt irréaliste de penser que nous pourrions compenser les prix plus élevés des modules en augmentant le prix d'autres composants de la centrale solaire, tels que les convertisseurs », a expliqué Daniel Buckentin, directeur des ventes de la société d'installation Möller GmbH. « En tant qu'installateur, nous sommes opposés à l'imposition de droits punitifs, car ces derniers auraient des conséquences négatives sur la rentabilité des systèmes solaires et ferait ainsi baisser le nombre de commandes. Cela est particulièrement vrai dans le contexte de la diminution des tarifs d'achat, où en tant qu'installateurs, nous comptons sur des prix compétitifs » déclare Sven Siemering, responsable du département énergies renouvelables chez Myer Technik.
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Lumiwatt fait la lumière sur le solaire

Dans le cadre des Journées Européennes du Solaire, CD2E, en partenariat avec Enerplan, syndicat national pour le solaire, et Lumiwatt ont le plaisir de vous inviter, pour une journée d'information sur le solaire photovoltaïque et le solaire thermique. Nous vous proposons une après-midi d'informations et d'échanges ainsi qu'une visite de la centrale photovoltaïque de test Lumiwatt. Cette demi-journée s'adresse aux professionnels (bureaux d'études, industriels…), aux collectivités, aux prescripteurs intéressés par ces technologies et par l'évolution du solaire. Des professionnels du secteur présenteront l'évolution du marché et des technologies solaires. Il sera fait part des innovations et des perspectives de développement du secteur. La rencontre se tiendra au CD2E (Base 11/19 – rue Léon Blum, Loos-en-Gohelle) le mercredi 15 mai 2013 de 14h à 17h.
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Les tarifs à la baisse de 2,6% pour les moins de 9 kW et de 7,5% entre 9 et 100 kW

Les bilans des demandes de raccordement transmis par les gestionnaires de réseaux publics d'électricité à la Commission de régulation de l'énergie (CRE) totalisent, pour le trimestre d'indice N=7, une puissance crête cumulée de 52,3 MW pour les installations souhaitant bénéficier du tarif d'intégration au bâti, et de 114,6 MW pour les installations souhaitant bénéficier du tarif d'intégration simplifiée au bâti.

En application de l'annexe 1 de l'arrêté du 4 mars 2011 modifié et en considérant les puissances crête cumulées des bilans des demandes de raccordement transmis par les gestionnaires de réseaux publics d'électricité dans le délai réglementaire (avant le 15 avril 2013), les valeurs des coefficients S'8 et V'8 sont respectivement fixées à 0,026 et 0,075. Le niveau des tarifs définis dans l'arrêté du 4 mars 2011 modifié, en vigueur pour la période du 1er avril au 30 juin 2013, sera fixé par un arrêté d'homologation pris par les ministres en charge de l'économie et de l'énergie. Dans l'attente de leur publication, la CRE en informera les porteurs de projets par l'intermédiaire de son site Internet. Elle publiera la grille tarifaire qui lui aura été préalablement transmise par la Direction de l'énergie.

Sans attendre, on peut d'ores et déjà annoncer qu'au 1er avril 2013 le tarif pour les installations de moins de 9 kW en intégré bâti passe à 30,77 c€/kWh. Jusqu'à 36 kW en intégré simplifié, il s'affiche à 16,81 c€/kWh et entre 36 et 100 kW, on le retrouve à 15,97 c€/kWh. Ces tarifs peuvent bien sûr être bonifiés de 10% dans le cas où les installations sont réalisées avec des cellules/modules d'origine européenne. Le tarif T5 passe lui à 7,98 c€/kWh condamnant pour l'heure en tous les cas les centrales au sol hors appels d'offres. L'ensemble de ces tarifs revus à la baisse n'est pas un bon signal pour une filière déjà malmenée. Seul espoir que la ministre Delphine Batho décide de geler la baisse des tarifs par un arrêté.
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Les modules SOLARWORLD reçoivent un Pass'Innovation avec le SOLABAC

C'est fait ! SOLABAC® : le système d'intégration photovoltaïque reçoit du CSTB le Pass'Innovation Vert Réf. 2013-216 avec les modules SOLARWORLD. Le volume total cumulé de SOLABAC posé est aujourd'hui supérieur à 500 000 m² correspondant à 50 MWc d'installations photovoltaïques. Le système SOLABAC®est composé bac acier nervuré au profil breveté, pourvu d'ondes spécifiques en queue d'aronde recevant des crochets en aluminium qui supportent les modules photovoltaïques.

Le SOLABAC® est un système d'intégration universel qui peut recevoir des modules cadrés standards, comme des laminés. Il est disponible en plusieurs niveaux de finition (Aluzinc, laqué, DELUXE). Il est assorti d'une garantie produit de 10 ans. Une version isolée de SOLABAC® est d'ores et déjà disponible en panneau sandwich de 30 à 120 mm d'épaisseur.
Cette nouvelle certification porte à 10 le nombre de marques bénéficiant du Pass'Innovation Vert avec SOLABAC :
6 marques européennes : SOLARWORLD, ELIFRANCE, ALEO SOLAR (Groupe Bosch), CENTROSOLAR, PHOTOWATT (Groupe EDF Energies Nouvelles) et SOVELLO
4 marques asiatiques: AVIM (Groupe Bosch), CSUN, ET SOLAR et SUNTECH. Le SOLABAC® est en cours d'Avis Technique au CSTB.
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L’aéroport international du Kansai installe la plus grande centrale solaire d’Asie sur le terrain d’un aéroport

SF Solar Power, la nouvelle société d'investissement commune formée par Solar Frontier et la Banque de Développement du Japon (DBJ), a passé un accord avec la nouvelle société de l'aéroport international du Kansai (New Kansai International Airport Company) pour construire un projet solaire, KIX Megasolar, d'une capacité totale de 11,6 MW à l'aéroport international du Kansai.

La nouvelle société de l'aéroport international du Kansai, dans le cadre de son projet Smart Island, a pour objectif d'utiliser des sources d'énergie propre, comprenant l'énergie solaire et l'hydrogène, afin de réaliser un aéroport à la pointe du progrès environnemental. KIX Megasolar, partie intégrante de cette initiative, est prévu pour être la plus grande installation solaire jamais montée sur un aéroport asiatique.

La nouvelle société internationale de l'aéroport du Kansai fournira à l'aéroport les terrains et les bâtiments, que pouvant être utilisés efficacement pour le projet ; Solar Frontier fournira quant à elle les modules solaires CIS et les services d'opération & maintenance (O&M), et la DBJ apportera son assistance pour la structuration financière du projet. Ainsi, les trois sociétés joueront chacune un rôle dans la promotion de la diffusion de l'énergie renouvelable dans la région du Kansai.
KIX Megasolar est le premier projet de SF Solar Power, la société d'investissement commune de Solar Frontier et de la DBJ, annoncée en janvier. Solar Frontier détient une part de 60 % dans SF Solar Power et la DBJ en détient 40 %. Une fois que KIX Megasolar sera devenu opérationnel, les sociétés envisageront la participation d'un grand nombre d'entreprises, comprenant les institutions de financement local qui supportent l'énergie renouvelable. KIX Megasolar est aussi le premier projet comprenant un investissement et un financement issus du fonds d'innovation pour la compétitivité de la DBJ.

Ce projet comprendra l'installation de 72 000 modules CIS le long de la piste B de l'aéroport (96 700 m2) et sur les entrepôts de fret (23 000 m2). La production prévisionnelle des deux installations devra atteindre 12 000 000 kWh, ce qui équivaut à une consommation d'électricité de 4 100 ménages ; elle permettra également une réduction annuelle d'émissions de CO2 de 4 000 tonnes. Les travaux d'installation commenceront au milieu de l'année 2013, avec l'objectif de démarrer l'exploitation des installations dès le mois de janvier prochain.

À l'avenir, New Kansai International Airport Company, DBJ, et Solar Frontier poursuivront leur collaboration pour aider à la promotion de sources d'énergie durable et renouvelable avec de faibles impacts environnementaux. Les trois sociétés travailleront aussi avec un nombre croissant d'acteurs visant à la promotion de l'énergie renouvelable, utilisant l'aéroport international du Kansai comme le modèle de l'aéroport à la pointe du progrès environnemental et rassemblant dans une même approche le pays, les projets et les fonds de financement.

La nouvelle société, «New Kansai International Airport Company, Ltd.» a été créée en avril 2012 afin de regrouper l'exploitation de l'aéroport international du Kansai et de l'aéroport international d'Osaka (Itami Airport). En juillet 2012, la société a démarré l'exploitation regroupée des deux aéroports. Grâce à cette gestion combinée et efficace des deux aéroports et des installations réservées aux voyageurs, au commerce et au fret, la société vise à contribuer à l'accroissement de la demande en aéroports au Japon, à une compétitivité internationale plus forte et à une revitalisation économique. Elle s'efforce aussi de protéger et d'améliorer l'environnement tout autour des deux aéroports.
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Delphine Batho encore au chevet de la filière photovoltaïque ce lundi 22 avril

A la date du lundi 22 avril à 15h00, l'agenda de Delphine Batho, ministre de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie, pointe une réunion de travail avec les acteurs de la filière photovoltaïque. Autant dire que la réunion avec les responsables du SER du mercredi 10 avril a laissé l'ensemble de la filière sur sa faim. Les mesures d'urgence annoncées, et notamment le raccourcissement des délais d'examen des dossiers de la CRE entre le dépôt des dossiers d'appels d'offres et la publication des lauréats de ces mêmes appels d'offres, n'ont de facto aucun effet sur l'activité immédiate des acteurs d'une filière frappée par un nombre soutenu de dépôts de bilan. Et ce, dans l'indifférence générale. « Le photovoltaïque pour tous » ne semble pas être pour demain !

Le CNRS présente son laboratoire toulousain Adream, rêve devenu réalité d’un habitat autosuffisant

Tecsol a effectué la maîtrise d'œuvre photovoltaïque du projet Adream, un "laboratoire à énergie positive". Aujourd'hui ce labo qui fonctionne en autoconsommation préfigure certainement ce que sera le batiment de demain. Adream, l'histoire d'un rêve devenu réalité !

Le CNRS présente sur internet un épisode de sa série 'Urbanisme Habitat Société » réalisé par Luc Ronat et produit par CNRS Images(2013). Ce document filmé d'un peu plus de six minutes permet de partir à la découverte du Laboratoire d'analyse et d'architecture des systèmes (LAAS-CNRS) de Toulouse. Le bâtiment se nomme Adream, un acronyme plein de promesses « Architectures Dynamiques Reconfigurables pour systèmes Embarqués Autonomes et Mobiles ». Adream arbore en figure de proue une verrière photovoltaïque et ses toitures terrasses sont recouvertes de modules PV pour un total de puissance d'une centaine de kWc. Ce bâtiment solaire à énergie positive abrite un projet de recherche sur les Smarts Grids où l'homme cohabite avec des robots humanoïdes. Autour de deux fils conducteurs : l'intelligence et le rêve.

En France, l'habitat représente 45 % de la dépense énergétique globale et le quart du dioxyde de carbone rejeté dans l'atmosphère. D'où l'importance de trouver de nouvelles façons de produire et de gérer l'énergie nécessaire à ce gros consommateur. Dans un contexte de crise économique et de développement durable, les recherches se coordonnent pour tenter de mettre au point des bâtiments autosuffisants appelés « zéro énergie », voire à « énergie positive ». Tout au long de ce petit film bien monté, les interventions de Corinne Alonso et Bruno Estibals, chercheurs au Laboratoire ainsi que celles d'Alain Bayle, architecte du projet, expliquent les spécificités technologiques et les contradictions architecturales d'Adream et pourquoi cet immeuble au design empreint d'une grande modernité préfigure le bâtiment de demain.

Habitat autosuffisant, l'exemple Adream par CNRS

Les unités de production des cellules solaires de Bosch bientôt dans le giron de SolarWorld ?

La concentration se poursuit dans le monde industriel du photovoltaïque mondial. Il y a quelques jours à peine, l'équipementier Bosch prenait la décision d'abandonner son activité photovoltaïque. Aujourd'hui, on apprend que le fabricant allemand de panneaux solaires SolarWorld serait intéressé par une acquisition des activités de production de cellules solaires de Bosch. Nous nous intéressons à certaines activités de Bosch et par-dessus tout à sa production de cellules solaires, déclare Frank Asbeck, président du directoire de SolarWorld, cité par le quotidien financier Handelsblatt.

Jinko Solar vient de signer un contrat d'approvisionnement de 115 MW en Afrique du Sud

JinkoSolar vient de conclure un contrat d'approvisionnement avec un développeur d'envergure sur le marché du solaire (le «développeur») afin de fournir un total de 115 mégawatts (MW) de ses panneaux solaires à fort rendement sur deux projets en Afrique du Sud. Les projets seront développés, conçus, construits et mis en service par le développeur. Cet accord règlera également les termes et conditions selon lesquels, sur une période de trois ans, le développeur pourra acheter à JinkoSolar des panneaux solaires supplémentaires pour d'autres projets. Les deux projets font partie de la phase 2 du Programme d'approvisionnement IPP en Afrique du Sud. Le premier projet représentera un total de 75 MW tandis que le second sera de 40 MW.

«Nous sommes très heureux de signer ce nouveau contrat de grande ampleur sur le long terme et d'étendre ainsi notre présence en Afrique du Sud, l'un des marchés solaires les plus dynamiques au monde», a commenté Arturo Herrero, directeur marketing de JinkoSolar. « JinkoSolar a réussi à signer des contrats en Afrique du Sud grâce à la confiance de nos clients et des banques locales, dans les première et deuxième phases du programme. L'Afrique du Sud, du fait de son fort ensoleillement, de sa croissance économique rapide et de l'appui du gouvernement, est l'un des marchés émergents les plus importants pour JinkoSolar. » «Notre présence locale, notre banquabilité et notre partenariat avec les développeurs en Afrique du Sud a renforcé notre réputation sur le marché en tant que partenaire fiable à long terme dans le développement des énergies renouvelables. Nous attendons avec impatience la réalisation de ces deux projets ainsi que les possibilités de coopération au cours de la phase 3, rendant l'énergie solaire de plus en plus compétitive en Afrique du Sud. », a ajouté Arturo Herrero.
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