Bernin, France, le 9 février 2012 — Soitec (Euronext), leader mondial de la génération et de la production de matériaux semi-conducteurs d'extrêmes performances pour l'électronique et l'énergie, annonce la signature d'un accord avec la banque Investec Bank Ltd., l'un des tout premiers établissements bancaires en Afrique, pour financer la construction de la centrale photovoltaïque de 50 mégawatts crête prévue à Touwsrivier (province de Western Cape) en Afrique du Sud. Investec s'est engagée à financer le projet et à apporter les fonds nécessaires à la construction de la centrale, qui sera équipée de systèmes photovoltaïques à concentration (CPV) Concentrix™ de cinquième génération. Toutes les dispositions financières sont prévues d'être finalisées d'ici la fin du deuxième trimestre 2012.
En décembre 2011, Soitec a été sélectionné par le ministère de l'Énergie d'Afrique du Sud parmi les projets présentés dans le cadre du programme des producteurs d'énergie indépendants (IPP). Le projet initial proposé par Soitec dans le cadre de ce programme concerne la centrale photovoltaïque de Touwsrivier, qui est située à proximité de la réserve Aquila Private Game, où la société a déjà construit une centrale pilote.
Pour le ministère de l'Énergie d'Afrique du Sud, l'objectif est que les sources d'énergie renouvelable du pays atteignent 42% de la capacité nouvellement installée dans les vingt prochaines années.
« Le plan de financement étant à présent en place, tous les éléments sont réunis pour fournir à l'Afrique du Sud sa première centrale photovoltaïque CPV de grande envergure », a expliqué André-Jacques Auberton-Hervé, Président-Directeur général de Soitec. « Après avoir construit la centrale pilote d'Aquila et la centrale CPV de 500 kW près de Durban, qui a assuré l'alimentation en énergie verte de la récente conférence des Nations Unies sur les changements climatiques, Soitec confirme sa volonté d'aider l'Afrique du Sud à atteindre ses ambitieux objectifs dans le domaine des énergies renouvelables. »
Les systèmes Concentrix sont des systèmes photovoltaïques à concentration (CPV) à haut rendement et durables, qui conviennent aux régions où le niveau d'ensoleillement direct est très important comme l'Afrique du Sud. Ces systèmes assurent une courbe constante et élevée de production d'énergie pendant toute la journée et peuvent répondre aux pics de demande en électricité.
Créée en Afrique du Sud en 1974, la banque Investec est spécialisée dans la gestion d'actifs, et propose un portefeuille complet de produits et services financiers. Ses principaux marchés sont l'Afrique du Sud, le Royaume-Uni, et l'Australie. L'objectif stratégique d'Investec est de développer ses activités à l'international.
Suntech, leader mondial de la production de panneaux solaires, est le premier producteur de modules solaire chinois à recevoir le label indépendant « TOP BRAND PV » par la société d'études et sondages EuPD Research. Ainsi Suntech rejoint les marques les plus connues et les plus appréciées sur les marchés européens majeurs pour le photovoltaïque, à savoir l'Allemagne, la France et l'Italie. En particulier, Suntech se place bien au dessus de la moyenne en ce qui concerne le taux de retours de clients satisfaits. « Le fait que Suntech ait été reconnu comme une marque mondiale de premier ordre est non seulement une formidable reconnaissance de notre travail, fortement concentré sur la qualité et la longévité de nos modules, mais cela renforce également notre motivation. », déclare Vedat Gürgeli, Vice-Président des Ventes et du Marketing de Suntech Europe. « Nous sommes très heureux d'apprendre que nos clients apprécient la qualité et la fiabilité de nos produits ainsi que l'implication de nos équipes. Les recommandations dont Suntech bénéficie montrent très clairement que sur le long terme, c'est bien la qualité des produits qui prévaut dans la compétition. » De plus, au regard de l'excellente perception dont bénéficie la marque, de la densité de son réseau de distribution, et de son fort positionnement dans l'offre des installateurs, Suntech se classe parmi les leaders du marché. Avec le label TOP BRAND PV, EuPD Research a développé un label premium qui fournit des données et conseils aux distributeurs, installateurs et consommateurs lors du choix d'une marque d'un produit solaire photovoltaïque. Ce label est basé sur une analyse multicritères qui est le résultat d'une étude indépendante réalisée parmi revendeurs et clients finaux. Plus d'infos...
La première édition du salon international de l'énergie solaire à Marrakech, Solaire Expo, a eu lieu du 9 au 12 Février. Pour une première, le salon a pu réunir près de 50 exposants dont la moitié de fabricants étrangers. Fabricants d'équipements, développeurs, grossistes, installateurs étaient présents. L'objectif pour l'organisateur Aicom Events: devenir une plateforme de toute activité relative à la production et à l'exploitation du solaire en Afrique...et pourquoi pas d'ailleurs. Le Maroc a prouvé cette dernière année 2011 être résolument engagé dans l'aventure solaire, à travers un ambitieux programme énergétique. A travers ce salon, le Maroc persiste et signe dans sa volonté de faciliter les partenariats locaux et internationaux, et valoriser ainsi l'offre marocaine. A suivre de près pour l'édition 2013!
Reportage à Bourgoin-Jallieu de Jean-Louis Busquet, rédacteur en chef de Plein Soleil.
Mardi 14 février 2012, le président Nicolas Sarkozy s'est rendu chez Photowatt en compagnie d'Henri Proglio, PDG d'EDF, pour confirmer l'offre de reprise de l'entreprise par EDF. Le chef de l'Etat est donc venu annoncer la bonne nouvelle aux salariés de la société berjallienne dont tous les emplois seront préservés. Il est en revanche demeuré très discret sur le devenir de la filière mise à part une proposition «à l'italienne » de bonification de 10% du tarif d'achat pour des modules dont le contenu européen atteindrait 60%. Retour sur un déplacement du presque candidat Sarkozy d'ores et déjà en campagne électorale chez Photowatt !
«Avec Henri Proglio, Nathalie Kosciusko-Morizet, Eric Besson et Xavier Bertrant qui sont ici présents avec moi, nous ne voulons pas que le photovoltaïque disparaisse du paysage industriel français. Nous ne voulons qu'il n'y ait que des emplois d'installateurs dans ce pays. C'est un choix délibéré, déterminant pour l'avenir de la filière. Nous ne sommes pas là que pour sauver une entreprise mais bien pour sauver une filière» a déclaré Nicolas Sarkozy lors de son allocution informelle en fin de visite de l'usine de Photowatt à Bourgoin-Jallieu dans l'Isère. Sauver Photowatt, l'affaire semble entendue depuis jeudi dernier et le dépôt de l'offre de reprise par EDF, et ce même s'il faudra attendre la décision du tribunal de commerce du 21 février prochain. L'Etat actionnaire d'EDF s'est fortement mobilisé et a pesé de tous son poids dans la décision que d'aucuns qualifient volontiers d'électoraliste. Question de timing sans doute! On dit qu'Henri Proglio n'était pas très «chaud» pour reprendre l'affaire. Reste qu'EDF au chevet de Photowatt, cela relève du bon sens. Le groupe était déjà bien présent dans Photowatt, en détenant 40% à parité avec Photowatt - les 20% restants appartenant au CEA - du diamant technologique de Photowatt à savoir PV Alliance une ligne de recherche sur l'hétérojonction des cellules. EDF est également très actif sur l'aval de la filière solaire disposant d'un parc conséquent de centrales photovoltaïques avec lesquelles il récupère d'ailleurs une part importante de CSPE. Comme un juste retour des choses!
100% des panneaux Photowatt achetés par EDF
Lors de son allocution, Nicolas Sarkozy a confirmé qu'il avait demandé deux faveurs au géant énergéticien. «Nous avons proposé à EDF, un groupe français international, de devenir propriétaire actionnaire de votre entreprise. EDF est un champion du nucléaire, je crois au nucléaire, je ne veux pas arrêter le nucléaire. Mais dans le même temps, EDF doit aussi se développer dans le renouvelable» a-t-il confié aux salariés de Photowatt. Même dans l'antre historique du solaire de France, Nicolas Sarkozy ne peut s'empêcher de faire du prosélytisme pro nucléaire. Comme autant de piqûres de rappel à ceux qui douteraient encore de son engagement dans l'atome ! La deuxième faveur devrait permettre de donner du temps au temps. «Durant la période où Photowatt finit de développer sa nouvelle technologie dans l'hétérojonction dans laquelle nous croyons, nous avons demandé à EDF d'acheter 100% de la production de l'ancienne génération. Le temps de faire le lien entre la technologie historique et la technologie d'avenir». Les autres PME toujours dans la course à la reprise de Photowatt, MPO et Solarezo réunies d'une part et ECM Technologies d'autre part, ont également demander à EDF de s'engager pour l'achat de capteurs Photowatt sur une durée de quatre ans. L'idée devient caduque. EDF sera son propre client dans la logique du «On n'est jamais mieux servi que par soi-même». «Nous ne laisserons pas tomber ces PME. Nous allons les associer au projet»a d'ailleurs assuré le chef de l'Etat.
Tarifs bonifiés de 10% pour des panneaux à 60% de contenu européen
Présent sur place, Jean-Louis Bal, président du SER restait un tantinet sur sa faim. «Je dis bravo pour le sauvetage de Photowatt mais il reste à construire la filière qui a été mise à mal ces deux dernières années» confie-t-il. Jean-Jack Queyranne, président de la Région Rhône-Alpes qui a investi 15 millions d'euros dans PV Alliance ne dit pas autre chose. «EDF représente une garantie d'avenir pour l'emploi. Mais nous trouvons que tout cela arrive bien tard. Et puis surtout, nous aurions pu nous attendre aujourd'hui à des engagements forts sur la filière photovoltaïque. Il n'en a rien été. C'est une déception» confirme le président de Région. Si en public, Nicolas Sarkozy n'a rien laissé filtrer, il a en revanche évoqué lors de sa rencontre à huis clos avec le comité d'entreprise et les syndicats la future mise en place d'une mesure de bonification de 10% des tarifs pour les installations réalisées en France et dotées de panneaux dont le contenu serait à 60% européen, dans la droite ligne de ce qui se pratique en l'Italie. Une mesure qui devrait certes profiter à Photowatt ! Bien maigre cela dit pour relancer une filière aux abois qui a tant souffert des atermoiements du gouvernement ces dernières années. «J'assume les décisions des ministres d'avoir baissé le tarif d'achat du photovoltaïque avec des objectifs 2020 atteints en 2012, et ce, pour préserver la facture d'électricité des consommateurs français» assène le chef de l'Etat.
Tous les emplois sauvés
Et Nicolas Sarkozy de se lancer dans un long pamphlet sur l'emploi et l'injustice de ces salariés de Photowatt qui «souffrent depuis trois ans avec la boule au ventre de savoir de quoi demain sera fait. Il est insupportable de perdre son emploi alors que l'on y est pour rien» déclare-t-il même. Il poursuit en confirmant qu'avec la solution EDF tous les emplois, tous, les 430, seront préservés au grand soulagement de Jean-Louis Perrot, DRH de Photowatt. «La signature d'EDF a de la valeur en termes d'emplois. Elle est garante de continuité et d'espoir» se réjouit le DRH. Les salariés du collectif Superwatt qui ont remis en mains propres au président leurs propositions sur la filière ne font pas non plus la fine bouche : «Nous attendons l'avis du tribunal de commerce mais l'offre est évidemment intéressante car elle sauvegarde les emplois. Nous restons prudents sur le reclassement de 85 salariés chez EDF notamment» estime Julien Hostache. «Bienvenue chez EDF» scande même Philippe Miklou du syndicat FO. Nicolas Sarkozy est donc venu en sauveur et dans l'urgence au chevet d'une société que la politique de son gouvernement n'a pas ménagé ces derniers mois et qu'EDF a trop longtemps négligé préférant les sirènes américaines et les couches minces du géant First Solar. Après le moratoire et la campagne de dénigrement systématique du photovoltaïque dont la doxa autorisée a dit pis que pendre, Nicolas Sarkozy vient au secours du fleuron industriel du solaire. Etrange paradoxe . Les périodes de campagne électorale ne sont-elles pas celles des pompiers pyromanes?
"En visitant le site de l'entreprise Photowatt, le Président de la République ne manque pas d'audace. Il exerce une grâce présidentielle sur Photowatt alors que des dizaines PME du secteur sont mortes depuis 1 an.Rappelons que la situation de dépot de bilan de cette entreprise n'a d'autre conséquence que les décisions du Président de la République lui même, qui, avec le moratoire sur les tarifs de rachat du photovoltaïque il y a un an, a mis à terre cette filière émergente. Le Syndicat des énergies renouvelables estime que les décisions du gouvernement ont détruit 7000 des 25000 emplois du secteur en 2011...Et non content d'avoir mis à terre cette PME innovante et dynamique, il propose aujourd'hui son absorption par EDF, entreprise publique multinationale, égratignant au passage tant la nécessité de laisser émerger un tissu industriel non public de l'énergie et des entreprise de taille moyenne, mieux à même, comme en Allemagne, de souplesse et d'innovation."
N. Sarkozy a annonce au CE de Photowatt en fin de matiné, lors de la visite présidentielle à Bourgouin Jallieu, une majoration de 10% du tarif d'achat de l'électricité solaire si, celle-cie est produite avec des modules fabrié à 60% en Europe.
Nicolas Sarkozy visite en ce moment l'usine de Photowatt. Il a confie a des salaries que Photowatt a besoin de moyens pour se développer. "Il n'y a pas de secret, vous avez besoin d'une vraie solution" a-t-il déclaré avec a ses cotes Henri Proglio, PDG d'edf qui a déposé vendredi dernier une offre de reprise de Photowatt. A l'heure actuelle, le chef de l'Etat s'entretient avec des membres du CE de Photowatt.
Les tractations vont bon train. Nicolas Sarkozy annoncera-t-il sa candidature à la présidentielle mardi à Bourgoin chez Photowatt ou jeudi lors d'un nouveau déplacement en province ? Après tout qu'importe puisqu'il s'agit là du secret de polichinelle le mieux gardé de France.
Ce qui est plus attendu par les acteurs du photovoltaïque français en proie à de grandes difficultés serait plutôt de nouvelles propositions concrètes pour relancer une filière mis à mal, justement par les errements du gouvernement depuis des mois. Depuis vendredi et l'annonce de l'entrée d'EDF dans la course à la reprise de Photowatt qui, faut-il le rappeler, n'est pas encore effective - c'est le président du tribunal de commerce qui prendra la décision le 21 février prochain -, le cabinet présidentiel et le ministère de l'écologie seraient à pied d'œuvre pour trouver quelques propositions susceptibles de faire mouche auprès des professionnels de la filière : Gap des 500 MW revu à la hausse, appels d'offres réévalués, pourcentage de contenu industriel français au sein des projets, tarifs d'achat stabilisés ? Sur quels ressorts, Nicolas Sarkozy va-t-il s'appuyer pour redonner un élan, plus qu'électoraliste espérons-le, à la filière photovoltaïque française ? Réponse demain lors de son discours en fin de matinée !
Jean-Louis Busquet, rédacteur en chef de Plein Soleil sera présent sur place et vous rendra compte ici-même des principales informations. Vous pouvez également suivre en direct la visite sur twitter en cliquant ici
Le président de la République se rendra, mardi 14 février 2012, à Bourgoin-Jallieu, dans le département de l'Isère, pour visiter l'entreprise Photowatt, pionnier du photovoltaïque français et seul fabricant intégré de cellules et de panneaux photovoltaïques sur notre territoire, actuellement placé en redressement judiciaire. Le chef de l'Etat visitera les installations de l'entreprise avant de rencontrer les représentants du personnel de Photowatt et de s'adresser à l'ensemble des salariés, devant lesquels il évoquera l'avenir de l'entreprise ainsi que les démarches engagées par l'Etat pour favoriser sa pérennité et préserver le savoir-faire industriel français en matière d'énergie solaire.
Le chef de l'Etat sera accompagné par Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l'Ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement, Xavier Bertrand, ministre du Travail, de l'Emploi et de la Santé et par M. Eric Besson, ministre auprès du ministre de l'Economie des Finances et de l'Industrie, chargé de l'Industrie, de l'Énergie et de l'Économie numérique.
PROGRAMME 11h15 Arrivée de M. le Président de la République sur le site de l'usine Photowatt à Bourgoin-Jallieu Visite de l'usine Rencontre à huis clos avec les représentants du personnel
12h20 Allocution informelle devant les salariés de l'usine
Jean-Louis Busquet, rédacteur en chef de Plein Soleil sera présent sur place et vous rendra compte ici-même des principales informations. Vous pouvez également suivre en direct la visite sur twitter en cliquant ici
Placée en redressement judiciaire il y a un peu plus de huit mois, Tendances Eco et Install' Tendances ont officialisé aujourd'hui la reprise de l'entreprise par le groupe Fonroche Energie, basé à Agen. Une bonne nouvelle pour les 135 salariés, puisque tous les emplois sont préservés.
Fondée en 2008 par Yann Maus et Daniel Arnault avec la volonté de créer une entreprise de production d'énergie renouvelable, Fonroche compte environ 280 salariés. Avec un chiffre d'affaires de 250 M€ pour l'année 2011, l'entreprise est le 1er fabricant de panneaux solaires photovoltaïques sur le territoire national. Principalement implantée dans le Sud-Ouest de la France, Fonroche a également des parts de marchés hors de nos frontières : Europe, Afrique, Amérique du Nord… L'un des objectifs de Fonroche à travers cette opération est de s'implanter, grâce à la force de vente de Tendances Eco, sur une zone géographique jusqu'ici inexploitée : le Grand Ouest. L'autre objectif de Fonroche est de renforcer sa présence sur le marché du particulier au niveau national. Tendances Eco répond parfaitement à cette stratégie avec une clientèle très diversifiée et un réel savoir-faire dans la vente auprès des particuliers. Ainsi avec l'intégration de Tendances Eco, l'entreprise agenaise se diversifie sur des marchés ou il était peu ou pas présent et investit un marché porteur.
« Le marché du particulier représente environ 600 M€ de chiffre d'affaires en 2012, précise Yann Maus, le PDG de Fonroche. La filière du photovoltaïque, malgré la crise que nous venons de subir, est toujours rentable. L'activité n'a pas fléchi. Et surtout, c'est un marché pérenne qui nous permet d'avoir une vision à long terme et de belles perspectives d'avenir. Nous venons à Tendances Eco pour pérenniser l'entreprise dans cet objectif long terme.
Etant avant tout des industriels, notre stratégie consiste à développer Tendances Eco partout sur le territoire français ». « Je tiens à remercier Fonroche pour son accompagnement au cours de ces derniers mois. Commente Dimitri Bellanger, gérant de Tendances Eco. Depuis le début du redressement judiciaire, Yann Maus et ses équipes ont été très présents et nous ont aidés à sortir l'entreprise de cette situation. Ce rapprochement était donc une évidence. Depuis deux ans nous cherchions un grand partenaire français afin de pérenniser l'entreprise : c'est chose faite aujourd'hui. Dans notre domaine, Fonroche est le groupe du futur et s'inscrit parfaitement dans l'engagement que nous avons pris depuis mi-2011 d'avoir des partenaires et des panneaux solaires français. Ce rapprochement est donc une excellente nouvelle et le fait que nous ayons enregistré une très bonne activité durant le redressement judiciaire nous ouvre désormais une nouvelle ère de développement». Plus d'infos...