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Communiqué de Enerplan: Complément d’information solaire à la suite de « Complément d’Enquête »

Paris, le 26 Avril – Lors de l'émission « Complément d'Enquête », diffusée le 18 avril sur France 2, consacrée aux changements induits par la catastrophe nucléaire de Fukushima, le ministre de l'Environnement a justifié et assumé le coup de frein donné par le gouvernement à l'essor du marché français du photovoltaïque, par le fait que le cadre mis en place précédemment était « mal monté ». Principaux arguments avancés : un cadre libéral qui a favorisé les importations et une filière qui n'aurait pas atteint ses objectifs en matière environnementale.

Notre organisation professionnelle souhaite apporter un complément d'information, pour éclairer le débat national avec des faits et dénoncer des contre-vérités :

· Oui, le développement du marché français a favorisé l'importation de modules photovoltaïques car l'industrie solaire est une industrie mondiale où l'Allemagne et l'Asie sont fortement positionnées.

· Toutefois et dans le même temps, ce développement du marché national a permis l'émergence d'une filière française avec des capacités industrielles de production de modules photovoltaïques en France quasiment équivalente au marché annuel 2010. Avec près de 25 000 emplois créés en 3 ans, c'est tout un écosystème d'industriels et de services qui s'est développé dans les territoires, irrigué par la dynamique des pôles de compétitivité. Bref, la France commençait à combler son retard industriel et se positionnait même en pointe concernant l'intégration au bâti.

· Notons que la charge du développement du marché PV, qui représente moins de 500 M€/an à financer sur les factures d'électricité pour le parc installé à fin 2010, représente trois fois moins que la subvention à l'électricité d'origine fossile que payent les français sur leurs factures*, alors que la charge de CSPE pour l'électricité solaire retombe à 75% dans l'économie nationale**.

· Sur les objectifs environnementaux de la filière PV, nous voulons là aussi affirmer que les objectifs sont atteints autant que faire ce peut :

o Si la production de panneaux photovoltaïques consomme de l'énergie, le temps de retour énergétique d'un module solaire est évalué par la Plateforme Technologique Européenne du Photovoltaïque entre 0,5 et 3 ans selon les technologies, pour un ensoleillement sud européen***. Avec une durée de vie de 30 ans et plus, le photovoltaïque produit plus de 95 % d'énergie que nécessaire à sa fabrication. Les efforts continus de R&D au niveau des processus industriels tendent à réduire non seulement les coûts de production, mais aussi l'empreinte carbone des modules solaires.

o Concernant le recyclage, l'industrie européenne n'a pas attendu la France pour mettre en place une filière, déjà prête à recycler des produits. Ainsi, PV CYCLE, organisation initiée en 2007 par l'industrie européenne dorénavant mondiale, est d'ores et déjà opérationnelle pour la collecte et le recyclage des panneaux photovoltaïques, bien que son déploiement à grande échelle ne soit pas prévu avant 2025-2035, compte tenu de la progression du marché mondial de 0,3 GW en 2000 à 16 GW en 2010. Ainsi, grâce à PV CYCLE, l'industrie éprouve des solutions techniques et met en place des points de collecte et de reprise (aujourd'hui 110 dont 14 en France). Si l'industrie automobile a mis plus d'un siècle pour engager un processus de recyclage, et si la filière nucléaire est toujours à la recherche de solutions pérennes et économiquement viables, la filière photovoltaïque a pris ses responsabilités en amont pour apporter une solution du berceau à la tombe. Le « démantèlement » des modules solaires en fin de vie est prévu et assumé par le secteur.

Comparé aux filières fossiles et fissiles, le bilan environnemental du photovoltaïque est sans commune mesure excellent et l'industrie française pourrait en tirer un avantage compétitif si elle survit au nouveau cadre « plus restrictif » qui atrophie actuellement le marché. La filière française était pourvoyeuse d'emplois et d'innovations, elle est aujourd'hui très fortement malmenée. Pour Enerplan, de faux arguments ne peuvent être utilisés pour justifier des décisions politiques qui ont apporté une mauvaise réponse à une vraie problématique. Oui, il fallait faire évoluer la régulation, mais pas à contre-sens de l'histoire. Il n'est pas trop tard pour amender la régulation française, pour que la filière et les Français en sortent par le haut, sans attendre l'été 2012 en dilapidant des compétences et en fabriquant des milliers de chômeurs d'ici là.


* Calcul sur la base des informations de la CRE, avec une charge sur la CSPE pour la péréquation tarifaire et la cogénération prévue de 1,5 milliards € en 2010.
** Etude BIPE décembre 2010
*** http://www.eupvplatform.org
**** http://www.pvcycle.org
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Air Liquide signe 15 nouveaux contrats avec les leaders de l'industrie photovoltaïque

Air Liquide renforce sa position de numéro 1 dans la fourniture de gaz et de précurseurs aux fabricants de panneaux solaires photovoltaïques grâce à la signature de 15 nouveaux contrats conclus le 21 Avril dernier avec des leaders de cette industrie en Chine, à Taïwan, au Japon et en Allemagne.

En Chine, Air Liquide a consolidé ses relations avec 6 des 7 premiers fabricants de cellules solaires en silicium cristallin, grâce à la signature de nombreux nouveaux contrats d'approvisionnement.

A Wuxi, le groupe fournira des gaz dans le cadre de nouveaux accords à long terme conclus avec le premier fournisseur mondial de cellules solaires et de modules en silicium cristallin, pour sa nouvelle usine.

A Hefei, Air Liquide approvisionnera en gaz le premier fournisseur mondial de wafers en silicium
cristallin pour le nouveau campus de modules et de cellules solaires, ainsi qu'un des fabricants majeurs de wafers en silicium investissant dans la production de cellules solaires en silicium monocristallin.

La capacité installée de ces nouvelles usines atteindra 6,5GWp à la fin 2011.

A Taïwan, Air Liquide a signé des contrats d'approvisionnement à long terme avec 3 des 4 leaders du marché pour leurs nouveaux sites situés dans les parcs scientifiques de Jhunan et de Tainan, avec une capacité installée de 3,5GWp à la fin 2011.

Au Japon, Air Liquide a signé un contrat d'approvisionnement pour la nouvelle fab de l'un des premiers fabricants de cellules solaires en silicium cristallin.

Enfin, en Europe, le groupe a gagné l'approvisionnement d'un fabricant majeur de cellules CIGS en
Allemagne.

Grâce à ces contrats, le Groupe s'impose comme le fournisseur de plus de 150 clients du marché photovoltaïque dans le monde, représentant une capacité totale de fabrication nettement supérieure à 20 GWp par an.

Francisco Martins, Directeur de l'Activité Électronique du groupe Air Liquide, a déclaré : « Air Liquide démontre une nouvelle fois la qualité de son offre et sa crédibilité auprès des leaders de l'industrie photovoltaïque. Ces nombreux succès s'appuient sur notre expérience mondiale dans ce secteur, notre gestion solide des clients stratégiques et notre offre de solutions technologiques innovantes permettant de réduire le coût/Wp. L'activité photovoltaïque se situe au carrefour des secteurs de l'Énergie et de l'Environnement et fait appel à des solutions Hautes Technologies, trois relais
de croissance du groupe Air Liquide.

Catherine Peyge, présidente du Sipperec relance François Fillon sur le photovoltaïque intégré aux bâtiments communaux

Dans un courrier adressé à Monsieur François Fillon, Catherine Peyge, maire de Bobigny et présidente du Syndicat intercommunal de la Périphérie de Paris pour l'Electricité et les Réseaux de Communication (SIPPEREC), attire l'attention du Premier Ministre sur la nécessité de rouvrir le débat tant les décisions prises récemment (moratoire par décret du 9 décembre 2010 et nouveaux tarifs par arrêtés du 4 mars 2011) sont défavorables aux projets solaires photovoltaïques en général et aux projets portés par les collectivités en particulier. A la lumière des dramatiques évènements de la centrale de Fukushima et dans un contexte d'augmentation des prix des énergies fossiles et fissiles, il est indispensable d'accentuer fortement les efforts de la France en matière de maîtrise de l'énergie et d'énergies renouvelables.

Les collectivités territoriales constituent des acteurs majeurs dans le développement des filières d'énergie renouvelable. Leurs projets solaires s'inscrivent dans le cadre d'actions de maîtrise de l'énergie et ne sont pas spéculatifs. Ces projets sont généralement l'occasion de rénover des couvertures souvent anciennes, de sécuriser des toitures et de réaliser des travaux d'isolation des bâtiments publics. Vu les puissances installées, le poids de ces projets est faible sur la contribution au service public de l'électricité (CSPE) par comparaison aux centrales au sol ou sur des toitures industrielles. Le poids de l'énergie solaire ne représente en 2010 que 5% de la contribution au service public de l'électricité (CSPE) payée par le consommateur d'électricité. La péréquation tarifaire des zones non interconnectées (où la production est la plupart du temps à partir d'énergies fossiles) représentent 40% de la CSPE et la cogénération 36%.

Les énergies renouvelables locales participent à la maîtrise durable des prix de l'énergie. Alors que plus de 90% de l'énergie livrée aux consommateurs français est issue de combustibles fossiles et fissiles tous les deux importés, la maîtrise durable des prix de l'énergie pour le consommateur final ne pourra se faire que par une forte augmentation des productions de chaleur et d'électricité à partir d'énergies locales renouvelables. Les énergies renouvelables représentent un formidable enjeu industriel et une importante source d'emplois. 62 % de la capacité de production d'électricité nouvellement installée en 2009 en Europe reposait sur des sources renouvelables (éolien à 37% et solaire photovoltaïque 21%), 24% sur des centrales électriques au gaz et 9 % au charbon (rapport « Renewable Energy Snapshots » publié par le centre commun de recherche de la Commission européenne).

La Présidente du SIPPEREC demande donc au Premier Ministre de prendre en compte ce contexte et de bien vouloir lever les freins actuels pesant sur le solaire photovoltaïque en :
• maintenant le tarif d'achat de l'électricité solaire valable lors du dépôt de la demande de raccordement pour les projets des collectivités engagés financièrement en 2009-2010
• adoptant un cadre approprié pour les nouveaux projets des collectivités dont les spécificités avaient été mises en avant dans le rapport Trink/Charpin du 17 février dernier ; à savoir que l'étape fixant le tarif d'achat soit adaptée aux procédures d'appels d'offres publics auxquelles sont soumises les collectivités territoriales
• modifiant le cadre règlementaire afin de tenir compte des propositions qui ont fait consensus dans le cadre du rapport Trink/Charpin (suppression de l'obligation d'intégration au bâti pour les rénovations, nécessité d'optimiser les étapes administratives, révision du modèle de calcul de la CSPE, etc.)
• révisant l'objectif de 5 400 MW de solaire photovoltaïque en France d'ici 2020 qui paraît bien faible, notamment comparativement à d'autres pays comme l'Allemagne qui a réalisé plus de 8 000 MW en une seule année.

Le SIPPEREC, syndicat intercommunal de la périphérie de Paris pour l'électricité et les réseaux de communication Le SIPPEREC regroupe 100 collectivités territoriales sur 6 départements (Essonne, Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne, Val-d'Oise et Yvelines) et exerce ses compétences sur un territoire de 4.000.000 d'habitants. À la compétence fondatrice de l'électricité, se sont ajoutées d'autres compétences optionnelles comme les réseaux urbains de communications électroniques et services de communication audiovisuelle, le développement des énergies renouvelables (photovoltaïque, géothermie). Depuis 2009, 8 centrales solaires construites par le SIPPEREC pour le compte des villes adhérentes sont en service, faisant appel à des techniques variées : surimposition ou intégration en toiture, étanchéité solaire, brise-soleil, garde-corps solaire, verrière photovoltaïque. D'autres réalisations engagées voire terminées à la date de parution du moratoire sont fortement pénalisées. Le moratoire a suspendu le raccordement et empêche la vente d'électricité au tarif prévu.
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Helios Strategia lève 6 millions d'euros

Afin de conforter sa forte croissance sur le marché de la distribution de matériels photovoltaïques, Helios Strategia réussit une levée de fonds de 6 millions d'euros auprès d'Idinvest Partners (ex AGF Private Equity) et de CDC Entreprises, société de gestion agréée par l'AMF, contrôlée à 100 % par la Caisse des Dépôts et agissant pour le compte du FSI. Outre le renforcement des fonds propres, le groupe s'oriente à l'international en ouvrant des filiales à l'étranger afin de doper ses ventes. Après 34 millions d'euros de chiffres d'affaires grâce à un positionnement haut de gamme en matériels solaires, la société vise plus de 50 millions d'euros de chiffres d'affaires en 2011. D'après le président, Benjamin HASSAN, le carnet de commandes permet déjà à 80% de répondre à cet objectif malgré un début d'année marqué par le moratoire photovoltaïque sur le marché français. Les dirigeants se montrent confiants sur l'atteinte des objectifs et prévoit un nouveau boom en 2012.

La société est spécialisée dans la distribution de modules, onduleurs et structures d'intégration haut de gamme. Ce positionnement qualitatif est justifié par la recherche de l'excellence solaire selon les dirigeants sur un marché qui va rapidement arriver à maturité. La qualité est la garantie d'un bon retour sur investissement dans la durée. Par ailleurs, le cycle de vie des produits montrent que les produits qualitatifs finissent toujours par s'imposer selon les dirigeants. La société distribue ainsi des marques comme Sanyo, Schott, Kyocera, Jetion, Mitsubishi, Centrosolar, Solarfabrik pour les modules et SMA pour les onduleurs. La société a sélectionné des systèmes d'intégration correspondant à un cahier des charges sévères.

Selon Alexandre Gay, l'un des ingénieurs conseil de la société, le système i3S permet de répondre à des configurations en portrait ou en paysage, en permettant de contourner les ouvertures présentes sur une toiture sans s'astreindre à une forme rectangulaire. Les dirigeants se montrent confiants sur l'essor des énergies renouvelables en général et du photovoltaïque en particulier. Le revirement de l'opinion publique contre le tout nucléaire est une évidence et la tendance de fond est clairement en faveur du photovoltaïque. Cette énergie suit la même courbe de progression que l'électronique et s'imposera dans un futur proche comme une énergie incontournable.
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EOSOL et de la Caisse des dépôts inaugurent une centrale de 8 MW dans Les Landes

Canadian Solar, une des plus grandes sociétés spécialisées dans le solaire à l'échelle mondiale annonce avoir fourni 35 000 panneaux photovoltaïques pour une puissance de 8 MW pour l'installation de la centrale solaire d'EOSOL Energies Nouvelles et de La Caisse des dépôts et consignations regroupés sous la société de projet « SAS SOLANDES dans le commune de Villeneuve de Marsan (département des Landes). La nouvelle centrale solaire, inaugurée le 18 avril, doit fournir en termes de capacité de production, l'équivalent de la consommation moyenne annuelle d'électricité de 2 500 foyers. La centrale photovoltaïque permet d'assurer la consommation de 2 500 foyers et d'éviter un rejet de 9 180 tonnes de CO2. En complément d'EOSOL EN et de La caisse des dépôts, la société FORCLUM du groupe EIFFAGE, a été en charge de l'installation électrique et SIEMENS de la supervision, la conception et la construction de la centrale (Onduleurs, système électrique, système monitoring, etc.).

L'installation de cette centrale photovoltaïque fait suite à un premier projet mis en fonctionnement en fin d'année 2010. Cette 1ère centrale, de 6 000 m² de panneaux photovoltaïques, installée dans la commune de Le Barp, en Aquitaine, délivre plus de 230 kW d'énergie verte. Bruno BERNAL, Directeur associé d'EOSOL Energies Nouvelles déclare : « EOSOL EN a décidé de renouveler sa confiance à Canadian Solar et d'élargir son partenariat avec la société canadienne. Cette nouvelle centrale installé sur 17 hectares dans la commune de Villeneuve de Marsan est un important projet en termes de puissance installée et correspond à une volonté commune de poursuivre nos engagements et investissements dans des projets verts grâce à l'exploitation d'énergies renouvelables. »

Dr Shawn QU, Président-Directeur Général de Canadian Solar ajoute: « Ce partenariat illustre la capacité de Canadian Solar à réaliser des projets importants sur des marchés stratégiques, en s'appuyant sur des partenaires locaux. Nous sommes fiers de notre travail réalisé avec EOSOL et d'avoir pu soutenir la création de ce projet de centrale solaire de 8 MW à Villeneuve-de-Marsan. Nous sommes très heureux que la société EOSOL nous ait renouvelé sa confiance, cela prouve que nos produits répondent aux besoins du marché français sur lequel nous comptons poursuivre notre développement. Nous sommes également très heureux d'avoir pu mettre notre expérience au service d'EOSOL Energies Nouvelles et de la Caisse des dépôts et consignation pour ce projet écologique et durable».

Eosol Energies Nouvelles est un acteur majeur dans le développement, l'investissement et la production d'énergie à partir de ressources naturelles. Spécialisé dans le photovoltaïque, l'éolien, la biomasse et le thermo-solaire, Eosol EN bénéficie de la confiance de la Caisse des Dépôts et Consignations pour le cofinancement de ses projets et a su s'entourer des meilleurs partenaires de la filière (Eiffage Energie, Siemens, Ingeteam, Forclum Aquitaine…) pour renforcer son expertise. Installée depuis deux ans sur le parc scientifique et technologique Laseris 1 au Barp (33), Eosol Energies Nouvelles est une jeune société d'Aquitaine qui s'affiche aujourd'hui, avec plus de 20M€ d'actifs, comme le premier producteur régional d'électricité issue d'énergie photovoltaïque au sol.
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3ème levée de fonds pour Tigo Energy

Tigo Energy, spécialiste dans l'optimisation de la production DC des panneaux solaires intégrés aux centrales photovoltaïques (PV), a récemment annoncé avoir levé 10 millions de dollars de financement par capitaux propres et assuré une autre ligne provisionnelle du même montant. Le fond Climate Solutions Fund, LP, dirigé par Generation Investment Management LLP, a fourni des capitaux propres rejoignant ainsi Matrix Partners, OVP, ICV, Clal Energy and IAC parmi les investisseurs déjà engagés au capital de TIGO Energy. TIGO Energy s'appliquera à exploiter ces fonds dans son développement industriel, ainsi que pour améliorer son réseau commercial international et ses capacités logistiques afin de répondre à la forte croissance des demandes du Tigo Energy® Maximizer™.

«Nos partenaires investisseurs ont reconnu que dans l'émergence certaine des système de MPPT redistribué, ayant pour but l'amélioration des performances de centrales PV, la solution Maximizer de Tigo Energy présente les meilleurs atouts en terme d'efficacité, de productivité, de sécurité et de maniabilité » selon Sam Arditi, Tigo Energy CEO.
«Tigo Energy est l'exemple même d'une société qui, sur la base d'une technologie innovante, aide à faciliter l'adoption des énergies solaires photovoltaïque et ainsi accélérer le passage à une économie décarbonnée» selon David Blood, l'un des co-fondateurs de Generation Investment Management.

«En améliorant la productivité énergétique, tout en réduisant les coûts de maintenance et en optimisant la logistique induite, nous accélérons clairement le pas vers la parité électrique,» selon Ron Hadar, PDG Fondateur de Tigo Energy. Grace à une architecture électronique et un logiciel propre, la solution Tigo Energy Maximizer augmente la production des centrales PV en attribuant virtuellement un MPP à chaque module solaire. Les développeurs et propriétaires de centrales PV tirent également bénéfice d'un monitoring granulé à l'extrême (panneau par panneau), incluant une sécurisation optimale.
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Tenerrdis fédère l’industrie française du solaire a l’occasion de ses journées collaboratives

Le pôle de compétitivité Tenerrdis, en collaboration avec l'Institut National de l'Energie Solaire et le pôle Capenergies, a tenu à Chambéry les 13 et 14 avril 2011 la seconde édition de ses journées collaboratives sur le thème de l'énergie solaire photovoltaïque et thermique. Avec plus de 170 participants dont 20 grands groupes et 45 PME et start-ups, le pôle Tenerrdis a démontré une fois de plus sa capacité à rassembler les acteurs de la filière industrielle du solaire. Cette édition 2011 placée sous le signe du partenariat avec l'INES et le pôle Capenergies situé en région PACA, Corse, Monaco, Guadeloupe et Réunion a permis de montrer toute la richesse et le potentiel d'innovation de cette industrie en France. Ces journées ont mobilisé une cinquantaine d'intervenants qui se sont exprimés sur les projets innovants, les savoir-faire des PME et les enjeux industriels liés aux technologies solaires (matériaux, modules, équipements électriques, ingénierie).

Cette manifestation a clairement mis l'accent sur les atouts de la filière solaire française :
• Les équipementiers français des procédés de production photovoltaïque innovants ont un fort potentiel de croissance ;
• Les fournisseurs d'équipements électriques jouent un rôle clé dans la performance des installations, leur optimisation et leur sécurité ;
• L'insertion du solaire sur le réseau, démontrée dans les territoires insulaires français, favorise le déploiement des technologies de gestion de l'intermittence et de stockage.

A l'issue de ces journées, Tenerrdis poursuivra son action pour fédérer les acteurs de la filière, en particulier sur les axes suivants :
• Encourager les fabricants de modules à être toujours plus innovants sur leurs procédés et à se fédérer pour un label qualité France basé sur des critères objectifs de performance technique et environnementale ;
• Accompagner les industriels français dans leurs projets de démonstration de centrales au sol (PV, CPV, CSP) pour mieux se positionner à l'export ;
• Faire reconnaître les enjeux stratégiques autour du solaire thermique pour la production de chaleur renouvelable, indispensable aux règlementations thermiques à venir (Grenelle de l'environnement) ;
• Inciter les acteurs français à jouer un rôle toujours plus structurant aux plans européen et international (participation aux projets européens, démarche collective à l'international).

Tenerrdis et Capenergies, avec le support de l'INES, soutiennent le développement de produits et services innovants pour l'énergie solaire, dans l'objectif d'un avenir énergétique basé sur les renouvelables (scénario « BLUE High Renewable » de l'Agence Internationale de l'Energie : 75% d'électricité renouvelable en 2050, dont 25% d'origine solaire).
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Complément d’Enquête sur France 2 : Les arguments fallacieux de Nathalie Kosciusko-Morizet à propos du photovoltaïque

Interviewée dans la cadre du magazine de France 2 « Complément d'Enquête » consacré à l'après Fukushima, la ministre de l'Ecologie Nathalie Kosciusko-Morizet a semblé très mal à l'aise à l'heure d'évoquer les énergies renouvelables et notamment le solaire photovoltaïque. Jusqu'à employer des arguments fallacieux qui ne devraient pas tarder à faire réagir la profession. Elle a ainsi stigmatisé cette énergie expliquant qu' « un panneau solaire c'est polluant, qu'il faut beaucoup d'énergie pour le fabriquer, il faut du silicium, donc des mines, il n'y pas de recyclage et des problèmes de démantèlement des centrales solaires… ». Que dire alors du démantèlement des centrales nucléaires. Visiblement, la ministre de l'écologie se plie donc à la doxa gouvernementale qui a fait du solaire photovoltaïque l'énergie à clouer au pilori des ambitions nucléaires. Loin du sens de l'histoire !

 

L'interview de Natalie Kosciusko-Morizet

 

L'interview de Cécile Duflot

 
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Des modules Tenesol à tolérance positive

La puissance d'un module photovoltaïque doit être annoncée dès sa production (puissance exprimée en Watt crête), en fonction du type et du nombre de cellules utilisées. Cette puissance peut varier de quelques Watts, c'est ce qu'on appelle la tolérance de production du module, généralement exprimée en pourcentage. Quand la puissance annoncée est un minimum garanti par le fabricant, on parle alors de tolérance positive.

Tenesol propose 2 modules haute performance, au rendement puissance élevé et de tolérance positive, développés et fabriqués en France au sein de l'usine de Toulouse :
• TE220/240-60P+ ( puissance 220 à 240 Wc, technologie polycristallin), tolérance positive +2,1 à 2,3 %
• TE235/250-60M+ (puissance 235 à 250 Wc, technologie monocristallin), tolérance positive +2%.

Ces modules ne peuvent ainsi que produire autant ou plus de puissance que celle annoncée, un «bonus» pour l'utilisateur. Autre avantage, les modules à haut rendement permettent de réduire leur nombre au m², et donc le coût d'installation (structure, génie civile, câblage...). Ils sont à privilégier également quand la surface disponible est limitée. Chaque module est fabriqué en France et fait l'objet d'un contrôle qualité individuel. Garantie produit 10 ans, garantie puissance 25 ans. Les usinesTenesol sont certfiées ISO 9001, ISO 14001 et OHSAS 18001.
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Kyocera, la dolce vita

Le groupe technologique japonais Kyocera, fabricant dans le secteur photovoltaïque, voit en Italie un marché d'avenir pour le solaire. Des conditions favorables et un climat propice attirent les investisseurs. À propos du marché solaire italien, le Dr Stefan Wiebach, responsable de la division solaire en Europe chez Kyocera Fineceramics GmbH, s'est exprimé avec confiance : « L'Italie envisage un avenir ensoleillé. Si la proposition présentée par l'association italienne des industriels du photovoltaïque, GIFI (Gruppo Imprese Fotovoltaiche Italiane) le 5 mars à Milan, visant une baisse modérée du soutien accordé à l'énergie solaire par le gouvernement italien, est adoptée et mise en oeuvre, je suis très optimiste quant au fait que la plupart des projets photovoltaïques prévus pour cette année en Italie soient réalisés d'ici la fin septembre. »

Kyocera abonde dans ce sens en équipant le site de Cigliano. Avec une puissance de 6 MWc, il s'agit de la plus grande installation en Italie à être équipée de modules solaires Kyocera. Au total, ce sont 13 920 modules KD215GH-2PU et 12 900 modules KD235GH-2PU qui ont été installés. La ferme solaire est exploitée par Enermill, partenaire Kyocera. Depuis 1975, Kyocera développe des cellules solaires pour le secteur photovoltaïque et y fait figure de pionnier. L'entreprise couvre l'ensemble de la chaîne de valeur ajoutée, du traitement des matières premières à l'assemblage des modules. D'ici à 2013, Kyocera envisage d'atteindre un volume de production annuel d'un gigawatt.
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